Leprésentateur exige des Paroles et des actes, avec un excellent générique habillé par « Woman in Blue » de Pepe Deluxé. « Comme disait Cest dans le calme et la confiance que sera notre force . Es 30:15 Merci à @sdcart.s pour ce portrait Es 30:15 Merci à @sdcart.s pour ce portrait Facebook Prionspour les personnes atteintes et les souffrances des personnes qui les entourent. C’est dans le calme et la confiance que sera notre force. (Ésaïe 30,15) Gardons la foi dans la certitude de l’amour de Dieu. Le Électionsgénérales en Angola: la journée de vote s’est déroulée dans le calme RDC: des ONG déplorent surpopulation carcérale et détentions irrégulières Relance des activités de la Mine de Kipushi: Sama Lukonde salue l’aboutissement heureux Cadreen bois MDF, bord parme, +/- 28 x 20.5 x 1,2 cm C'est dans le calme et la confiance que sera votre force. Esaïe 30 : 15 Diffusion CB Esaïe 30 : 15 Diffusion CB close 30janv. 2019 - C'est dans la tranquillité et le repos que sera votre salut, c'est dans le calme et la confiance que sera votre force. Confidentialité . Pinterest. Aujourd'hui. Explorer. Lorsque les résultats de saisie automatique sont disponibles, utilisez les flèches Haut et Bas pour vous déplacer et la touche Entrée pour sélectionner. Pour les utilisateurs d'un appareil tactile . La prétention et la confiance en soi. Deux choses bien distinctes et pourtant, elles sont immensément confondues. Et l’analyse des deux met en lumière des choses pas très évidentes à affronter, mais il est pourtant nécessaire de le faire pour notre avancée. La prétention Définition. La prétention. Il nous est tous arrivé d’en faire la démonstration. Elle fait partie des sentiments humains classiques. Cependant, ceux qui sont accusés d’en faire usage ne sont, en réalité, pas tous des prétentieux, loin de là. Qu’est-ce que la prétention ? Notre ami Larousse dit Attitude de quelqu’un fondée sur une opinion trop avantageuse qu’il a de lui-même Il a répondu sur un ton plein de prétention .Concernant le prétentieux Qui estime, par vanité, avoir une certaine supériorité, qui cherche à se mettre en valeur pour des qualités qu’il n’a pas . La confiance en soi Définition. Puisque le Larousse ne donne pas la définition de la confiance en soi, permettez-moi de vous en donner une, que vous pouvez bien entendu vérifier. Il s’agit simplement, tout d’abord, de se connaître, ce qui n’est pas, contrairement aux idées reçues, une mince affaire. Il s’agit de croire en soi, en son potentiel, en ses capacités, qu’elles quelles soient sa capacité d’apprendre, de comprendre, d’appliquer, son potentiel de réussite. Il ne s’agit pas ici de se voir avec exagération. Le fait, de justement se connaître, après avoir fait bien entendu, une analyse réellement objective de soi, empêche ce penchant, de déborder. Quelques explications avant d’aller plus loin Il est bien plus ardu d’avoir confiance en soi, que d’être prétentieux. La prétention, c’est immensément facile. Elle n’est au final qu’un mensonge qu’on raconte aux autres, mais surtout à soi, en s’enveloppant dedans comme dans un plaid bien chaud un soir d’hiver. Au point d’en devenir agressif. Méchant, odieux. On y est bien à l’abri, dans ce plaid, à l’abri d’un froid qu’on s’imagine découvrir si on l’enlève. Alors qu’une analyse objective de soi, ce travail parfois si long et si douloureux, permet en réalité de ne plus jamais avoir besoin de s’envelopper dans un mensonge à l’apparence douce, mais au final dévastateur, puisque jamais on ne part à la rencontre de soi, ni ne se trouve. La confiance en soi n’arrivera donc jamais. La prétention Un manque potentiel de confiance en soi. La prétention, est selon moi, un signe assez clair de manque de confiance en soi. Si la dévalorisation, donc le fait de ne pas oser faire quoi que ce soit par peur du rejet, du jugement des autres et qu’au final, s’aplatir sans jamais ouvrir la bouche trop fort est une conséquence, un symptôme de l’absence de confiance en soi, la survalorisation, la prétention, son contraire, l’est aussi. Lorsqu’on a confiance en soi, on ne se dévalorise certes pas, mais on ne ressent pas non plus le besoin de se survaloriser, que ce soit au mépris des autres ou non. La confiance en soi, c’est la conscience de son être de façon objective et son acceptation. La conscience de ce que sont les choses et leur acceptation. C’est le calme de l’esprit. De l’estime de soi, découle la confiance en soi. L’estime de soi prend parfois quelques claques en cas d’échecs. Cependant, la conscience de ce qu’est l’échec de façon véritable, et donc si une réflexion est faite sur le sujet, laissera l’échec à sa vraie place Une chute, mais en aucun cas la fin de tout, si on se relève et apprend de ladite chute. La confiance en soi n’en sera donc pas affectée. L’excès de confiance en soi, est aussi un problème. Car là, on passe à un autre stade. On touche à la fameuse prétention, qui elle, est un déséquilibre. Si la confiance en soi est la conscience de soi et uniquement ça, un déséquilibre peut donc finir par tout briser. Il est donc important de faire une analyse objective de soi, et de ne pas se laisser déborder. Et si on passait à la démonstration ? Maintenant que les deux définitions sont données, je vais en venir à cette confusion mentionnée plus haut Accuser, à tort, une personne de prétention. Mes petits personnages sont avec moi. Je vais prendre le sujet qui me touche le plus La culture. Roger lit beaucoup. Il aime la culture, s’intéresse à tout et est heureux, à éveiller sans cesse son esprit. Par voie de conséquences, Roger accumule des connaissances. Et lors de conversations, de façon tout à fait naturelle, il va en faire usage. Marcel lui, pense que puisque la télé est là, ma foi, à quoi bon lire des livres. Il n’est pas très courageux. Les efforts, c’est pas son qu’il est chiant et prétentieux ce Roger, à étaler sa science. Faut toujours qu’il ramène des mots à rallonge, qu’on ne comprend pas. Faut toujours qu’il rabaisse tout le monde, à dire qu’il sait des choses, comme si on était des gamins attardés. Roger n’est pas prétentieux. Il est juste cultivé et à confiance en lui. Il est à l’aise avec son savoir et sa réussite, qu’il sait mériter, sans exagération. C’est une simple conscience des choses. Il sait les efforts qu’il fournit pour devenir meilleur, pour nourrir son esprit, essayer de trouver des réponses à toutes ces questions qu’ils se pose, sur l’existence, ou sur le reste. Il lit, travaille, réfléchit, cherche, comprend, expérimente, qui lui est un partisan du moindre effort, va trouver simplement préférable, et surtout bien plus simple, facile, de le dénigrer, de balancer que c’est un prétentieux, que d’admettre que sa culture n’égale pas celle de Roger, et qu’il n’a, en réalité, pas la moindre intention d’arranger les choses. La confusion entre prétention et confiance en soi. Taxer quelqu’un de cultivé ou qui réussit, de prétention, est très courant. Parce qu’il est justement immensément répandu, banal, de ne faire aucun distinguo entre la vraie prétention, et la simple confiance en soi, qui elle, n’a rien de mauvais, mais est au contraire très saine, lorsqu’elle est sont pourtant deux choses qui n’ont absolument pas de raisons d’être confondues, puisqu’elles ne sont pas la même la mauvaise foi les a réunis à un point tel, que la différence ne se voit plus. Quelqu’un de cultivé, qui va partager son savoir, qui va avoir confiance en lui sera souvent accusé de prétention. Et à côté, on dit aux gens, il faut avoir confiance en toi », mais on ne manquera pas de l’accuser de prétention lorsqu’il se sentira un peu mieux et commencera à s’affirmer. La réflexion, qui permet d’en finir avec la confusion et le rejet. La réflexion, permet là encore, de faire ce distinguo, et de cesser donc de voir de travers, et même de maltraiter des gens qui ne font rien de mal. Peu importe les raisons qui font qu’ils ont confiance en eux, que ce soit des gens bien ou non, qu’on les aime ou non. Il ne s’agit pas de prétention, il y a une vraie différence, point. Ne pas aimer quelqu’un n’est pas une raison valable pour lui retirer ce qu’il est et le dénigrer bêtement. L’amour de la culture, la connaissance, le savoir ne devraient pas être vues comme des moyens d’écraser les autres. Les choses vont très loin, car il est même devenu courant, aujourd’hui, d’insulter les gens cultivés. Intello », c’est aujourd’hui une insulte dans la bouche de beaucoup. Tout ça devrait pourtant être vu comme des opportunités, des chances formidables. Il est en réalité, exceptionnel que nous ayons accès à tout ça. Nous sommes, sur Terre, les seuls animaux à avoir la chance de pouvoir profiter de ça. Et c’est vu comme quelque chose d’ennuyeux. De chiant. Une arme. S’en est une, d’ailleurs. La culture est pour moi une arme de construction contre la destruction. Bien sûr on l’utilise à mauvais escient car c’est quelque chose de tout à fait faisable, comme toute arme, elle peut servir à sauver comme à tuer. Mais j’aime la voir comme étant merveilleusement positive, parce qu’elle l’est. Les gens ne peuvent pas, sous prétexte de manque de courage ou d’intérêt, accuser quelqu’un d’être ce qu’il n’est pas, alors que le problème vient d’eux. Et qu’il soit assumé ou non n’est en rien le problème des autres, c’est le leur. Je suis lucide, le dire ici et ailleurs n’empêchera personne de continuer d’accuser à tort un être confiant en lui même de prétention. Mais si ma petite goutte dans ce vaste océan peut permettre à quelques uns de comprendre ce distinguo, alors ça en valait la peine. Je suis sûre que des gens sont capables de comprendre et c’est à eux que je m’adresse. Une compréhension quelque part vaut mieux que pas du tout. Ce distinguo n’est pas fait, soit parce que c’est bien plus doux à vivre de façon tout à fait volontaire et assez détestable je ne sais pas et je veux pas savoir de toute façon c’est un con, emballé c’est pesé, soit parce que les choses n’ont pas été assez creusées, sans forcément l’avoir fait exprès. Car il ne faut, selon moi, pas forcément accuser non plus tout le monde d’être un méchant qui ne veut pas réfléchir. Chaque chose en son temps. Certaines réflexions se font parfois sur le tard, pour X ou Y raisons. Si nous comprenions tous tout en même temps ce serait magique, mais la vie n’est pas faite ainsi. Elle est un long chemin, chaque personne le parcourt de façon différente. Il y a ceux qui réfléchissent, et ceux qui ne le font jamais. Pour des raisons distinctes. Concernant ce sujet, mon article sur l’évolution spirituelle pourrait vous intéresser. Pour finir…. Mon but ici, était simplement d’expliquer la différence entre un prétentieux et quelqu’un de confiant en lui même. Et que réfléchir, se remettre en question, permet de stopper ces accusations personne ne devrait jamais avoir à souffrir de son amour de la culture, de sa réussite méritée, ni de vouloir le partager. si vous tombez sur un vrai prétentieux qui ne veut rien entendre, qu’il soit cultivé ou non car les deux ne sont pas incompatibles ma foi, dites vous que c’est bien dommage pour lui de ne pas arriver à dépasser ça, souhaitez lui d’y parvenir et passez à autre chose. Passez à autre chose parce que je vais vous dire quelque chose que je dis toujours, et depuis de nombreuses années La mauvaise foi est le pire des remparts. Celui là, vous ne le passerez ne vous ruinez pas, ça n’en vaut pas la peine. Vous serez juste usé jusqu’à la corde pour un résultat inexistant, si ce n’est la perte de vos nerfs et de votre moral. Ayez conscience d’un fait sûr, vous croiserez d’autres gens comme vous sur votre route, qui voudront savoir et partager comme vous, et qui eux, ne feront qu’avoir simplement confiance en eux. M le mag Drogues Depuis le confinement, certains réseaux sociaux sont devenus incontournables pour le trafic de stupéfiants. M le mag » a recueilli le témoignage d’un habitant du Val-d’Oise, qui vend en ligne cannabis, ecstasy, cocaïne et d’autres substances en région parisienne. Je travaille comme Uber Eats. J’envoie mes prestations à mon carnet d’adresses sur Snapchat et WhatsApp et les gens intéressés me répondent. Je note leur adresse et l’heure de livraison souhaitée, je récupère l’argent et je donne la came. J’aime dire que je suis chef d’entreprise, autoentrepreneur. Je me suis lancé sur Snap après le deuxième confinement, fin 2020. Je vends des tata [ecstasy], de la C [cocaïne], un peu de speed [amphétamine] et aussi, bien sûr, de la 3M [3-MMC, drogue de synthèse]. Le plus gros, c’est la fume [cannabis]. Quand j’ai un nouveau client, j’essaye d’être généreux et d’avoir de l’humour, pour qu’il voie que je suis un bon gars en qui il peut avoir confiance. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Vidéos promos, livraisons et SAV… comment Snapchat est devenu l’appli préférée des dealeurs Je préfère ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre. Le but, c’est d’être attractif sans brader. » Souvent, je propose des parrainages en échange d’une promotion si le client donne mon contact à des potos [copains] qui font appel à mes services grâce à lui, je vais le mettre bien, lui faire le gramme moins cher. Et ses potes partageront le bon plan à leur tour. C’est infini. Tes clients se mettent à travailler pour toi, en quelque sorte. Au début, pour me faire un répertoire, je suis beaucoup allé en boîte et dans des soirées. Tu te montres, tu proposes ta came, tu peux en offrir un peu et tu files ton 06. Le but, c’est de repartir avec un maximum de numéros et de profils Snap. Après, tout ne se passe plus que sur les réseaux. C’est du démarchage publicitaire, en gros. Lire aussi Comment un cachet d’ecstasy arrive-t-il jusque dans la poche des consommateurs ? Je fais aussi des vidéos que j’envoie en privé. Si je reçois de la bonne weed [cannabis], par exemple, je filme la came et j’écris un truc du genre Aujourd’hui, peufra [frappe] de dingue, promo exceptionnelle 10 le G [10 euros le gramme], premier arrivé premier servi. » J’ajoute mon logo et un son bien sale. Une fois que la machine est lancée, t’as plus qu’à récolter les fruits. Mais je ne suis qu’un petit vendeur. Je préfère ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre. Le but, c’est d’être attractif sans brader. Je fais moins de marge mais comme je vends plus, j’arrive à m’y retrouver. Je travaille un peu en intérim à côté, sur des chantiers et dans la manutention, comme ça je déclare des revenus et je passe inaperçu. On ne va pas se mentir, ça m’aide pour les fins de mois plus compliquées. J’aimerais mettre ma mère à l’abri, qu’elle arrête de se casser le dos en gardant les gosses des autres. Je suis en activité depuis mes 13 ou 14 ans, je ne gagnais rien à ce moment-là. Aujourd’hui, je gagne comme un fonctionnaire, autour de 2 000-2 500 euros, des fois moins. J’ai fait mon plus gros montant en janvier j’ai gagné 4 300 euros. J’avais vendu beaucoup de 3M, ça part très bien pour 25 balles le gramme. Là, en été, c’est calme à Paname, ça repartira à la rentrée. Mes clients sont des petits Parisiens qui veulent s’éclater le crâne le week-end. Moi, je ne touche pas à ça, je ne prends pas ces m…, j’aime pas perdre le contrôle. Je ne veux pas oublier que ma vie est misérable, sinon comment je trouverais l’énergie pour en sortir ? » Margaux Menu Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Les 4 clefs de la vie retour et repos, calme et confiance Ésaïe 308-18 écouter l'enregistrement - voir la vidéo ci-dessous Culte du dimanche 29 janvier 2017 prédication du pasteur Marc Pernot Pour ce dimanche, je vous propose d’ouvrir notre Bible au livre du prophète Ésaïe pour y trouver un petit bijou de théologie et de sagesse. Dans la Bible, il arrive qu’un auteur cherche à condenser en une phrase ce qui lui semble être le plus fondamental dans la vie. C’est ce que nous avons ici dans le livre d’Ésaïe. Ainsi a parlé le Seigneur, l'Éternel, le Saint d'Israël C'est dans le retour et le repos qu’est votre salut, C'est dans le calme et la confiance qu’est votre force. »3015 Ésaïe insiste lourdement sur l’importance à ces yeux de cette phrase c’est Dieu, avec tous ses titres qui en est l’origine, et l’enjeu n’est rien de moins que les clefs du salut et de la force ! Cela tient en quatre mots être dans le retour, dans le repos, dans le calme et dans la confiance. Ésaïe est sympa, c’est tout simple et doux. Ça donne envie d’essayer, de se poser, de méditer. De chercher à nous calmer, de reprendre confiance. Les 4 clefs qu’ils nous donne pour vivre sont simples et vraies, transmises de génération en génération. Une sagesse en 4 mots Ce qui saute aux yeux dans ce beau passage, c’est d’abord une sagesse, avec cette invitation au calme et à la sérénité face aux difficultés de l’existence. Cette sagesse rejoint celle des stoïciens, ou plus exactement la précède puisque Zénon commence à enseigner 400 ans après ce texte d’Ésaïe. Il y a dans cette sagesse quelque chose d’universel et de salutaire. Face aux difficultés, nous pouvons être parfois comme une personne tombée à l’eau et qui panique, se noyant dans son agitation alors qu’il suffirait de s’allonger sur le dos bien à plat sur l’eau pour flotter et se reposer. Le retour » évoqué en premier peut alors signifier un retour vers l’essentiel, vers le fondamental, retour vers ce qui est une source de mieux. Il est vrai que le terme même de retour » dans le texte biblique évoque ce que l’on traduit parfois par la conversion », le retour de la foi, nous y viendrons tout à l’heure, mais ce n’est pas spécifié ici, alors qu’il aurait été facile de mettre C'est dans la conversion à Dieu et le repos en lui qu’est votre salut, c'est dans le calme et la foi en l’Éternel qu’est votre force. » Mais non. Ésaïe est plus large que cela. C’est dans le retour et le repos qu’est votre salut ». Retour vers quoi ? Et en quoi m’étais-je éloigné, dispersé ? Bonnes questions que nous invite à nous poser Ésaïe. La question n’est pas seulement spirituelle, elle est aussi à vivre avec lucidité en ce qui concerne nos préoccupations, notre façon de vivre, nos agendas, notre budget, nos paroles et nos actes. Des questions très pratiques que nous aimerions peut-être éviter. Ésaïe nous prépare à ce questionnement en nous mettant en garde contre ce penchant très naturel, il relève que les fidèles demandent à leurs prophètes Dites-nous des choses flatteuses, Ayez des visions chimériques ! » et que surtout la présence de Dieu ne se mette pas en travers de notre façon de vivre Ésaïe 3011. Dans un sens, on comprend les paroissiens d’Ésaïe, c’est tellement plus simple de vivre dans la théologie abstraite, dans la philosophie spéculative, dans la politique politicienne, dans les idéaux fumeux, dans la religion religieuse. Que ces rêves nous bercent et ne viennent pas en travers de notre chemin de vie, n’interrogent pas nos actes, nos compromissions, nos illusions. Et pourtant, là est le salut. Qu’est-ce qui en moi s’est détourné ? Pour répondre à cette question, je suis amené à chercher quel est le cœur de mon moi, quel est l’essentiel de l’essentiel. Peut-être qu’en me posant cette question je serai amené à creuser la question de la source et de l’ultime, la question de la transcendance et de Dieu ? Mais de toute façon, que ce soit d’abord ou après, il faudra bien un jour faire le lien avec mon monde, et donc m’interroger sur ce qui en moi s’est perdu loin du cœur de mon être. Avez-vous déjà vu un chien de berger veiller sur son troupeau de mouton, dans l’alpage ? Il cherche un point d’où il voit l’ensemble, il veille et quand il le faut il court rassembler les brebis qui s’éloignent. Comme lui, nous pouvons faire le tour des éléments de ne notre vie et ramener les égarés. Mais pour ramener au cœur, il faudra bien se demander quel est l’essentiel de l’essentiel dans notre vie ? Tant de choses nous semblent indispensables de notre point de vue présent. Sans doute tant de choses paraissaient aussi indispensables à une famille juive en 1930 ou dans la Syrie d’il y a 10 ans... Qu’emporterions nous dans une seule petite valise que nous pouvons sauver ? Que garderions nous dans notre espérance, dans notre cœur et nos pensées dans notre prière ? Comme mémoire chérie si tout nous était ôté ? Tant de chose nous paraissaient importantes, très trèèèès importantes avant que le résultat d’un bilan de santé nous inquiète pour notre vie ou celle d’une personne que l’on aime ? La couleur du papier peint ? L’injure du collègue, le mépris du patron, l’ambition d’un autre, le voisin mal luné ? La carrosserie de notre voiture ? Comment saisir, comme nous y invite ici Ésaïe, ce qui fait le cœur du cœur de notre être, de notre vie, de notre espérance, de notre bonheur ? Chercher quel est ce cœur du cœur. Y retourner. Regarder son agenda. Comment est-ce que, concrètement, j’affecte les 24h/jour de mon temps ? Analyser vraiment ce qui a mobilisé ma préoccupation dans la journée, est-ce que vraiment c’était important, indispensable à mon bonheur, à ma vie ? En même temps, cette recherche de revenir à l’essentiel ne doit pas être frénétique, au contraire, Ésaïe nous indique qu’elle peut, qu’elle doit se faire dans le calme, la sérénité, la confiance. Je ne pense donc pas que cette recherche nous invite à se dépouiller de ce qui n’est pas l’ultime nécessaire. Pourquoi pas si c’est le chemin de quelqu’un, mais en général non. Un centre est beau quand il est le centre de quelque chose. La question me semble de bien distinguer l’essentiel du secondaire pour nous. Pour un autre il en serait peut-être autrement, demain, nous évoluerons peut-être, mais aujourd’hui et pour moi, où est l’essentiel. Ensuite, faire que ce qui n’est pas essentiel soit vraiment secondaire pour nous. Aussi bien dans nos buts que dans nos moyens. Concernant nos buts, nous sommes professionnels des rêves chimériques, nous dit Ésaïe, dans les moyens qui nous semblent justes nous avons aussi à faire du tri. Trop souvent, nous dit-il, c’est à la violence et les détours que nous faisons confiance, nous cherchons le salut dans les coups tordus Ésaïe 3012 et dans la fuite Ésaïe 3016. Ce n’est pas un bon plan, nous dit Ésaïe. Ce n’est pas que Dieu nous en voudrait ce n’est pas son genre mais c’est que cette façon d’être n’est pas sage. C’est comme si on construisait tout de travers une muraille sur laquelle on compte pour nous protéger, cela va nous retomber dessus. C’est juste de la physique élémentaire. Ne pensez-vous pas que cette sagesse d’Ésaïe participe à notre salut ? Nous sommes tous égaux devant ce travail à faire, croyants et athées. Une éthique en quatre mots Mais à y regarder de plus près, ce n’est pas seulement une sagesse qu’Ésaïe nous appelle à chercher dans ces quatre gestes. Ésaïe nous invite aussi à une éthique. En effet, un au moins de ces quatre mots invite à l’action, le 3e traduit par le calme » est en réalité un verbe qui est à un mode hébreu, le hiphil, qui est un factitif et devrait donc être traduit par faire le calme ». C’est tout le contraire de la violence, des coups tordus ou la fuite, mais être, comme Jésus nous y invite, des artisans de paix » Matthieu 59. Et cela aussi est une sagesse. Nous ne sommes un animal social. Nul salut, nulle force possible sans les autres et encore moins contre les autres. L’image du mur donnée par Ésaïe prend son sens, pas seulement pour notre existence individuelle bien construite sur de bonnes bases, mais à travers la construction de bon liens entre nous. Sans fissures laissées par les personnes manquantes, sans porte-à-faux créés par les coups tordus. Ces quatre clefs d’Ésaïe sont donc à entendre aussi comme une éthique, et pas seulement le 3e verbe. Revenir les uns vers les autres, veiller et nous aider mutuellement à ne pas nous perdre, être source de repos pour celui qui est éprouvé et artisan de paix entre nous, bâtir des liens de confiance. Une foi en quatre mots Mais même si Ésaïe laisse en blanc ce vers quoi nous pouvons retourner pour être sauvé et en quoi nous pouvons faire confiance pour avoir de la force, ce silence est assourdissant dans ce contexte. C’est évidemment à la foi qu’il nous appelle, et c’est donc sans surprise que cette prédication d’Ésaïe arrive à cette promesse l'Éternel est un Dieu juste Heureux tous ceux qui espèrent en lui ! » Ésaïe 3018 Bien sûr qu’il faut un retour sur l’essentiel, mais quoi de plus essentiel que la source de l’essentiel ? Ésaïe nous propose donc quatre gestes fondamentaux, quatre états d’esprit être dans le retour et le repos, faire le calme et être dans la confiance. Les deux premiers apportent le salut, la vie plus profonde, plus vivante que tout ce qui peut arriver. Ésaïe associe deux gestes, l’un dynamique retourner à Dieu et l’autre statique reposer, calme et tranquille. C’est un temps purement spirituel, c’est un temps de shabbat où on ne crée rien si ce n’est ce lien qui peut s’établir entre Dieu et nous. Lien dont Dieu a l’initiative en se tournant vers nous, et nous appelant. Établir ce lien, rien de plus. La confiance viendra peut-être après, elle est une force mais le salut est simplement dans ce oui qui accepte d’écouter ce que Dieu dit. Peut-être pour le discuter et le refuser après, mais au moins se tourner pour regarder et écouter sans rien faire d’autre. Pour l’instant, s’étendre là et rester un peu, essayer de faire silence devant cette source, cette présence d’un autre ordre. Le salut est là, simplement là. Il frappe à la porte, celui qui entend et qui l’ouvre le reçoit, et il nous invite à partager tranquillement le pique-nique qu’il a apporté Apocalypse 320. Après le salut vient le secret de la force. On s’attend à un super héros gonflé de puissance divine ? Et c’est bien cela, mais cette force est d’être dans l’action pour faire le calme, en nous, entre nous et avec Dieu. Et cette force est dans la confiance. Là encore l’objet de cette confiance est ici d’abord la confiance en Dieu. Bien sûr. Mais pas seulement car sinon ce serait dit. Une confiance en Dieu qui nourrit une confiance en nous-mêmes et une confiance dans les autres, dans ce corps que nous formons ensemble. Confiance qui elle aussi doit être soumise à ce processus de salut évoqué en premier, passée au creuset pour écarter les scories et garder le meilleur, garder l’essentiel. Même dans notre confiance en Dieu, qui n’a pas à être aveugle non plus, elle est une interaction avec ce que nous sommes et ce que nous aimons. Une théologie en quatre mots Mais si le salut et la force sont dans ces 4 attitudes, Ésaïe nous offre aussi une théologie, car par définition, Dieu est salut et force. Ainsi parle le Seigneur, l'Éternel, le Saint d'Israël » nous dit Ésaïe 3015 Ainsi parle », c’est le célèbre coh amar » hébreu qui signifie ainsi parle », c’est l’acte du Dieu créateur qui travaille à mettre en ordre le chaos, ce ainsi parle... » est comme un début de genèse, une mise en lumière par ci et du plus vivant par là. Ce ainsi parle », c’est le Dieu qui participe à ce retour, cette conversion à laquelle il nous invite. Ainsi parle le Seigneur ». Ce seigneur, c’est Adonaï », il est la stabilité. L’Éternel », c’est le Dieu de tendresse et de pardon, celui qui fait la paix par l’amour, qui calme par son pardon. Le Saint d’Israël » est celui qui a scellé une alliance avec nous et qui ne s’en dédiera pas, celui qui travaille avec nous et pour nous, celui qui fait de l’humanité un peuple. Ce Dieu que nous décrit Ésaïe, il sauve par sa force créatrice inlassable, et sa force est dans sa tendresse et sa fidélité. Quelle façon d’être ! Contemplons le. Prenons-en de la graine. Calme et tranquille. Amen Vous pouvez réagir par mail... faites profiter les autres de vos propres réflexions… Vivre dans le calme et la confiance Faites le pointVous arrive t-il d'avoir des pensées négatives qui tournent en boucle dans votre tête, de douter de votre valeur et des choix à faire ? Eprouvez-vous des craintes et des angoisses récurrentes ? Reportez-vous sans cesse vos projets ou restez-vous bloquée à tous les niveaux ?, Vous sentez-vous souvent coupable ou vous dévalorisez-vous ? Etes-vous peut-être dans l’auto-sabotage ou avez-vous souvent l'impression que Dieu est lointain ?Si vous vous reconnaissez dans au moins deux de ces symptômes, cette promesse est alors pour vous C'est dans le calme et la confiance que sera votre force » Esaïe psalmiste s’est lui aussi trouvé dans une telle situation. Il dira "Pourquoi t'abats-tu, mon âme, et gémis-tu au dedans de moi ?" Psaume priorité, selon Dieu, est d'entrer dans le calme et la confiance. Concrètement, qu’est-ce que le calme et qu’est-ce que la confiance ?Le calme se définit par une absence d’agitation, de nervosité. Il s’apparente à une tranquillité, une maîtrise de soi et une paix de l’esprit. La confiance est un sentiment de sécurité que l’on a vis à vis de quelque chose ou de quelqu’ assemblant ces deux définitions, nous obtenons un cocktail extraordinaire Tranquillité, maîtrise de soi, paix de l'esprit, sentiment de sécurité, confiance en soi, capacité d'entreprendre et de supporter l' pourquoi le Seigneur allie ces deux qualités calme et confiance. Il nous indique clairement le moyen de reprendre le dessus lorsque nous perdons calme et la confiance font appel à notre ressenti, notre attitude, notre for intérieur, notre perception de la réalité qui nous entoure. C’est à nous qu’il appartient de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour favoriser le calme et la confiance au quotidien. Cela implique aussi notre capacité et notre volonté à nous remettre entre les mains de Celui qui contrôle toute chose. Choisissons sciemment d’entrer dans le calme et la confiance. Ainsi nous serons “forts” pour faire face aux défis qui se présentent dans notre vie. Passer au contenu AccueilL’EGLISEQui sommes nous ?Confession de foiMot du pasteurCALENDRIERPREDICATIONSMessage vidéoPrédications FAIRE UN DONCAJEF ProvenceCONTACT Calme et confiance Calme et confiance Méditation CALME ET CONFIANCE ! Ésaïe 30 15 Car ainsi a parlé le Seigneur, l’Éternel, le Saint d’Israël C’est dans la tranquillité et le repos que sera votre salut, C’est dans le calme et la confiance que sera votre force. Mais vous ne l’avez pas voulu ! Comment et où trouver des forces physiques, mentales et spirituelles, afin de traverser, avec courage, les adversités et les épreuves de la vie ? Où trouver, par exemple, la force pour faire face à ce nouveau confinement ? ce sont autant de questions qui peuvent trouver réponse à travers le verset d’introduction. En effet, Je retiens 2 mots d’ordre, qui peuvent, parfaitement, résumer ce qui peut être notre force, lorsque nous traversons l’adversité ou l’épreuve, dans notre vie Calme et Confiance » En effet, lorsque l’adversité nous fait face ; il nous faut, tout d’abord, chercher à garder notre calme. Le roi Salomon, l’homme le plus sage au monde, a dit de belle chose concernant le calme. Il a dit dans Ecclésiaste 10 4 Si l’esprit de celui qui domine s’élève contre toi, ne quitte point ta place ; car le calme prévient de grands péchés. Proverbes 15 1 Une réponse douce calme la fureur, Mais une parole dure excite la colère. En effet, lors d’un conflit houleux, avec une personne ; le fait de rechercher le calme pour nous même, va, non seulement, nous garder de grands péchés ; mais peut aussi apaiser les situations conflictuelles. C’est vrai qu’il n’est pas toujours facile de garder son calme. Et pour être honnête, nous avons tous, à un moment donné de notre existence, perdu notre calme, pour laisser place à de l’agitation, de la contrariété, de l’énervement et beaucoup de colère … Mais, Dieu désire que nous apprenions à garder notre calme. lorsque nous traversons l’épreuve. Certes ; C’est plus facile à dire qu’à faire ; Mais ce n’est pas impossible ; surtout avec l’aide de Dieu. Il s’agit pour nous, lorsque nous sommes dans l’agitation, de nous tourner vers notre Père céleste, afin d’implorer son divin secours. Tout comme l’a fait David lorsqu’il traversa une situation difficile de sa vie. 1 Samuel 30 6 David fut dans une grande angoisse, car le peuple parlait de le lapider, parce que tous avaient de l’amertume dans l’âme, chacun à cause de ses fils et de ses filles. Mais David reprit courage en s’appuyant sur l’Éternel, son Dieu. Le 2e mot qui doit nous donner la force lorsque nous sommes amenés à traverser l’épreuve, c’est le mot Confiance ». Bien évidemment nous parlons ici de confiance en Dieu ! Or, faire confiance à Dieu ; c’est faire le choix de croire ce que dit Dieu ; C’est faire le choix de se fier en Lui et de nous appuyer sur Lui. Faire confiance à Dieu c’est aussi nous rappeler qui est Dieu ; Mais comment le pourrions-nous si nous ne nous appliquons pas à connaitre Dieu ? Psaumes 9 11 Ceux qui connaissent ton nom se confient en toi. Car tu n’abandonnes pas ceux qui te cherchent, ô Éternel ! En tous cas, trop souvent, nous oublions qui est Dieu et cela nous fait sombrer dans le doute et l’inquiétude. Faut-il rappeler que Dieu est Omniprésent, Omnipotent, Omniscient et Providentiel à la fois ? Faut-il aussi rappeler que son amour pour nous est éternel et nous assure protection et sécurité ? En fait, Dieu sait, parfaitement, comment nous rendre victorieux de toutes épreuves et Il sait aussi comment nous rendre fermes et inébranlable, face aux adversités de la vie. Mais pour cela ; Dieu nous rappelle son mot d’ordre que nous devons nous empresser de mettre en pratique Calme et confiance ! Ésaïe 41 10 Ne crains rien, car je suis avec toi ; Ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu ; Je te fortifie, je viens à ton secours, Je te soutiens de ma droite triomphante. Votre Pasteur, Joël Prudent Quelques services dans notre église Jeunesse Des réunions de jeunesse à partir de 13 ans sont données un samedi sur 2 à 17h, pour partager la parole de Dieu. Les sujets spécifiques touchant nos adolescents sont abordés sous le regard du Seigneur. Des rencontres inter-églises sont également organiser pour établir un échange de la jeunesse dans les villes de la région. Enfin, des sorties sont proposées à nos jeunes pour qu’ils se dépensent et s’extériorisent, toujours sous le regard du Seigneur. Stand biblique Tous les mardis matins de 9h à 12h sur le marché hebdomadaire d’Istres, se tiens notre stand biblique. Roland et son équipe n’hésitent pas à parler du Seigneur et à distribuer la bible à celui qui la demande. Cours biblique Une instruction biblique est dispensée une fois par mois. Le pasteur Joël Prudent et l’ancien Sylvain Bernard approfondissent les sujets de la bible afin d’édifier les membres de l’église. Club des enfants Pendant les cultes hors vacances scolaires, le “club des enfants” accueille les enfants afin de leur donner une instruction biblique adéquat. Des classes d’âges sont réparties avec les 5-9 ans et les 10-12 ans. De même, une garderie est à disposition des parents avec leur nourrisson et bébé jusqu’à 4 ans. Ils peuvent ainsi garder leurs enfants tout en assistant au culte. Les femmes Le groupe des femmes se réunit une fois par mois, le jeudi matin de 9h à 10h et le soir de 18h30 à 19h30. Elles prient ensemble et intercèdent pour leur famille mais aussi pour les nombreux sujets de prières qu’elles ont à cœur. Équipe de visites Plusieurs équipes de l’église se déplacent régulièrement afin de rendre visite aux chrétiens membres de notre communauté ne pouvant plus se déplacer. C’est d’abord dans la prière mais surtout dans la relation fraternelle que l’église à son rôle à jouer auprès des frères et sœurs en christ. Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes de confidentialité

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