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Conseils & Réservations 01 83 77 01 10 Paiement sécurisé Séjours & Hôtels Séjours & Hôtels Régions Villas & Résidences Villas & Résidences Régions Voyages Combinés Voyages Combinés Vivez l'île Maurice autrement, en combinant plusieurs régions avec un séjour dans 2 ou 3 établissements ou en prolongeant votre voyage vers l'île de Rodrigues et découvrez la beauté sauvage de la Cendrillon des Mascareignes. L'île Maurice Evénements Visites & Excursions Toutes les Visites & Excursions Mauritius Travel Rechercher Accueil île Maurice Guide Voyage Les plus beaux spots de snorkeling Partez à la découverte des joyaux de l’océan Indien lors de superbes sorties en mer ! Dans le lagon paisible, près des récifs ou des barrières de coraux, vous serez émerveillés par la richesse de la vie sous-marine qui encercle l’île. Enfilez vos palmes et équipez-vous dès maintenant de vos masques et tubas, on vous emmène explorer les plus beaux spots de snorkeling de l’île Maurice. Parc marin de Blue Bay, le plus populaire Situé au sud-est de l’île, Blue Bay est sans doute le spot le plus réputé de l’île. Facile d’accès, vous pouvez vous y rendre en bateau à fond de verre depuis la jetée de la plage. Cette zone protégée, parsemée de coraux dont certains sont vieux de 800 ans, se trouve face à la plage publique éponyme et est le seul parc marin de l’île. Avec 5 à 6 mètres de profondeur et une superficie de plus de 140 hectares, vous pourrez y admirer une myriade de créatures sous-marines telles que les poissons-perroquets, les Idoles des Maures, les poisson-demoiselles et les poissons sergent-major. Les plus chanceux auront peut-être même la chance de croiser des tortues. Notez que dans cette région, les courants peuvent être forts à certains endroits. Les baigneurs ne peuvent pas rejoindre seuls toutes les zones du parc marin sans être accompagnés d’un guide professionnel. Où séjourner ? Shandrani Beachcomber Resort & Spa Flic en Flac, le plus accessible Situé sur la côte ouest, à l’abri du vent, Flic en Flac est superbe. La plongée en apnée est captivante et très accessible, et ce même pour les enfants, chose assez rare pour être soulignée sur l’île. Avec ses 2 mètres de profondeur, sa grande et longue plage, ses eaux calmes, elle vous permettra de passer des instants inoubliables. Vous nagerez parmi les coraux et les poissons colorés, en toute sérénité. Le lagon recèle diverses espèces telles que le dascyllus à queue blanche, le poisson-papillon ou encore des petites murènes. De plus, vous aurez une vue magnifique sur le Morne Brabant en arrière-plan. Toutefois faites attention aux oursins, il est conseillé de porter des chaussures de plage appropriées ou des palmes lors de vos sorties !Où séjourner ? La Pirogue Resort & Spa Trou aux Biches, l’incontournable Voilà l’un des meilleurs spots de l’île, un immanquable du nord Trou aux Biches. Une abondance d’espèces sous-marines vit dans ses eaux peu profondes et d’un bleu azur. Un endroit rêvé pour faire du snorkeling, où à 200 mètres de la plage vous trouverez une barrière de corail. Si ce spot est destiné aux nageurs expérimentés car le vent y souffle régulièrement fort, la sortie vaut largement le détour. Avec votre masque, vos palmes et votre tuba, rejoignez la barrière et plongez dans un univers féerique ! Soyez attentif pour ne pas manquer les poissons-globe, qui se faufileront sous vos yeux. Vous pourrez également voir des palourdes géantes, des oursins et des crayons d’ séjourner ? Sakoa Boutik Hotel Mauritius Baie de Mahébourg, le plus secret On vous invite à vous aventurer dans l’un des spots les moins connu du sud de l’île, qui recèle pourtant de nombreux trésors. La baie de Mahébourg, profonde de 8 mètres est accessible en bateau avec un guide local qui saura vous transmettre sa passion pour les fonds marins et l’environnement à préserver de l’île Maurice. Dans le vaste lagon, vous trouverez le récif à environ 1,3 km de la terre ferme. Avec une superficie de 500 m², ce récif est composé de coraux tabulaires avec des cornes de cerfs ainsi que des coraux aux couleurs de feu. Vous serez agréablement surpris par la beauté de cette flore corallienne encore préservée. Au centre du spot vous pourrez admirer des anémones et poissons clowns mauriciens, une espèce endémique, des barracudas et autres espèces. À l’abri des courants et des vagues, la plongée en apnée est y est une expérience séjourner ? Preskil Island Resort L’île Plate et l’îlot Gabriel, les plus captivants Autres spots du nord, l’île Plate et l’îlot Gabriel sont deux îlots voisins qui se situent à 10 km au large de la côte. Il faut compter 90 minutes de bateau depuis Grand Baie pour s’y rendre. Le snorkeling y est des plus beaux car les fonds marins sont mieux préservés et moins sollicités, bien qu’il reste des prisés par les voyageurs en catamaran qui viennent s’amarrer non loin de là. Pour atteindre le spot de l’île Plate, à cause des courants il est préférable de marcher vers le nord et redescendre le courant. Et à l’îlot Gabriel vous allez nager à contre-courant, mais cela est possible uniquement quand il n’est pas trop fort. De plus, ces eaux cristallines abritent des poissons-ange empereur, l’un des plus beaux de l’île, des poissons napoléons, des poissons-mouches, des balistes, et de nombreuses autres espèces. Avec de la chance, vous apercevrez peut-être une raie pastenague ou une tortue de séjourner ? Zilwa Attitude Trou d’eau Douce et l’île aux Cerfs, les plus agréables Joli village côtier, Trou d’eau Douce est un également un spot de snorkeling dont la partie intérieure du récif et est d’une profondeur constante de 2 à 3 mètres. Vous nagerez parmi une kyrielle de poissons tels que le poisson chirurgien, poisson perroquet ainsi que des palourdes géantes de toutes les couleurs. Le lagon d’un bleu magnifique et les montagnes verdoyantes tout autour de vous en font un cadre de rêve, incontestablement. Vous serez également à l’abri des vagues et du courant ce qui rend la pratique du snorkeling très agréable. Juste à côté de là, l’île aux Cerfs est un joyau mauricien et un endroit magique pour faire de la plongée en apnée. Dans son lagon turquoise, ce spot recèle une vie sous-marine très riche. Des coraux colorés, des étoiles de mer,des vivaneaux à raies bleues, des dorades, et une multitude d’autres espèces tropicales cohabitant ici et donnent la sensation d’être immergé dans un séjourner ? Shangri-La Le Touessrok Mauritius Lors de vos sorties snorkeling, gardez toujours à l'esprit que vous profitez d'un environnement naturel enchanteur qu'il faut absolument préserver. Pensez à ne pas marcher sur les coraux, ne pas en arracher pour en ramener en souvenirs et à ne pas vous agripper à ces joyaux. Nous vous conseillons également d'utiliser de la crème solaire adaptée aux sorties en mer, afin de ne pas participer au blanchiment et la destruction des écosystèmes marins. Pour votre projet de voyage à l'île Maurice, les conseillers Mauritius Travel sont à votre disposition au 01 83 77 01 10. Vous pouvez faire confiance à leur expertise et surtout à leur esprit critique ! 8 ème édition du Congrès International d’ORL et de Pneumologie en parallèle avec la 3 ème édition du Congrès des Chirurgiens-Dentistes Depuis le 1er novembre 2012, les conditions d’entrée des ressortissants étrangers sur le sol mauricien ont été modifiées. Il n’est plus nécessaire d’avoir un passeport valide 6 mois après la date de retour il suffit que la validité du passeport soit ultérieure à la date de retour. Pour pénétrer sur le territoire mauricien, les conditions d’usage sont donc les suivantes être en possession d’un passeport valide jusqu’à la date de retour en France être en possession d’un billet d’avion retour justifier d’une réservation ferme pour un hébergement disposer de moyens financiers suffisants pour couvrir les frais de séjour L’objectif de cette décision gouvernementale est de faciliter la venue des Français à Maurice et à Rodrigues. Pour plus d'informations, veuillez aller à Inscription au congrès Contactez Jenny CARPANEN Chargée d'Opérations & de Communication +33 1 55 77 12 66 Eu +230 59 44 54 39 Mu Organisateur du Congrès 39, rue St-Georges, Port Louis, île Maurice +230 213 18 11 contact © Copyright 2020 - EDITIEL - Tous droits réservés. Haut de page 10 jours à l’ile Maurice ! Ahhh, l’ile Maurice ! Un endroit dont on entend souvent parlé et dont on pense y aller que dans nos rêves les plus fous. Pour nous, l’ile Maurice, c’était une destination très lointaine, réservée à une élite ou tout simplement, pour les lunes de miel. On était à lieues d’imaginer y aller un jour. Et une proposition de voyage en famille plus tard, nous y sommes !Niveau budget, ce qui coûte le plus cher, c’est bien sûr le billet d’avion. Ensuite, sur l’ile, à vous de voir ce que vous voulez. On peut trouver de tout à tous les tarifs ! Notre cher guide du Routard nous disait L’ile Maurice a la réputation d’être une destination chère, essentiellement à cause du billet d’avion. Mais une fois sur place, contrairement à l’idée reçue, on peut parfaitement se loger et se nourrir à des prix raisonnables ». Et si en plus vous voulez passer tout votre temps à la plage, ça ne vous coutera pas grand chose. Bon, 10 jours à la plage, très peu pour nous. On n’est pas là pour se dorer la pilule 24h/24, mais pour découvrir plus en détail cette belle ile Maurice !Avant de vous conter notre séjour à l’ile Maurice, jetez un œil à notre vidéo 😉 ça vous mettra dans l’ambiance !Pour mieux vous familiariser avec la géographie de l’ile Maurice, nous vous avons préparé une carte situant les lieux phares de l’ile L’ile Maurice – Jour 1 – La Pointe des CanonniersOn débarque le matin à l’ile Maurice et la température est déjà de 25°. Le reste de la journée s’annonce prometteur ! Direction la Pointe des Canonniers, à l’extrême nord de l’ile pour découvrir notre chez nous » pour les 10 jours à venir. On a loué une superbe villa coloniale avec vue sur la mer. Un lieu incroyable… on se croirait au paradis !En cette première journée à l’ile Maurice, nous allons en profiter pour ne rien faire se détendre et profiter de la belle piscine. Oui, les vacances ça sert à ça 😉> Découvrez la Pointe des Canonniers par ici ici là Pour vivre notre journée sur l’ile aux Bénitiers, c’est par ici Découvrez Cap Malheureux par ici Notre journée à Curepipe, c’est par ici icilà Revivez notre journée sur l’ile aux Cerfs ici >ici>là<< Vous pouvez également nous suivre sur Twitter, Facebook, Youtube, Pinterest et Instagram. On vous y attend pour découvrir l’ile Maurice et d’autres destinations ! A tout de suite… A l’époque de la Compagnie des Indes et pendant les années qui suivirent la fin de son monopole du commerce, bien des matelots se sont rendus, sur des navires de Lorient à l’île Maurice alors appelée " Isle de France ".Le voyage était assez éprouvant et durait cinq mois environ. Une fois arrivée à Port-Louis de l’île de France, ces matelots restaient parfois plusieurs années dans l’océan Indien, avec comme port base cette île, avant de revenir en France. C’est le cas de François Thoumelin qui s’engagea, pour son premier voyage pour la Compagnie, sur la flûte Le Massiac à l’âge de 16 ans. Il effectua plusieurs expéditions à l’île de France, aux Indes et en Chine et fit de longs séjours dans l’océan Indien. Il navigua au commerce de 1762 à 1784. Il partit, dans sa carrière de matelot, six fois de Lorient pour des périodes allant de deux à huit années. Le temps passé, entre deux voyages, avec sa famille était très limité et se comptait en mois rarement en année. Les questions qui se posent à nous, sur la vie de ces matelots, sont assez simples et peuvent se résumer aux suivantes Que voyaient-ils sur l’île ? Que faisaient-ils sur place ? Comment vivaient-ils ? Quelles étaient leurs distractions ? Comment la famille vivait cette séparation ? Raconter la vie des matelots à l’île de France n’est pas une chose aisée car la majorité d’entre eux ne savait ni lire, ni écrire. Ces derniers n’ont donc pas laissé de traces écrites sous forme de récits ou de lettres. Pour essayer de cerner qu’elle était leur vie, il nous faut donc utiliser les témoignages indirects que sont les documents officiels écrits par l’écrivain du bord ou les récits de voyage de certains capitaines. Cette brève étude essaie donc de relater la vie des matelots à l’île de France de 1750 à 1790, en examinant successivement l’environnement, le climat, la vie sociale de l’île, les voyages effectués vers les Indes et la Chine et les relations avec les familles restées en France. Le paysage de l’île A 900 km de Madagascar, centrée par 20° 15’ Sud et 57° 35’ Est, l’île de France 1850 Km2 fait partie avec l’île Bourbon actuellement, l’île de la Réunion et l’île Rodrigues de l’archipel volcanique des Mascareignes. En 1753, l’année où l’abbé de La Caille s’est rendu à l’île de France pour établir des relevés afin de dresser une carte de l’île, ce dernier mit ses observations par écrit et décrivit l’île de cette manière "Le terrain de l’Isle de France est en général assez bon, mais il est recouvert d’une quantité prodigieuse de pierres de toutes sortes de grosseurs, dont la couleur est cendrée noire.........On y trouve aussi beaucoup de pierres ponces, surtout sur la côte nord de l’isle, de laves ou espèce de laitier, de fer, de grottes profondes et d’autres vestiges manifestes de volcan éteint. L’Isle de France est presque toute couverte de bois. Ces bois sont assez beaux, surtout du côté du sud-est de l’isle. Ils sont fort embarrassés de fougères et de lianes. L’Isle de France est arrosée de plus de soixante ruisseaux. Ils sont fort près les uns des autres dans la partie méridionale de l’isle. Il y en a même de fort considérable, que leur largeur et leur profondeur rendent difficiles à passer. Le milieu de l’isle est rempli d’étangs d’eau douce, qui sont la source de la plupart de ces ruisseaux. La côte nord-est et du nord-ouest de l’Isle est sans eau ; on n’y rencontre guère que des mares d’eau salée. La dixième partie de l’isle, ou à peu près, est défrichée et cultivée on y sème du froment, de l’orge, de l’avoine, du riz, du maïs et du millet. Une partie des terres est en manioc pour nourrir les noirs. On fait en quelques endroits du sucre et du fort beau coton. On ne peut labourer les terres à cause des pierres. On les façonne à coups de pioches, et l’on jette quelques grains dans chaque trou formé par la pioche. Dès qu’un champ est moissonné, on y plante souvent un autre grain. Les nouveaux défrichés sont assez fertiles ; mais on les fait trop travailler. Les grands abattis de bois qu’on a faits pour établir certains quartiers, les ont rendus sujets à des sécheresses qui changent les terres en poussière, entretiennent les insectes et les fourmis. On cultive dans les jardins avec assez de succès la plupart de nos légumes d’Europe, dont on fait venir les graines de France, du Cap et de l’Isle de Bourbon. On y a peu de fruits... Peu d’habitants ont des troupeaux. Il n’y a guère que le cabri et le cochon d’Europe et de l’Inde qu’on nourrisse facilement. Les moutons y sont fort rares, et d’une mauvaise venue. On y trouve quelques troupeaux de bœufs et de vaches venues de Madagascar. Les vaches amenées ou originaires de Madagascar rendent très peu de lait. Celles qui viennent de France s’y vendent trois fois plus cher, parce qu’elles en rendent plus abondamment." Les conditions climatiques Le climat de l’île de France, au XVIIIe siècle, était sensiblement identique à celui de l’île Maurice actuellement. Il est tropical mais tempéré par les influences océaniques. Il bénéficie du souffle humide de l’alizé du sud-est qui engendre les classiques oppositions de versants si le Centre et le Sud reçoivent de nombreuses précipitations, le Nord et l’Ouest peuvent souffrir de sécheresse. L’île est située sur la trajectoire des cyclones tropicaux de l’océan Indien pendant l’été austral. Pendant la période qui nous intéresse, l’île fut souvent touchée par des cyclones. Un survint le 1er février 1771 et occasionna beaucoup de dégâts sur l’île. Tous les navires du port furent jetés à la côte et deux coulèrent. Le mois suivant, un autre cyclone un peu moins violent frappa l’île en faisant encore des dégâts. Dans la nuit du 9 au 10 avril 1773, un autre ouragan atteignit l’île de France. Ce dernier fut plus violent que les précédents. De nombreuses maisons furent détruites ainsi que l’église et encore une fois un nombre important de navires allèrent à la côte. En 1784, 1785,1786 et 1788, d’autres cyclones violents ravagèrent l’île de France. Par la suite, le climat fut plus clément pendant plusieurs années. La population La population, de l’île de France, était composée de trois classes les blancs, les "libres", égaux juridiquement mais non réellement des blancs, et les esclaves. En 1766, il y avait 1998 blancs dont la plupart étaient des célibataires, des employés de la Compagnie qui avaient laissé leurs femmes et leurs enfants en France. En 1788, leur nombre s’était accru, ils étaient 4457 dont la moitié vivait au chef-lieu et l’autre moitié à la campagne. Les "libres" étaient soit des esclaves affranchis soit des "malabares" importés de l’Inde comme ouvriers. Le nombre des "libres" était de 1199 en 1776 les chiffres n’existent pas pour 1766 et de 2456 en 1788. La plupart vivaient au Port-Louis. Les esclaves étaient neuf fois plus nombreux que les blancs. Leur chiffre doubla de 1766 à 1788, passant de 18100 à 35915. Ils provenaient de la traite avec Madagascar ou le Mozambique et aussi de l’Inde. La ville de Port-Louis La ville de Port-Louis, capitale de l’île de France, était une excellente rade pour les navires. Le port était aménagé et comportait des installations pour le mouillage mouillage de Caudan et l’entretien des navires. Elle comptait à cette époque environ 500 maisonnettes de bois. Ces dernières pouvaient être transportées sur des rouleaux, aux fenêtres ni vitres, ni rideaux et à l’intérieur des meubles de mauvaise qualité. Les rues et les cours n’étaient ni pavées, ni bordées d’arbres. Le terrain était recouvert par les esquines Nom vulgaire du Smilax China. L’esquine ou la squine, de l’Asie orientale, est pourvue de quelques aiguillons, a des feuilles inermes et des fleurs en ombelles -Le fruit est une baie. Le rhizome est antirhumatismal et parsemé de blocs de pierre. La voirie était inexistante. En 1784, la ville et ses environs étaient entourés par des fortifications. Les deux principales batteries étaient la batterie Royale et la batterie Dumas sur la montagne des Prêtres. A l’est, la ville était fermée pour une ligne de retranchements qui allaient du trou Fanfaron jusqu’au-dessus de la batterie Dumas. Pour la côte ouest, seule une ligne de fortifications en pierre sèche existait. Cette ligne allait du port à la montagne sur le terre-plein de la pointe du Morne de la Découverte. A la fin de la période qui nous intéresse la ville a changé d’aspect. La pierre a remplacé le bois pour la construction des maisons, qui ont presque toutes un étage. Les rues ont été rectifiées et élargies. L’église et le "gouvernement" ont été rénovés, d’autres bâtiments d’importance s’y sont rajoutés. Le cimetière, situé d’abord au centre de la ville, a été déplacé sur la rive occidentale du port et son ancien emplacement transformer en jardin. Les ruisseaux traversant la ville ont été canalisés. Port-Louis était divisé en 3 parties au centre la ville pour les blancs avec un secteur résidentiel et un autre commercial ; à l’est et à l’ouest, deux faubourgs habités par les "libres de couleurs". En débarquant sur le quai principal de Port-Louis, on accédait à la place d’Armes qui s’étendait devant le "gouvernement". Derrière celui-ci, une longue avenue la rue du gouvernement conduisait au Champ de Mars, vaste plaine au fond du vallon, servant de manœuvres. A gauche de l’avenue, en regardant le port, la partie résidentielle, appelée quartier du Rempart, à droite la partie commerciale, dite quartier de la Petite Montagne, où étaient installés les négociants. Les maladies, les infrastructures hospitalières et le cimetière L’hygiène à Port-Louis était pratiquement inconnue. La petite vérole fit de nombreuses victimes ainsi que le charbon épidémique. En 1770, on estime que le quart de la population servile fut emporté. De nouvelles épidémies de petite vérole se déclarèrent en 1772 et en 1782. Les maladies étaient souvent apportées par les vaisseaux revenant des Indes. Ajouté à ses calamités, les mauvaises conditions d’inhumations des décédés ne permettaient pas d’enrayer rapidement la maladie. En effet, dans la ville de Port-Louis, les cochons allaient dans le cimetière déterrer les corps et ramenaient à la ville des lambeaux de cadavres. Bien des marins étaient débarqués malades de leur navire tel le matelot François Thoumelin qui fut amené deux fois à l’hôpital de Port-Louis à la fin de ses traversées Lorient- île de France, une fois en débarquant du Massiac et la deuxième fois en quittant le Daupuin. Certains, grâce aux soins prodigués à l’hôpital qui fut le premier ouvrage de terre bâti par Mahé de Labourdonnais arrivaient à guérir d’autres comme Jean Robelet y mouraient. L’hôpital s’élevait entre le trou fanfaron et le bassin des chaloupes du port. Les distractions Les distractions étaient nombreuses à l’île de France pour les gens aisés et instruits. Il y avait des réceptions, des bals, des réunions de sociétés savantes, etc...Mais pour les matelots, de condition modeste, les loisirs étaient bien plus restreints. A bord du navire, les distractions étaient limitées. La vie était rythmée par l’entretien du navire, les repas et le repos. Toutefois quelques jeux de société étaient pratiqués tels que les osselets, les dominos, le jeu de dames et les échecs. Par contre, à terre, les matelots pouvaient se distraire dans les nombreux bars de la ville de Port-Louis où il existait, en 1772, 125 cabarets. Ce nombre fut réduit les années suivantes. Ces sorties à terre pouvaient parfois mal se terminer pour certains matelots. Comme, dans tous les ports, des bagarres éclataient et parfois des matelots étaient blessés ou tués. Une autre distraction était à la disposition des matelots, une visite au "bazar" ou marché situé derrière l’hôtel du gouvernement. Le commerce, les achats Le but des voyages était bien sûr le commerce et en particulier celui des épices, des étoffes et des porcelaines mais les matelots n’y étaient pas directement impliqués. Toutefois, à l’île de France, la Compagnie disposait de vastes magasins où l’on déposait tout ce qui venait de France ou ce que le gouverneur jugeait bon de faire acheter hors de l’île pour la subsistance des habitants. L’ensemble du personnel de la Compagnie ainsi que le gouverneur, les conseillers, les prêtres des paroisses, etc. étaient autorisés à acquérir au prix coûtant les marchandises entreposées c’était ce que l’on appelait le prix de la Compagnie. La monnaie d’échange était la piastre gourde d’Espagne qui équivalait en 1761, 105 à 106 sous en dehors de l’île de France. Sur l’île, pour favoriser le commerce, la piastre ne valait que trois livres douze sous ; convertie en lettre de change sur la Compagnie, elle reprenait sa véritable valeur. D’autre part, avant de revenir en France, les matelots procédaient généralement à des achats pour les revendre une fois de retour à Lorient. Ce commerce, le "port permis", autorisé par la Compagnie, rapportaient beaucoup. Il pouvait permettre de doubler la solde. Certains s’adonnaient aussi à la "pacotille", c’est-à-dire effectuaient des achats pour des tiers et partageaient ainsi les bénéfices avec ces derniers. Mais ce commerce était plus risqué car n’étant pas autorisé, il était sujet à la confiscation des produits. La vie au jour le jour Les matelots étaient sous l’autorité du capitaine et des officiers des navires sur lesquels ils étaient embarqués. L’île était commandée par le gouverneur, les navires et le port par le chef d’escadre. A l’époque de la Compagnie des Indes, le matelot signait un engagement pour plusieurs années. Pendant cette période, la Compagnie était tenue de nourrir et de fournir les subsistances au matelot à l’île de France et même au-delà de l’expiration de l’engagement jusqu’à ce qu’il se présente un navire pour rentrer en France. Mais cette prise en charge par la Compagnie, après la date de fin d’engagement, n’était effective que si le matelot poursuivait ses services avec la Compagnie. Au port, le matelot vivait donc à bord du navire sur lequel il était embarqué. Entre deux embarquements, il se retrouvait parfois à bord d’une "cayenne", c’est-à-dire à bord d’un navire mouillé en rade et servant de caserne flottante. Parfois, lorsqu’il était malade au port ou après une navigation, il débarquait et était hospitalisé à l’hôpital de Port-Louis. Les embarquements à partir de l’île de France Pendant la première partie de la période qui nous intéresse, jusqu’en 1767, seuls les navires de la Compagnie des Indes étaient autorisés à commercer à partir de l’île de France. Les années suivantes, le monopole de la Compagnie étant tombé les échanges devinrent plus libres. Les marins qui restaient à l’île de France pouvaient donc embarquer localement pour compléter les équipages des navires qui naviguaient à partir de Port-Louis. Les équipages étaient généralement composés par des européens ou américains, des lascars originaires de l’Inde et des esclaves africains. Les voyages et les activités réalisés par les navires pouvaient se classer de la façon suivante le cabotage avec les dépendances Seychelles et Rodrigues principalement, les voyages avec l’île Bourbon et Madagascar, la traite négrière en Afrique, le commerce d’Inde en Inde L’Inde, Ceylan, l’Indonésie, Malaisie etc., les opérations de pêche, d’exploration et de découverte, la course maritime. François Thoumelin, dont nous avons déjà parlé précédemment, participa à partir de l’île de France, ainsi à des voyages vers les Indes et aussi à des opérations de course dirigées par le chef d’escadre, monsieur Grout de Saint-Georges. Il toucha ainsi des parts de prises sur les navires capturés à l’ennemi. La famille en France Pour vivre, la famille restée en France touchait des acomptes. Ces derniers étaient versés à la femme du matelot qui se présentait avec un billet signé du prêtre de la paroisse certifiant qu’elle était bien l’épouse. Par contre les nouvelles étaient rares. En effet, comme la plupart des matelots et leur famille ne savaient ni lire, ni écrire, ils ne pouvaient donc pas correspondre par courrier. La principale façon d’avoir des nouvelles était d’entendre à leur retour en France, des matelots connaissant l’homme resté aux Indes et qui l’avaient vu dans les mois auparavant. Parfois, certaines personnes sachant écrire servaient d’intermédiaire pour rédiger une lettre au directeur de la Compagnie des Indes de Lorient afin d’avoir des nouvelles d’un marin. La lettre ci-après est un exemple de ce type de courrier Monsieur La femme du nommé Jean Blanche canonnier dansla Compagnie, m’a dit que vous aviez eu la bonté delui promettre il y a plus d’un an des nouvelles de sonmary. Elle est pauvre et chargée d’enfans. Je vousprie en grace, et de sa part, je voudrois bien luy fairescavoir des nouvelles de son mary, vous ferez unecharité. Si vous avez pour agréable en m’honorantd’une réponse, de m’en inscrire, je lui en ferai partaussitôt. Je suis avec respectMonsieurVôtre très humble et très obéissant serviteur Blanchardancien procureur du roi, du Présidial de Quimper _A Josselin le 16 Août 1763. D’autre part, la Compagnie tenait à jour la liste des équipages et lorsqu’un matelot décédait, l’écrivain du bord établissait l’inventaire des biens du décédé et dressait un procès-verbal, signé du capitaine et des autres officiers du bord. Une vente aux enchères des hardes et effets avait lieu à bord. Au retour la famille était donc prévenue et touchait la solde due et le produit de la vente des biens. Le risque était que le navire, au retour, sombre ou soit pris par l’ennemi, supprimant ainsi la famille de toute information. C’est ainsi que Florence Guzello apprendra le décès de son mari, Jean Robelet, bien longtemps après sa mort à l’hôpital de Port-Louis, par deux de ses compagnons lors de leur retour en France. N’ayant aucun document pour faire valoir ses droits à succession, elle fut obligée d’établir devant notaire un acte pour constater le décès de son époux 10 années et demie après. Conclusion Les matelots embarquant pour la Compagnie des Indes dans les années 1750 à 1790 partaient en général pour plusieurs années. Le matelot quittait la France pour des pays lointains île Maurice, les Indes et la Chine. La première étape était en général le voyage Lorient - Port-Louis de l’île de France. Cette ville était alors pour lui le port base où il vivait entre deux expéditions pour les Indes ou la Chine. Il avait peu de nouvelles de sa famille et cette dernière recevait aussi peu d’informations sur le père, le fils ou l’époux parti pour de longues années. La femme et les enfants restés en France devaient donc vivre seuls avec toujours l’angoisse de ne jamais revoir l’être cher. Sources et bibliographie [1] - L’abbé de La Caille - Observations sur l’île Maurice faites en 1753 - Revue agricole de l’île Maurice de mai - juin 1953 - pages 126 à 129. [2] - Auguste Toussaint - Une cité tropicale - Port-Louis de l’île Maurice - Presses Universitaires de France - 1966. [3] - Josiane Le Lan - La vie de François Thoumelin - La Chaloupe N° 52 - Pages 5 à 8. [4] - Josiane Le Lan - Un acte de décès bien particulier - La Chaloupe N° 56 - page 13. [5] - Encyclopédie Universalis. Article sur l’île Maurice. [6] - Auguste Toussaint - La route des îles - Edts SEVPEN - 1967. [7] - Auguste Toussaint - Le mirage des îles - Le négoce français aux Mascareignes au XVIIIe siècle - Edts EDISUD - 1977. [8] - Auguste Toussaint - Histoire des Iles Mascareignes - Edts Berger-Levrault - 1972. [9] - Auguste Toussaint - Les frères Surcouf - Edts Flammarion - 1979. [10] - Philippe Haudrere - Gérard Le Bouëdec - Les Compagnies des Indes - Edts Ouest-France - 1999. [11] - André Garriques - Guide visiteur du Musée de la Compagnie des Indes à Port-Louis. [12] - Jean Boudriot - Compagnie des Indes 1720-1770 - Edité par l’auteur à Paris - Collection Archéologie Navale française - 1983. [13] - Marcelle Lagesse - Ces hommes de la mer - Edt IPC. [14] - Auguste Toussaint - L. Noël Regnard - D’Unienville - Dictionnaire de biographie Mauricienne. [15] - Site Internet - Sophie Hoarau et Marie-Paule Janiçon - Edition critique du Voyage à Rodrigue 1761-1762 d’Alexandre-Louis Pingré - Mémoire de maîtrise 1992 sous la direction du Professeur Racault. [16] - SHM de Lorient - N° 1P282 B - liasse 80 - pièce 64 - lettre de monsieur Blanchard. Conseils & Réservations 01 83 77 01 10 Paiement sécurisé Séjours & Hôtels Séjours & Hôtels Régions Villas & Résidences Villas & Résidences Régions Voyages Combinés Voyages Combinés Vivez l'île Maurice autrement, en combinant plusieurs régions avec un séjour dans 2 ou 3 établissements ou en prolongeant votre voyage vers l'île de Rodrigues et découvrez la beauté sauvage de la Cendrillon des Mascareignes. L'île Maurice Evénements Visites & Excursions Toutes les Visites & Excursions Mauritius Travel Rechercher Accueil île Maurice Guide Voyage Les plus belles cascades de l'île Maurice L’île Maurice est connue pour ses paysages de plages paradisiaques et de lagons. Mais elle cache bien d’autres trésors. L’intérieur de l’île abrite de superbes forêts, ainsi que de très belles cascades. Sur ces terres volcaniques, vous pourrez admirer des chutes d’eau rugissantes, des falaises vertigineuses et des gorges sans fond. Découvrez les cascades les plus remarquables du pays. Rochester Falls la cascade la plus massive Elle se situe à km du village de Souillac, dans le sud. On y accède par les champs de cannes. Cernée par la verdure, c’est la cascade la plus large de l’île. Elle se distingue par ses rochers transformés en blocs rectangulaires, façonnés par l’érosion. Haute de dix mètres, on peut apercevoir les visiteurs les plus téméraires sauter dans la piscine naturelle qui s’est formée en contrebas. Alexandra Falls la cascade la plus typique Elle se trouve dans les gorges de Rivière Noire. Site emblématique, il permet une vue panoramique sur la côte sud-est et l’océan. A plus de sept-cents mètres au-dessus du niveau de mer, la cascade est entourée de goyaves de chine petit fruit sauvage rouge ou jaune et des singes espiègles viennent y jouer. Un point de vue a été aménagé sur place, qui permet d’admirer la nature luxuriante des gorges. La cascade est composée de plusieurs chutes d’eau qui effleurent les roches. De loin, elles semblent former un ruisseau blanc. La cascade de Chamarel la plus impressionnante Située dans la réserve naturelle de la Vallée des Sept Couleurs, à Chamarel, elle est la plus haute de l’île elle coule sur cent mètres de hauteur, ce qui la rend visible depuis plusieurs points de vue. La forêt où elle se trouve, dense et verdoyante, est stupéfiante. Trois cours d’eau différents, provenant de la rivière Saint Denis, forment la cascade. Celle-ci coule à travers les champs et les gorges, en direction de la mer et offre un magnifique spectacle. D’ailleurs, plus bas, elle forme une crique, une vraie merveille, où il est possible de se baigner. Vous découvrirez en plus aux abords de la cascade des roches volcaniques qui datent d’il y a une dizaine de millions d’années. Les Sept Cascades les plus authentiques Aussi connue sous le nom de Tamarind Falls, ce site offre un spectacle prodigieux de nombreuses chutes d’eau, avec pas moins de sept cascades et des canyons. Il est conseillé d’être vigilant et d’engager un guide professionnel pour s’y rendre car aucun chemin balisé ne permet d’y accéder. Cela confère aux lieux une atmosphère de sanctuaire, idéale pour se couper du monde et se ressourcer. Sur place, vous pourrez vous baigner et faire du canyoning, de la descente en rappel et de longues randonnées en pleine nature jusqu’à 7h de marche. La cascade de Grande Rivière Sud-Est la plus populaire Cette cascade emblématique est celle que l’on visite en général avant de se rendre à l’île aux Cerfs. Elle est accessible depuis la mer par l’embouchure de Grande Rivière Sud-Est, mais aussi par voie terrestre à travers une route qui traverse des champs de cannes. Quel que soit le chemin que vous choisissez, vous serez surpris par un changement radical de paysage. La cascade est reconnaissable par son eau jaillissante et bouillonnante qui dévale un énorme mur de roches basaltique. Pour cause, c’est la plus longue rivière du pays, soit 30 km, qui en est la source. Certains visiteurs aventureux se risquent à sauter du haut de cette chute vertigineuse. La cascade d'Eau Bleue la plus exotique Aussi appelée Cascade Rama, elle atteint les quinze mètres de hauteur. Située dans le sud du pays, sur la route Cluny qui mène à Mare-Chicose, Eau Bleue est considérée comme un véritable joyau, longtemps gardé à l’abri des regards. Elle se compose de trois chutes d’eau, la plus accessible étant la cascade Mamzel. Toutes se déversent dans un bassin d’un bleu azur intense. Cette couleur particulière est le résultat des sources d’eau souterraines qui l'alimentent pendant l’été. Le bassin, d’une rare beauté, est le lieu rêvé pour se baigner, et constitue sans aucun doute l'un des sites les plus enchanteurs de Maurice. La cascade sous-marine du Morne la trompe l’œil C’est seulement en survolant la pointe sud-ouest de l’île que l’on peut admirer cette curiosité naturelle absolument magnifique. Derrière le Morne, un écoulement de sable, poussé par les importantes vagues et le courant de cette région, dans les eaux turquoise qui tirent progressivement sur le bleu profond, donne l’illusion d’une cascade sous-marine. D’une chute d’eau au cœur de l’océan Indien, un trompe l’œil superbe, qui vaut l’escapade en hélicoptère. Pour votre projet de voyage à l'île Maurice, les conseillers Mauritius Travel sont à votre disposition au 01 83 77 01 10. Vous pouvez faire confiance à leur expertise et surtout à leur esprit critique ! Questions fréquentes Qu’est-ce que la cascade sous-marine de l’île Maurice ? C’est un magnifique trompe l’œil, un effet d’optique dû aux courants marins qui poussent le sable de la côte jusqu’aux eaux profondes et créent l’illusion d’une chute d’eau. Comment voir la cascade sous-marine de l’île Maurice ? La meilleure manière de l’admirer est lors d’un survol, notamment en hélicoptère. Quelle est la plus belle cascade de l’île Maurice ? Sept Cascades, Rochester Falls, Chamarel… Tout dépend de nos envies de voyage et de découvertes, elles ont chacune leur charme et leur intérêt. Quelle est la plus haute cascade de l’île Maurice ? C’est la cascade de Chamarel, située dans le village éponyme, qui est la plus haute de l’île avec ses 100 mètres de chutes.

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