lerĂ©sumĂ© du chapitre chapitre 13 le capitaine Silver Avec une profond chagrin Jim dĂ©couvre que le blockhaus de ses amis est occupĂ© par Silver et sa bande . malgrĂ© le grand danger qui menace , Jim refuse de sa joindre aux pirates et prĂ©fĂšre mourir couragement . DĂ©sormais , il est l'otage de Silver et il dĂ©couvre avec une Ă©trange surprise que le IlĂ©tait un capitaine. Octobre 1894. Maxime Dumas Ă©crit pour son journal un article sur le scandale du jour : un officier français est accusĂ© de Ga naar zoeken Ga naar hoofdinhoud. profitez du shopping sans soucis. Livraison gratuite Ă  partir de 20 € Livraison le jour-mĂȘme, le soir ou le week-end* Retours gratuits; Select dĂ©couvrez-le maintenant IlĂ©tait un capitaine a Ă©tĂ© Ă©crit et dessinĂ© par Bertrand Solet. le livre a Ă©tĂ© publiĂ© en 1972. Il mĂ©lange biographie et roman historique. Il mĂ©lange biographie et roman historique. En 1894, un officier français est accusĂ© de trahison envers l'État Major. le Capitaine Dreyfus est jugĂ© coupable. IIĂ©tait le seul de nous encore « vouĂ© Ă  la mer ». Le pire qu'on pĂ»t dire d e lui, c'Ă©tait qu'il n'Ă©tait pas reprĂ©sentatif de sa classe. C'Ă©tait un marin, mais aussi c'Ă©tait un errant, alors que la plupart des marins mĂšnent, pour ainsi dire, une vie sĂ©dentaire. Leur esprit est d'espĂšce casaniĂšre, et ils portent toujours leur foyer Unroman adressĂ© Ă  la jeunesse đŸ§‘đŸ‘©. Le rĂ©sumĂ© du livre Les clients du Bon Chien Jaune laisse apparaĂźtre qu’il s’agit d’ un roman d’apprentissage un peu particulier. Au lieu de se faire de façon classique, l’évolution de l’adolescent se fait au cours d’une aventure de pirates sanguinaires ⚔. Commele bateau Ă©tait « Bede » L'auteur commence Ă  raconter les aventures du capitaine Vrungel dans le deuxiĂšme chapitre. Un capitaine brave a fatiguĂ© d' ĂȘtre assis Ă  la maison et a dĂ©cidĂ© de faire un voyage autour du monde. Il pourrait donner un grand navire, mais aurait eu ce depuis longtemps Ă  attendre. Le capitaine voulait se . RĂ©sumĂ© Chapitre XXVIII – Nous saisissons le navire AprĂšs avoir vaincu les mutins, CrusoĂ© dĂ©cide qu’il est temps de s’emparer du navire et il informe le capitaine de ses plans. Le capitaine est d’accord. CrusoĂ© et le capitaine intimident les mutins captifs avec un rapport fictif selon lequel le gouverneur de l’üle a l’intention de tous les exĂ©cuter mais pardonnerait Ă  la plupart d’entre eux s’ils aidaient Ă  saisir le navire. Pour garantir les promesses des hommes, CrusoĂ© garde cinq otages. Le plan fonctionne le capitaine rebelle du navire est tuĂ© et le navire est rĂ©cupĂ©rĂ©. Lorsque CrusoĂ© aperçoit le navire, il s’évanouit presque sous le choc. En signe de gratitude, le capitaine offre Ă  CrusoĂ© des cadeaux de vin, de nourriture et de vĂȘtements. Les mutins se voient offrir la possibilitĂ© de rester sur l’üle afin d’éviter certaines exĂ©cutions pour mutinerie en Angleterre. Avec gratitude, ils acceptent. Le 19 dĂ©cembre 1686, CrusoĂ© monte Ă  bord du navire avec son argent et quelques biens et met les voiles pour l’Angleterre aprĂšs vingt-huit ans sur l’üle. De retour en Angleterre, CrusoĂ© dĂ©couvre que la veuve qui a gardĂ© son argent est vivante mais pas prospĂšre. La famille de CrusoĂ© est morte, Ă  l’exception de deux sƓurs et des enfants d’un frĂšre. CrusoĂ© dĂ©cide de se rendre Ă  Lisbonne pour chercher des informations sur ses plantations au BrĂ©sil. RĂ©sumĂ© Chapitre XXIX – Je trouve ma richesse tout sur moi Il est impossible d’exprimer ici les battements de mon cƓur mĂȘme. . . quand j’ai trouvĂ© toute ma richesse sur moi. ArrivĂ© Ă  Lisbonne, CrusoĂ© regarde son vieil ami et bienfaiteur, le capitaine portugais qui l’a emmenĂ© le premier au BrĂ©sil. Le capitaine portugais dit Ă  CrusoĂ© que ses terres brĂ©siliennes ont Ă©tĂ© placĂ©es en fiducie et ont Ă©tĂ© trĂšs rentables. Le capitaine est redevable Ă  CrusoĂ© d’une somme importante qu’il rembourse partiellement sur place. CrusoĂ©, Ă©mu par l’honnĂȘtetĂ© du capitaine, rend une partie de l’argent. En obtenant une lettre notariĂ©e, CrusoĂ© est en mesure de transfĂ©rer ses investissements brĂ©siliens en son propre nom. Il se retrouve en possession d’une grande fortune. CrusoĂ© envoie des cadeaux en argent Ă  son amie veuve et Ă  ses deux sƓurs. TentĂ© de dĂ©mĂ©nager au BrĂ©sil, CrusoĂ© se prononce contre l’idĂ©e car il hĂ©site Ă  devenir catholique. Il dĂ©cide de retourner en Angleterre, mais il refuse de voyager par mer, retirer ses bagages de trois navires diffĂ©rents au dernier moment. Il apprend plus tard que deux de ces navires sont soit pris par des pirates, soit fondus. CrusoĂ© dĂ©cide de se rendre Ă  terre, rassemblant un groupe de voyageurs d’EuropĂ©ens et de leurs serviteurs. RĂ©sumĂ© Chapitre XXX – Nous traversons les montagnes CrusoĂ© et son groupe partent de Lisbonne et atteignent la ville espagnole de Pampeluna Pampelune Ă  la fin de l’automne, et CrusoĂ© trouve le froid presque insupportable. La neige est excessive, obligeant le groupe Ă  rester plusieurs semaines Ă  Pampelune. Le 15 novembre, ils se dirigent enfin vers la France, malgrĂ© les intempĂ©ries. Ils rencontrent trois loups et un ours dans les bois. Vendredi tue un loup et chasse les autres. Vendredi amuse Ă©galement le groupe en taquinant l’ours avant de le tuer. En continuant, le groupe rencontre un cheval effrayĂ© sans cavalier, puis trouve les restes de deux hommes qui ont Ă©tĂ© dĂ©vorĂ©s par des loups. Trois cents loups entourent bientĂŽt le groupe de CrusoĂ©. Le groupe tire sur les loups et les effraie avec une explosion de poudre Ă  canon, les chassant finalement. ArrivĂ© enfin Ă  Toulouse, en France, CrusoĂ© apprend que l’évasion de son groupe des loups Ă©tait pratiquement miraculeuse. RĂ©sumĂ© Chapitre XXXI – Je revisite mon Ăźle CrusoĂ© atterrit en toute sĂ©curitĂ© Ă  Douvres, en Angleterre, le 14 janvier . Il dĂ©pose ses effets personnels chez son amie veuve, qui prend bien soin de lui. CrusoĂ© envisage de retourner Ă  Lisbonne et de partir de lĂ  au BrĂ©sil, mais il est une fois de plus dissuadĂ© par des prĂ©occupations religieuses. Il dĂ©cide de rester en Angleterre, donnant l’ordre de vendre ses investissements au BrĂ©sil. Cette vente gagne CrusoĂ© la grande fortune de 33 , 000 piĂšces de huit. Puisque CrusoĂ© n’est attachĂ© Ă  aucun membre de la famille et est habituĂ© Ă  une vie errante, il pense Ă  nouveau Ă  quitter l’Angleterre, bien que la veuve fasse tout ce qu’elle peut pour le dissuader. CrusoĂ© se marie, mais aprĂšs la mort de sa femme, il dĂ©cide de se diriger vers les Indes orientales en tant que commerçant privĂ© en 1694. Au cours de ce voyage, il revisite son Ăźle. CrusoĂ© constate que les Espagnols qui y sont restĂ©s ont subjuguĂ© les mutins, les traitant avec bontĂ©. CrusoĂ© leur offre du bĂ©tail, des fournitures et mĂȘme des femmes. La colonie a survĂ©cu Ă  une invasion cannibale et prospĂšre maintenant. Analyse chapitres XXVIII Ă  XXXI Les derniers chapitres nous obligent Ă  réévaluer l’évasion de l’üle dont CrusoĂ© a passĂ© des dĂ©cennies Ă  rĂȘver. Il est ironique qu’il ait aspirĂ©, complotĂ© et travaillĂ© pour quitter l’üle, mais quand il le fait enfin, le retour Ă  la maison semble curieusement insatisfaisant. On pourrait imaginer que l’Europe se sent en sĂ©curitĂ© et Ă  l’aise avec lui aprĂšs son Ă©preuve, mais le contraire est vrai en Espagne, CrusoĂ© fait face Ă  des intempĂ©ries, Ă  un ours et Ă  300loups affamĂ©s. Son Ăźle avec son Ă©crin semble positivement luxueuse en comparaison. L’Europe n’offre pas non plus Ă  CrusoĂ© la sociĂ©tĂ© humaine dont il a rĂȘvĂ© en tant que naufragĂ©. La veuve et le capitaine portugais sont gentils, mais nous sentons qu’ils ne lui offrent pas l’amour et l’affection intense que vendredi lui montre. Quand CrusoĂ© se marie en Angleterre, il semble indiffĂ©rent Ă  sa femme, dont il ne prend mĂȘme pas la peine de nous dire le nom. Bref, sans pas de famille» et peu de relations», et peu intĂ©ressĂ© Ă  forger de nouvelles relations, CrusoĂ© semble presque aussi isolĂ© en Angleterre que sur son Ăźle. Defoe nous invite ainsi Ă  nous demander si CrusoĂ© aurait Ă©tĂ© plus heureux s’il Ă©tait restĂ© pour toujours dans son petit royaume et nous fait douter de la valeur du retour Ă  la civilisation que CrusoĂ© pense dĂ©sirer. La dimension religieuse de l’épreuve de CrusoĂ© atteint son apogĂ©e dans son salut final et sa rĂ©compense. CrusoĂ© rĂ©cupĂšre si facilement sa fortune antĂ©rieure – et, en fait, la trouve si immensĂ©ment multipliĂ©e – que la restauration de ses biens ressemble plus Ă  une aubaine miraculeuse – manne du ciel – qu’à une simple bonne chance. Nous sentons que CrusoĂ© imagine que Dieu le rĂ©compense pour sa patience dĂ©vouĂ©e, surtout quand il se compare explicitement Ă  Job Je pourrais bien dire maintenant, en effet, que la derniĂšre fin de Job Ă©tait meilleure que le dĂ©but. Pour CrusoĂ©, le naufrage, les dĂ©cennies d’isolement et le sauvetage final n’ont pas Ă©tĂ© simplement des Ă©vĂ©nements d’une longue histoire d’aventures, comme les enfants le lisent aujourd’hui, mais des Ă©lĂ©ments d’un rĂ©cit religieux ou moral d’instruction. Plus prĂ©cisĂ©ment, il s’agit d’un conte protestant, mettant l’accent sur les vertus d’indĂ©pendance, d’auto-examen, et un travail acharnĂ©. CrusoĂ© souligne cet aspect protestant en mentionnant Ă  deux reprises qu’il ne va pas au BrĂ©sil parce qu’il devrait s’y convertir et y vivre en catholique. Implicitement, CrusoĂ© fait de sa survie une preuve de l’approbation de Dieu pour sa foi particuliĂšre. L’histoire de CrusoĂ© est souvent lue dans les temps modernes comme une allĂ©gorie du colonialisme, et il y a beaucoup dans les derniers chapitres pour dĂ©fendre ce point de vue. L’assujettissement de vendredi Ă  CrusoĂ© reflĂšte les relations raciales coloniales, en particulier dans la conviction inconditionnelle de CrusoĂ© qu’il aide vendredi en faisant de lui un serviteur. De plus, la terminologie coloniale apparaĂźt. Lorsqu’ils ont affaire aux mutins hostiles, CrusoĂ© et le capitaine les intimident en se rĂ©fĂ©rant Ă  un gouverneur» fictif de l’üle qui les punira sĂ©vĂšrement. Cette fiction d’un gouverneur prĂ©figure le gouverneur trĂšs rĂ©el qui sera sans doute installĂ© sur l’üle Ă  terme, puisque CrusoĂ© a apparemment revendiquĂ© le territoire de l’Angleterre. La prospĂ©ritĂ© de l’üle aprĂšs le dĂ©part de CrusoĂ© est soulignĂ©e dans le dernier chapitre ce n’est plus un terrain vague, comme Ă  son arrivĂ©e, mais une communautĂ© florissante avec des femmes et des enfants. Cette notion d’apporter triomphalement les bĂ©nĂ©dictions de la civilisation Ă  un lieu dĂ©solĂ© et sous-dĂ©veloppĂ© Ă©tait un thĂšme commun de la pensĂ©e coloniale europĂ©enne. En effet, CrusoĂ© fait explicitement rĂ©fĂ©rence Ă  cette communautĂ© comme ma nouvelle colonie dans l’üle», ce qui nous amĂšne Ă  nous demander s’il la considĂšre vraiment comme sa propre, et s’il s’agit officiellement d’une colonie ou simplement au sens figurĂ©. En tout cas, CrusoĂ© a transformĂ© son histoire de la survie d’un homme en un conte politique rempli de ses propres idĂ©es sur l’impĂ©rialisme. regarder 0140 The Sandman Will Keep You Awake - The Loop Le Chapitre 1049 s'intitule "Ce monde qu'il faut bĂątir". Page de couverture[] La froide odyssĂ©e maritime des Germa 66, 11Ăšme Ă©pisode "Comment est-ce possible ?! Le livre du laboratoire prend feu et libĂšre les deux prisonniers !". Niji et Yonji sont dĂ©livrĂ©s du livre-prison par un incendie, alors que Charlotte Kato, Brownie et Anana s'affolent. RĂ©sumĂ©s[] RĂ©sumĂ© rapide[] Un flashback de la vie de Kaido est montrĂ©, alors que ce dernier indique Ă  Luffy qu'il ne pourra pas changer le monde. Onigashima se remplit peu Ă  peu d'eau, alors que le dernier agent du CP-0 s'Ă©chappe. Momonosuke rĂ©ussit Ă  produire des nuages de fumĂ©e et sauve l'Ăźle de sa chute, et Luffy propulse ensuite Kaido vers le sol avec une attaque finale. RĂ©sumĂ© approfondi[] Le chapitre commence sur le duel entre Luffy et Kaido qui semble ĂȘtre trĂšs proche de la fin, alors que les deux capitaines ont lancĂ© chacun leurs surpuissantes attaques. Flashback Dans une ville en flamme et dĂ©truite, une silhouette sort des ruines C'Ă©tait Kaido, ĂągĂ© de dix ans et il Ă©tait un super puissant soldat de la marine. Au Royaume de Vodka il y'a 46 ans, le souverain du pays avait le dĂ©sir de joindre les deux bouts avec les dragons cĂ©lestes, recourant Ă  la guerre pour s’emparer du butin pour payer leur position dans le Gouvernement mondial. Afin de garantir une place dans la rĂ©verie et parce qu’ils ne pouvaient plus le manipuler, le roi du pays a offert le jeune Kaido au Gouvernement Mondial, alors que celui-ci n'Ă©tait pas partisan de ce projet. Pourtant, il a rĂ©ussi Ă  Ă©chapper Ă  la garde du Marine, gagnant lui-mĂȘme une prime et une rumeur qu’il est seulement capturĂ© pour manger quelque chose sur les navires de la prison. Deux ans plus tard, sur l'Ăźle aux pirates de ruche, la rĂ©putation de Kaido avec sa formidable force, attire l'attention du pirate Edward Newgate, qui a cette Ă©poque faisait parti de l'Ă©quipage de Rocks et lui propose de se joindre Ă  eux, une nouvelle qui secoue le monde. Finalement, l'Ă©quipage de Rocks s'est disloquĂ© et Kaido fondĂ© son propre Ă©quipage "Les cent bĂȘtes". Alors qu’il Ă©tait Ă  la tĂȘte de sa nouvelle Ă©quipe, il fut approchĂ© par Kurozumi Higurashi, qui lui offrit une proposition qui conduisit Ă  son alliance avec Kurozumi Orochi aux pays des Wa. Kaido a acceptĂ© ses conditions et, bien plus tard, il dĂ©clare qu’il enseignera aux nobles Ă©pris de paix » la nature infernale de la guerre et qu’il crĂ©era un monde oĂč la valeur de chacun est dĂ©terminĂ©e par la force. Plus tard, il confie Ă  King qu’il a entendu Yamato mentionner Joy Boy », et s’il est la personne que King attend, alors il sait exactement qui il est. Fin du Flashback Retour au prĂ©sent, l’agent restant du CP0 dĂ©cide de fuir alors que Yamato encourage Momonosuke Ă  crĂ©er les nuages de flamme, ce qu’il tente dĂ©sespĂ©rĂ©ment de faire. À l’intĂ©rieur du chĂąteau, l’eau de Raizo et Jinbe atteint la scĂšne de spectacle, engloutissant tout le monde et Ă©teignant tout le feu avant de s’écouler hors de l’üle. Tout le monde essaie de s’accrocher Ă  la vie, et dans le dĂ©pĂŽt de trĂ©sor, Denjiro fĂ©licite Hiyori pour avoir endurĂ© sa souffrance si longtemps pour ce moment, qui l’amĂšne aux larmes. Cependant, les nuages de flamme de Kaido ont complĂštement disparu, ce qui signifie que l’üle va bientĂŽt tomber. Kaido demande Ă  Luffy quel genre de monde il veut bĂątir, tandis que Momonosuke produit enfin ses propres nuages de flamme pour soutenir l’üle. Quant Ă  Luffy, il dit Ă  Kaido avant de le frapper avec son coup final “ Je vais te le dire... Un Monde... OĂč mes amis... Pourront... Manger...A LEUR FAIM !!! ” — Monkey D. Luffy Le poing assĂšne le dragon par un coup foudroyant au niveau du visage, l’envoyant droit dans le sol de Wano. Momonosuke laisse tomber Onigashima en toute sĂ©curitĂ© et s’évanouit d’épuisement, tout comme Luffy. Dans le passĂ©, Kaido a dit Ă  King que Joy Boy est l’homme qui le vaincra sans doute, bien que King croyait avec confiance qu’il ne se prĂ©senterait jamais... Informations[] Notes[] PrĂ©sentation d'un flash-back du passĂ© de Kaido. Kaido a Ă©tĂ© placĂ© sous la garde de la Marine en Ă©change de permettre Ă  son pays de rejoindre le gouvernement mondial. Sa premiĂšre prime Ă©tait 70 millions de berries aprĂšs son Ă©vasion. Il a rencontrĂ© Barbe Blanche sur Hachinosu. Il a rencontrĂ© Higurashi quelque temps aprĂšs avoir fondĂ© l'Ă©quipage aux cent bĂȘtes. Le rĂȘve de Kaido est de plonger le monde dans la guerre en raison de sa haine pour les nobles du monde. Le dernier agent vivant CP0 s’échappe d’Onigashima. L’eau continue Ă  inonder Onigashima, atteignant la scĂšne de concert. Les Flammes de Kaido ont complĂštement disparu. Momonosuke crĂ©e avec succĂšs ses propres nuages de flamme et atterrit sur Onigashima. La bataille entre Luffy et Kaido se termine. Luffy dĂ©clare qu’il crĂ©era un monde oĂč ses amis pourront manger autant qu’ils le voudront. Luffy vainc Kaido, le faisant s’écraser directement sur le sol dans le pays des Wa. Alors qu’il s’évanouit, Kaido se souvient avoir dit Ă  King qu’il croyait que Joy Boy Ă©tait destinĂ© Ă  le vaincre. Luffy et Momonosuke s’effondrent d’épuisement. Personnages[] Alliance des Ninjas-Pirates-Minks-SamouraĂŻs Autres pirates Autres L'Équipage du Chapeau de Paille Monkey D. Luffy Roronoa Zoro Nami Usopp Sanji Tony Tony Chopper Nico Robin Franky Brook Jinbe L'Équipage du Heart Trafalgar D. Water Law Bepo Shachi Penguin Clione Jean Bart L'Équipage de Kid Eustass Kid Jaguar L'Équipage aux Cent BĂȘtes Kaidou King flashback Hamlet Inbi L'Équipage de Big Mom Charlotte Linlin flashback Charlotte Kato couverture Charlotte Brownie couverture Charlotte Anana couverture L'Équipage du On-Air Scratchmen Apoo L'Équipage de Barbe Blanche Edward Newgate flashback Autres Yamato Pays des Wa Kozuki Momonosuke Kozuki Hiyori Kinemon Kikunojo Kawamatsu Raizo Denjiro Hyogoro Yatappe Tama O-Some Chuji Kurozumi Orochi Kurozumi Higurashi flashback Germa 66 Vinsmoke Niji couverture Vinsmoke Yonji couverture PrincipautĂ© de Mokomo Roddy Black Back Navigation du site[] La froide odyssĂ©e maritime des Germa 66 Chapitres 1035 1037 1038 1040 1041 1042 1043 1044 1046 1048 1049 1050 1051 1052 Arc Pays des Wa Chapitres 909 910 911 912 913 914 915 916 917 918 919 920 921 922 923 924 925 926 927 928 929 930 931 932 933 934 935 936 937 938 939 940 941 942 943 944 945 946 947 948 949 950 951 952 953 954 955 956 957 958 959 960 961 962 963 964 965 966 967 968 969 970 971 972 973 974 975 976 977 978 979 980 981 982 983 984 985 986 987 988 989 990 991 992 993 994 995 996 997 998 999 1000 1001 1002 1003 1004 1005 1006 1007 1008 1009 1010 1011 1012 1013 1014 1015 1016 1017 1018 1019 1020 1021 1022 1023 1024 1025 1026 1027 1028 1029 1030 1031 1032 1033 1034 1035 1036 1037 1038 1039 1040 1041 1042 1043 1044 1045 1046 1047 1048 1049 1050 1051 1052 1053 1054 1055 1056 Tomes 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 Épisodes 890 891 892 893 894 897 898 899 900 901 902 903 904 905 906 908 909 910 911 912 913 914 915 916 917 918 919 920 921 922 923 924 925 926 927 928 929 930 931 932 933 934 935 936 937 938 939 940 941 942 943 944 945 946 947 948 949 950 951 952 953 954 955 956 957 958 959 960 961 962 963 964 965 966 967 968 969 970 971 972 973 974 975 976 977 978 979 980 981 982 983 984 985 986 987 988 989 990 991 992 993 994 995 996 997 998 999 1000 1001 1002 1003 1004 1005 1006 1007 1008 1009 1010 1011 1012 1013 1014 1015 1016 1017 1018 1019 1020 1021 1022 1023 1024 Il Ă©tait un capitaine - E-book - ePub Octobre 1894. Maxime Dumas Ă©crit pour son journal un article sur le scandale du jour un officier français est accusĂ© de trahison. Le capitaine Dreyfus... Lire la suite 5,49 € E-book - ePub Poche En stock 5,90 € Actuellement indisponible 4,80 € Actuellement indisponible 5,50 € Ebook TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 5,49 € Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat DĂšs validation de votre commande Offrir maintenant Ou planifier dans votre panier Octobre 1894. Maxime Dumas Ă©crit pour son journal un article sur le scandale du jour un officier français est accusĂ© de trahison. Le capitaine Dreyfus est-il coupable ? Oui, puisqu'il est juif, clament les antisĂ©mites. Mais oĂč sont les preuves ? rĂ©pondent ceux qui soupçonnent la corruption et le parti pris. L'affaire Dreyfus » embrase alors la France. Date de parution 23/04/2008 Editeur Collection ISBN 978-2-01-323317-0 EAN 9782013233170 Format ePub Nb. de pages 256 pages CaractĂ©ristiques du format ePub Pages 256 Taille 4 995 Ko Protection num. Contenu protĂ©gĂ© Imprimable Non AutorisĂ© Copier coller Non AutorisĂ© Biographie de Bertrand Solet NĂ© en 1933 Ă  Paris, Bertrand Solet a fait des Ă©tudes cinĂ©matographiques puis Ă©conomiques. Responsable d'un service de documentation Ă©conomico-commercial pendant de longues annĂ©es, il a aussi beaucoup voyagĂ©. Il a publiĂ© une soixantaine d'ouvrages pour la jeunesse, des romans historiques, mais aussi des romans contemporains et des recueils de contes traditionnels. Il a reçu de nombreux prix. CHAPITRE I L’auberge de la Baleine-qui-fume IsmaĂ«l, le narrateur, est mĂ©lancolique. Il a une grande envie de prendre la mer comme matelot sur un baleinier. Il est fascinĂ© par les cachalots et a envie de paysages marins. De Manhattan il se rend Ă  New Bedford dans le Massachusetts. Son but est d’aller Ă  Nantucket, point de dĂ©part des expĂ©ditions. Il trouve une place dans l’auberge La Baleine-Qui-Fume » dans la mĂȘme chambre qu’un harponneur toutes les autres sont complĂštes c’est un noir qui arrive des terres du sud Nouvelle-ZĂ©lande. Il a des tĂȘtes Ă  vendre. Lorsqu’il arrive dans la chambre, il la trouve vide. Il s’installe dans le lit et une dizaine de minutes plus tard son co-locataire fait son entrĂ©e. Tout son corps est tatouĂ©, il est chauve. Il se met Ă  fumer. IsmaĂ«l est effrayĂ© par ce sauvage » qui se prosterne devant une statuette. Ce dernier, lorsqu’il dĂ©couvre la prĂ©sence d’un hĂŽte dans sa chambre, le palpe et l’interroge, terrorisant le narrateur. L’aubergiste est appelĂ© au secours mais lorsqu’il arrive, il se montre rassurant il n’y a rien Ă  craindre. CHAPITRE II Une paire d’amis Queequeg, le sauvage, se montre finalement dĂ©licat. Les deux hommes se lient d’amitiĂ©. Le sauvage raconte comment il est devenu matelot son pĂšre Ă©tait roi de la tribu qu’il a eu envie de quitter. Il a embarquĂ© de force sur un bateau et est devenu chasseur de baleines. Ensemble, les deux amis rejoignent Nantucket. Ils trouvent Ă  se loger dans l’auberge qui appartient aux cousins de celle dans laquelle ils Ă©taient prĂ©cĂ©demment. CHAPITRE III Mon beau navire IsmaĂ«l et son ami rĂ©ussissent Ă  trouver une place pour embarquer sur le Pequod, un baleinier dirigĂ© par le capitaine Achab qui a perdu une jambe arrachĂ©e par une baleine. L’homme semble vĂ©nĂ©rĂ© par l’ensemble de l’équipage. Son associĂ© est le capitaine Bildad. Le propriĂ©taire du bateau est le capitaine Peleg. Queequeg est engagĂ© plus difficilement que son ami car c’est un sauvage, un cannibale. Mais il fait preuve d’un grand talent dans l’usage du harpon et cela lui permet d’entrer dans l’équipage. CHAPITRE IV Le capitaine Achab 24 dĂ©cembre, il fait trĂšs froid. Le navire quitte le port. Starbuck est le second. C’est un homme maigre d’une trentaine d’annĂ©es. Stubb est le 1er lieutenant, Flask le second, il a un caractĂšre belliqueux. Ce sont les trois hommes importants Ă  bord. Ils sont entourĂ©s de trois harponneurs Queequeg, l’indien Tashtego et Daggao, un nĂšgre gigantesque ». Plusieurs jours aprĂšs le dĂ©part, IsmaĂ«l aperçoit enfin Achab, puis le croise de plus en plus rĂ©guliĂšrement. C’est un vieil homme mutilĂ© et angoissĂ©. Une nuit, il se met Ă  arpenter le pont, Stubb lui demande s’il peut faire moins de bruit et subit la colĂšre du capitaine. Le lendemain, Achab leur crie qu’il y a des baleines prĂšs d’eux. Il Ă©voque mĂȘme la possibilitĂ© d’une baleine blanche, ce que les autres ne croient pas. CHAPITRE V Tout le monde Ă  l’arriĂšre Le narrateur dĂ©couvre que le capitaine Achab n’a qu’un objectif tuer Moby Dick, le cachalot responsable de la perte de sa jambe. Il promet Ă  l’équipage une piĂšce d’or. Il la traque sans rĂ©pit grĂące aux cartes qu’il consulte rĂ©guliĂšrement. Il a constituĂ© une Ă©quipe de quelques hommes qui l’aideront Ă  tuer lui-mĂȘme l’animal. CHAPITRE VI Le jet fantĂŽme Une nuit, Fedallah signale la prĂ©sence d’un cachalot. Achab prĂ©pare le navire pour la chasse. Puis, il rĂ©apparaĂźt rĂ©guliĂšrement de nuit, pour disparaĂźtre aussitĂŽt. Les marins ont de mauvais pressentiments. Le bateau est entraĂźnĂ© dans une tempĂȘte au Cap Bonne EspĂ©rance. Ils croisent le baleinier L’Albatros qui navigue depuis longtemps. L’équipage apprend par Achab qu’ils sont partis pour le tour du monde. Un matin, ils croient voir Moby Dick mais c’est un squid », un grand encornet des mers chaudes. Cet animal est associĂ© Ă  un mauvais prĂ©sage lorsqu’un vaisseau en croise un, il ne rentre jamais Ă  son port d’attache. Alors qu’il est de vigie, le narrateur aperçoit un gigantesque cachalot. Le navire se lance Ă  sa poursuite dans quatre baleiniĂšres. La chasse s’engage et l’animal est capturĂ© et tuĂ©. Stubb s’en fait servir une tranche et s’en rĂ©gale. CHAPITRE VII FunĂ©railles d’un cachalot Le cachalot est hissĂ© sur le navire pour y ĂȘtre dĂ©coupĂ©, puis sa carcasse est jetĂ©e Ă  la mer. Les marins croisent un autre baleinier, le Jeroboam. Son capitaine, accompagnĂ© de Gabriel, un homme qui a la rĂ©putation d’ĂȘtre fou, se rapproche du navire Ă  bord d’une chaloupe. Il refuse de monter Ă  bord car son Ă©quipage est touchĂ© par une Ă©pidĂ©mie. Il raconte qu’un de ses marins a affrontĂ© Moby Dick deux ans plus tĂŽt mais qu’il y a perdu la vie. Gabriel tente de dissuader Achab de se confronter Ă  l’animal. CHAPITRE VIII La jeune fille La Jeune Fille est le nom d’un autre baleinier qu’ils croisent dans les parages des Indes. Son capitaine est Derick de Beer. Il monte Ă  bord du Pequod pour demander de l’huile. Il indique qu’il voit de moins en moins de baleines. Mais en remontant sur la baleiniĂšre, il entend que des baleines sont visibles en mer et il part immĂ©diatement Ă  leur poursuite. Les marins du Pequod mettent Ă  l’eau trois embarcations Ă  sa suite. Il y a huit baleines. Les embarcations se livrent Ă  une course folle Ă  la poursuite de la plus grosse – qui est aussi la plus lente – d’entre elles. Ce sont les trois baleiniĂšres du Pequod qui l’attrapent. La jeune Fille repart. Trois jours plus tard, le Pequod poursuit sa route et arrive en Asie. L’équipage aperçoit de nouveau des cachalots et se lance Ă  leur poursuite, mais les marins constatent qu’ils sont eux-mĂȘmes poursuivis par des pirates malais. Ils finissent par les semer et rattrapent les animaux qui se sont Ă©puisĂ©s. Cependant la chasse dure encore plusieurs heures. Les baleiniers sont finalement encerclĂ©s par les cachalots qui finissent par leur Ă©chapper. Leur bilan est dĂ©cevant ils n’ont rĂ©ussi Ă  tuer qu’une seule bĂȘte. CHAPITRE IX Le Bouton-de-Rose Une quinzaine de jours plus tard, les marins aperçoivent un navire français, Le Bouton-de-rose », qui semble aux prises avec un cachalot. Ils sentent une odeur intolĂ©rable parce que l’animal est un de ceux qui a Ă©tĂ© blessĂ© par les marins du Pequod prĂ©cĂ©demment. Stubb pense que l’animal contient de l’ambre gris et se lance Ă  sa poursuite. Stubb rejoint le Bouton-de-Rose et demande au second de l’équipage s’il a vu Moby Dick. La rĂ©ponse est nĂ©gative. Leur Ă©change est tendu car Stubb dit Ă  l’autre qu’il ne tirera rien des cachalots pĂȘchĂ©s car ils sont trop vieux. Pourtant, les hommes s’acharnent sur les corps nausĂ©abonds des animaux Ă  bord Ă  la demande de leur capitaine. Finalement Stubb et le second sympathisent et montent un coup pour humilier cet homme exigeant et arrogant Stubb lui ment en lui disant que l’équipage d’un autre navire a perdu des hommes dont le capitaine et un second aprĂšs avoir contractĂ© une fiĂšvre en dĂ©peçant une baleine comme la leur. Les baleines sont remises Ă  l’eau est Stubb hisse la carcasse de celle qui lui paraĂźt contenir de l’ambre gris. Plus tard, il parvient Ă  en extraire la prĂ©cieuse substance. Le navire reprend la route Ă  la demande du capitaine Achab. Il prĂ©sente ensuite le hacheur » qui est chargĂ© de dĂ©pouiller l’animal de sa peau et de rĂ©colter l’huile provenant de sa chair. Il Ă©voque ensuite le rĂŽle des chaudiĂšres dont on prend grand soin sur le baleinier. Stubb allume un des deux fours du Pequod des morceaux de lard de baleines y sont placĂ©s et se transforment en huile, dĂ©gageant une Ă©paisse fumĂ©e noire dĂ©sagrĂ©able. CHAPITRE X Le doublon Quand il observe le doublon, une piĂšce d’or accrochĂ©e au mĂąt du navire, Achab semble chercher Ă  dĂ©chiffrer une prophĂ©tie. Cette piĂšce intrigue plusieurs membres de l’équipage. L’un d’entre eux, L’homme de l’üle de Man », annonce un mauvais prĂ©sage concernant la rencontre du navire et de la baleine blanche, se rĂ©fĂ©rant aux signes du zodiaque. Achab interpelle un navire anglais. Son capitaine lui montre son bras artificiel fait en os de cachalot. IntriguĂ©, Achab fait descendre sa chaloupe mais ne peut monter Ă  bord Ă  cause de son infirmitĂ©. Le capitaine anglais l’aide avec le crochet Ă  dĂ©peçage. Les deux capitaines ont Ă©tĂ© mutilĂ©s suite Ă  leur rencontre avec la baleine blanche. A la demande d’Achab, l’Anglais raconte comment il a perdu son bras dans sa confrontation avec l’animal la queue de la baleine a coupĂ© son canot en deux et lorsque le capitaine s’est lancĂ© Ă  sa poursuite, il a Ă©tĂ© gravement blessĂ© au bras par la barbe d’un harpon. Le chirurgien de bord a Ă©tĂ© obligĂ© de lui couper ce membre car la blessure ne cicatrisait pas et il risquait de dĂ©velopper une gangrĂšne. Le bras est remplacĂ© par un os de cachalot et un maillet Ă  son extrĂ©mitĂ©. Le capitaine indique Ă  Achab que la baleine se dirige vers l’Est. CHAPITRE XI La jambe d’Achab En remontant Ă  bord, Achab abime sa jambe d’ivoire et charge le charpentier Smut de lui en confectionner une nouvelle, ce que l’autre s’applique Ă  faire. CHAPITRE XII Queequeg dans son cercueil Le Pequod arrive prĂšs du Pacifique lorsque l’équipage se rend compte qu’il y a une fuite d’huile dans la cale. Si les hommes ne rĂ©parent pas, la cargaison risque d’ĂȘtre perdue. Starbuck obtient -avec difficultĂ©- l’autorisation d’ouvrir les cales. Queequeg est victime d’une fiĂšvre qui manque de lui coĂ»ter la vie. Il est clouĂ© dans son hamac Ă  tel point que tout l’équipage le croit perdu. D’ailleurs, il demande Ă  ĂȘtre enterrĂ© dans ce qu’il appelle un canot les coutumes de son pays font que les morts sont placĂ©s dans une pirogue et envoyĂ©s voguer sur les flots. Il ne veut pas de ce sort pour son corps. Le charpentier, Ă  la demande d’Achab, lui confectionne un cercueil et lui apporte. Le sauvage l’amĂ©nage confortablement et il s’installe dedans avec son petit dieu, son yoyo ». Il en ressort satisfait et, le lendemain, il est guĂ©ri. Son cercueil devient son coffre de rangement. CHAPITRE XIII Le Pacifique ArrivĂ© dans le Pacifique, Achab est plus dĂ©terminĂ© que jamais. Il demande au forgeron de lui faire un harpon avec des clous qu’il lui remet et qu’il doit fondre. Ils travaillent tous deux pour obtenir le rĂ©sultat voulu par Achab. Il veut l’instrument parfait pour tuer la baleine blanche. La pointe du harpon est faite de l’acier des rasoirs d’Achab. Ce qui fait dĂ©clarer Ă  ce dernier qu’il fait le serment de ne plus se raser, de ne plus manger, de ne plus prier, mĂȘme, aussi longtemps que
 » et il ne termine pas sa phrase. Leur bateau croise Le CĂ©libataire, un baleinier de Nantucket qui fait une tournĂ©e, plein Ă  craquer de son chargement. Le capitaine les invite Ă  monter Ă  bord. Achab refuse, il veut poursuivre sa route et atteindre son but. Le lendemain, la chance leur sourit et ils tuent quatre baleines. Alors que Fedallah est dans une baleiniĂšre avec Achab, il a des visions sur l’issue de leur traque et il voit leur mort. CHAPITRE XiV Le typhon Au voisinage du Japon, le navire doit lutter contre un typhon. La mer est dĂ©chaĂźnĂ©e. Strarbuck a envie de fuir, de retourner en AmĂ©rique. Unr baleiniĂšre est dĂ©foncĂ©e. Achab menace de mort les marins qui feraient une manƓuvre pour faire demi-tour. Rien ne peut l’empĂȘcher de retrouver Moby Dick. Alors que Starbuck entre dans la cabine d’Achab pour faire son rapport, il ne trouve pas le vieux capitaine mais aperçoit son fusil, ce qui lui donne une envie de meurtre. Il prend l’arme mais Ă  ce moment Achab se rĂ©veille en hurlant qu’il tient Moby Dick. Starbuck replace l’arme Ă  sa place et sort de la cabine. Le lendemain, les marins pensent croiser des sirĂšnes en entendant des cris et des plaintes mais ce sont ceux de femelles phoques prĂ©sentes sur des Ăźles rocheuses. Pour les marins, ces animaux portent malheur. Un peu plus tard, un marin tombe du nid-de-pie du mĂąt de misaine et se noie. En voulant le sauver sans succĂšs, l’équipage perd sa bouĂ©e de sauvetage. Queequed propose le bois de son cercueil pour en confectionner une nouvelle. Le lendemain, les marins pensent croiser des sirĂšnes en entendant des cris et des plaintes mais ce sont ceux de femelles phoques prĂ©sentes sur des Ăźles rocheuses. Pour les marins, ces animaux portent malheur. Un peu plus tard, un marin tombe du nid-de-pie du mĂąt de misaine et se noie. En voulant le sauver sans succĂšs, l’équipage perd sa bouĂ©e de sauvetage. Queequed propose le bois de son cercueil pour en confectionner une nouvelle. Le jour suivant, ils croisent un navire de fort tonnage, La Rachel. Son capitaine rĂ©pond par l’affirmative Ă  Achab quand il lui demande s’il a vu Moby Dick. Il ajoute qu’en voulant la chasser, son Ă©quipage a perdu une de ses embarcations qui a disparu en mer en la poursuivant. Le fils du capitaine se trouve dans cette baleiniĂšre Ă©garĂ©e. Il implore de l’aide Ă  Achab pour l’aider Ă  retrouver le disparu mais l’autre refuse. Quelques jours plus tard, ils croisent un autre navire, Le Plaisir, et Achab pose la mĂȘme question Ă  son capitaine Avez-vous vu la baleine blanche ? » L’autre lui rĂ©pond qu’il a perdu cinq hommes la veille et demande Ă  Dieu la protection d’Achab. Starbuck demande une nouvelle fois au capitaine de faire demi-tour, d’abandonner la chasse de Moby Dick. Mais Achab se sent investi d’une mission divine Ă  laquelle il ne peut dĂ©roger malgrĂ© le dĂ©sespoir qui l’habite. CHAPITRE XV La course Ă  l’abyme Une nuit, Achab sent la prĂ©sence de Moby Dick. Il avertit les autres et le bateau change de cap pour la rejoindre. Il confectionne lui-mĂȘme un panier pour se hisser le plus haut possible sur le mĂąt de misaine. Puis, fou d’exaltation, il distribue les consignes aux marins pour que la chasse puisse commencer. Ils se lancent Ă  sa poursuite et mettent un certain temps Ă  la rejoindre. Un spectacle d’une immense beautĂ© s’offre Ă  eux. La baleine plonge et disparait mais tout Ă  coup les oiseaux permettent de la situer elle se trouve sous l’embarcation d’Achab et remonde des profondeurs. Avec sa mĂąchoire, elle saisit le plat-bord et se met Ă  secouer lentement la coque. Achab, fou de colĂšre, tente de l’empĂȘcher d’agir mais n’y parvient pas l’embarcation est coupĂ©e en deux, le capitaine tombe Ă  l’eau. Les autres baleiniĂšres ne peuvent intervenir par peur de l’animal. Les vigies qui ont suivi la scĂšne depuis le Pequod font se diriger le navire sur les lieux. Moby Dick est obligĂ©e de s’éloigner. Achab est hissĂ© dans la baleiniĂšre de Stubb. EpuisĂ©, il perd connaissance. Quand il se rĂ©veille Achab dĂ©cide de chasser la baleine directement depuis le Pequod. Toute la journĂ©e l’équipage poursuit sans relĂąche l’animal. Toutes les voiles sont hissĂ©es. Quand le jour se lĂšve, ils l’aperçoivent qui souffle. Ils sont maintenant tous dĂ©terminĂ©s Ă  la chasser. ArrivĂ©s prĂšs d’elle, ils mettent les baleiniĂšres Ă  la mer et elles s’alignent, celle d’Achab au centre. TrĂšs vite, la baleine mĂšne l’attaque, s’en prenant aux embarcations. Elle en fracasse une partie et plonge au fond de l’eau. Puis, elle s’en prend aux hommes venus secourir ceux en difficultĂ© et envoie voler en l’air l’embarcation du capitaine. Starbuck fait mettre un canot Ă  la mer et recueille les hommes et tout le matĂ©riel tombĂ© Ă  l’eau. Leurs blessures sont lĂ©gĂšres, Achab a perdu sa jambe artificielle. Fedallah ne rĂ©pond pas Ă  l’appel. Achab ne renonce pas Ă  la traque et tous dĂ©cident de la reprendre. Il s’agit de tuer cette baleine Ă  tout prix. A l’aube du troisiĂšme jour, Achab finit par apercevoir Moby Dick et se lance dans le troisiĂšme affrontement avec sa vieille ennemie. Les embarcations sont mises Ă  la mer. Achab et Starbuck s’étreignent, ils savent tous deux qu’ils courent un grand danger. De nombreux requins tournent autour des baleiniĂšres. Soudain, l’immense baleine sort de l’eau et les embarcations se lancent Ă  l’attaque. Moby Dick se retourne et les charge inlassablement. Achab aperçoit un corps qui flottent Ă  la surface de l’eau c’est celui de Fedallah. Il ne s’agit plus de renoncer. La baleine semble cependant s’éloigner, puis elle s’immobilise et Achab plante son harpon dans ses chairs. Lorsqu’elle se retourne, un homme tombe Ă  la mer. Les marins reprennent la poursuite. Mais elle se retourne encore et fonce cette fois sur l’embarcation d’Achab. Il parvient une nouvelle fois Ă  l’atteindre de son harpon mais le fil s’emmĂȘle et, lorsqu’il tente de le dĂ©mĂȘler, un anneau le saisit par le cou et il est entraĂźnĂ© dans l’abĂźme. Toutes les embarcations, y compris le Pequod, sont englouties. EPILOGUE Le narrateur a survĂ©cu grĂące Ă  la bouĂ©e faite Ă  partir du cercueil de Queequed. AprĂšs s’y ĂȘtre accrochĂ© alors qu’il nageait seul en mer, il a Ă©tĂ© recueilli par le navire Le Rachel. ï»żBonjour . J'ai un livre pour lire a la rentrĂ© . Je l'avais commander sur Priceminister et il est toujours pas arriver et je c'est que je ne vais pas avoir le lire .... Bref je cherche le resumĂ© du livre "IL ETAIT UN CAPITAINE" de Bertrand Solet . Merci Tu demandes a tes parents de te faire un mot d'excuse... CQFD tu regarde sur le net tu tape le tittre de et l'auteur Nan Ma prof elle va me tuer c'est de ma faute jorĂ© pue l'acheter plus tot . Merci The_Citron mĂ© jai deja chercher Tu tĂ©lĂ©phones a un mec te classe qu'il te prete le livre ou qu'il te raconte - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - > t'as qu'a le lire espĂšce de flemard mais sinon t'es vraiment un triso pour pa trouver de rĂ©sumĂ© sur internet Tu sais ... ce n'est pas de ta faute donc le prof ne saurais pas t'engueuler seulement si tu l'a commander il y a deux jours ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ T'es en primaire ou collĂšge ?Sinon mot d'excuse par tes parents Mdr Arnaud Je c qui tu es T un Conard Ptdr Nan srx aide Moi plutot. Ma mĂšre va me nikĂ© pour le mot d'escuse . Non Mais sĂ©rieusement si quelqu'un me trouve un rĂ©sumĂ© sur internet je le respecte Tu peux le faire tous seul non? bien ton excuse "jai pas eu le livre" demerde toi fallait lire ton livre pendant les vacance Attend je vais trouver. VoilĂ  derien Pas mal the fuji Merci . Un peu cour enfin lebreizh parle pas ac ton vieu lien si tu atten tu vois que il y a que des site de vente ! Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?

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