Sortie"La Couleur de la victoire" en vod, dvd et blu-ray - Fiche du film La Couleur de la victoire. Guide Rapide: sorties Vod, Dvd, Blu‑Ray: Les publicitĂ©s sont peu nombreuses sur ce site, mais nĂ©cessaires Ă  son financement. Si vous aimez Guide rapide, pensez Ă  faire une exception sur votre bloqueur de pub ! accueil; sorties vod dvd blu-ray. sorties vod; sorties dvd location; sorties 1936 Berlin. Un athlĂšte noir remporte l'or olympique au coeur de l'Allemagne nazie★ Les plus BEAUX films Ă  voir ICI Abonne-toi Ă  LaCouleur de la victoire (Race) est un film franco-germano-canadien rĂ©alisĂ© par Stephen Hopkins, sorti en 2016. Il revient sur le parcours de l’athlĂšte Afro-AmĂ©ricain Jesse Owens qui Ă  lui seul, a contrariĂ© les discours raciaux d’Adolf Hitler et empĂȘchĂ© la glorification du TroisiĂšme Reich lors des Jeux Olympiques de 1936 Ă  Berlin. Couleurde la victoire (La) Histoire. Dans les annĂ©es 30, Jesse Owens, jeune afro-amĂ©ricain issu du milieu populaire, se prĂ©pare Ă  concourir aux Jeux d’étĂ© de 1936 Ă  Berlin. Cependant, alors qu’Owens lutte dans sa vie personnelle contre le racisme ambiant, les Etats-Unis ne sont pas encore certains de participer Ă  ces Jeux En1934, alors que les Afro-AmĂ©ricains subissent les lois sĂ©grĂ©gationnistes, Jesse Owens arrive Ă  l'universitĂ© d'Etat de l'Ohio pour travailler avec les meilleurs entraĂźneurs de l'Ă©poque. Larry Snyder prend ce petit-fils d'esclaves sous son aile. Contrairement Ă  ses collĂšgues, il ne fait aucune distinction de couleur entre ses protĂ©gĂ©s : seule la performance compte. Il entend bien Unfilm de Stephen Hopkins : Le 5 aoĂ»t 1936, Jesse Owens, un jeune athlĂšte noir, Ă©tait sacrĂ© champion olympique du 200m Ă  Berlin devant un parterre de nazis et leur chef suprĂȘme, Adolf Hitler. Lors de ces Jeux, il obtint 4 mĂ©dailles d’or (100m, longueur, 200m, 4x100m), devenant un mythe et un exemple pour le monde entier. . Titre original Race Rating Origine Canada/Allemagne RĂ©alisateur Stephen Hopkins Distribution Stephan James, Jason Sudeikis, Eli Goree, Jeremy Irons, Shanice Banton, Carice Van Houten, William Hurt, David Kross
 Genre Drame Date de sortie 27 juillet 2016 Le Pitch Dans les annĂ©es 30 aux États-Unis, Jesse Owens, un jeune Ă©tudiant, se distingue par ses capacitĂ©s uniques Ă  la course et au saut en longueur. Il se rapproche alors d’un entraĂźneur qui lui offre la possibilitĂ© de concourir aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Mais la montĂ©e en puissance du rĂ©gime d’Hitler fait douter le comitĂ© olympique quant Ă  la participation des États-Unis, ne voulant pas cautionner l’idĂ©ologie nazi, qui va notamment totalement Ă  l’encontre des valeurs de la compĂ©tition. Jesse Owens est alors confrontĂ© Ă  une dĂ©cision cruciale, lui qui est dĂ©jĂ  opprimĂ© dans son propre pays oĂč le racisme est encore virulent. Envers et contre tous, il va pourtant se lancer et entrer dans l’Histoire
 La Critique La vie de Jesse Owens mĂ©ritait largement de se retrouver portĂ©e Ă  l’écran. Son histoire est l’une des plus puissantes de notre Ă©poque. L’une des plus galvanisantes aussi, grĂące aux valeurs qu’elle a su vĂ©hiculer, dans un contexte douloureux. À la barbe et au nez d’Hitler, alors en pleine ascension, prĂȘt Ă  lĂącher son armĂ©e sur le monde, l’athlĂšte a dĂ©fiĂ© la grandeur nazi armĂ© de son seul courage et de ses compĂ©tences. Comment une trajectoire pareille pouvait donner un mauvais film ? Impossible. Il aurait fallu un incompĂ©tent notoire Ă  la barre et des acteurs Ă  la ramasse pour qu’un tel long-mĂ©trage ne parvienne pas Ă  faire vibrer le public. Et en effet, Ă  l’arrivĂ©e, La Couleur de la Victoire est un bon film. De ceux qui donnent envie de se lever de son fauteuil alors que vient le dĂ©nouement, lors du puissant climax, quand bien mĂȘme nous connaissons dĂ©jĂ  la conclusion. Au cinĂ©ma, le sport Ă  ce pouvoir. De dĂ©passer le cadre de la simple performance pour raconter autre chose. Pour prendre une ampleur inĂ©dite et toucher jusqu’à ceux qui ne s’intĂ©ressent pas Ă  la discipline abordĂ©e, comme ici l’athlĂ©tisme. C’était dĂ©jĂ  le cas d’Invictus, qui parlait plus de l’abolition de l’Apartheid en Afrique du Sud que de rugby, et c’est aujourd’hui le cas du dernier film de Stephen Hopkins. Et tant pis si La Couleur de la Victoire se repose justement un peu trop sur son histoire et se contente » de la raconter sans faire preuve d’une quelconque audace
 Stephen Hopkins revient de loin. FormĂ© Ă  Elm Street avec Freddy Krueger on lui doit le cinquiĂšme volet de la saga initiĂ©e par Wes Craven, rĂ©alisateur du solide Predator 2, du survival urbain La Nuit du Jugement, de l’explosif Blown Away ou encore du gentil nanar Perdus dans l’espace, Hopkins avait un peu disparu des Ă©crans radars aprĂšs la sortie en 2007 de son trip fantastique bancal avec Hilary Swank, Les ChĂątiments. Et le voici qui revient par la grande porte avec un biopic bĂ©nĂ©ficiant d’une sortie en salle. Un film fastueux articulĂ© autour de l’une des plus extraordinaires histoires du XXĂšme siĂšcle qui aujourd’hui, rĂ©sonne avec d’autant plus de force. Artisan honnĂȘte et sincĂšre, Hopkins a saisi la balle au bond pour montrer Ă  son public qu’il savait encore faire du cinĂ©ma. Pour ce faire, il a choisi la carte du classicisme Ă  l’amĂ©ricaine en appliquant Ă  la lettre les codes du biopic. C’est d’ailleurs principalement pour cette raison que son long-mĂ©trage peut apparaĂźtre un peu trop fade. Au fond, si on oublie le sujet principal, la photographie, aussi belle soit-elle, la reconstitution et la progression du rĂ©cit sont les mĂȘmes qu’un grand nombre d’Ɠuvres similaires. Les mĂ©canismes du biopic sont connus et tant pis si ils rebutent certains spectateurs car dans le cas prĂ©sent, une question mĂ©rite d’ĂȘtre posĂ©e et si les exploits de Jesse Owens appelaient justement ce genre de classicisme ? Et si le choix Ă©tait dĂ©libĂ©rĂ© afin de rendre justice au personnage ? La Couleur de la Victoire a choisi d’opter pour une certaine linĂ©aritĂ© assortie d’un simplicitĂ© flagrante. Pas d’effets de style ni d’habillages trop voyants si ce n’est les quelques images de synthĂšses peut-ĂȘtre un peu trop artificielles. Du cĂŽtĂ© du scĂ©nario, rien ne vient encombrer la progression. MĂȘme la traditionnelle love story ne dĂ©borde pas sur le thĂšme central. Au contraire mĂȘme, tant elle permet de comprendre Jesse Owens. De voir l’homme qu’il Ă©tait en dehors des pistes. De saisir ses aspirations. On peut en cela souligner l’introduction, d’une sobriĂ©tĂ© exemplaire, quand Jesse Owens quitte le foyer familial. MĂȘme le racisme prĂ©gnant qui infeste Ă  cette Ă©poque encore les États-Unis, est traitĂ© avec une certaine subtilitĂ©. Le film Ă©vite le pathos, mĂȘme si il n’évite pas les clichĂ©s. Paradoxal ? Pas tant que ça non. Tout est une affaire de mesure et celle dont fait preuve Stephen Hopkins est notable. Sa rĂ©alisation et le scĂ©nario manquent peut-ĂȘtre de souffle quand on suit Owens en dehors du stade, ou quand ils tentent de donner de l’ampleur au discours politique dispensĂ© en filigrane, en faisant des allers-retours entre les coulisses des jeux, en Allemagne et le bureau du ComitĂ© Olympique Ă  New York, mais jamais quand il entre dans le vif du sujet, dans son dernier tiers. Quand Owens humilie Hitler quatre fois d’affilĂ©e en faisant mordre la poussiĂšre aux athlĂšte aryens. LĂ , le message passe. L’émotion aussi, de plus parfaitement relayĂ©e par l’excellent Stephan James, la rĂ©vĂ©lation du film, parfait en Jesse Owens, et par un Jason Sudeikis en dehors de sa zone de confort, trĂšs Ă©mouvant lui aussi. La Couleur de la Victoire convainc grĂące Ă  son honnĂȘtetĂ©, qui lui permit d’aborder sa formidable histoire Ă  hauteur d’homme. Tant pis si il Ă©choue tout est relatif Ă  dĂ©crire avec la force nĂ©cessaire le contexte. Le film se concentre sur Owens en prĂ©sumant peut-ĂȘtre que nous, les spectateurs, connaissions dĂ©jĂ  nos cours d’Histoire pour savoir tout ce qu’il fallait savoir sur le IIIĂšme Reich. La dĂ©marche est louable. Les lieux communs, les bons sentiments, comme ceux de cette rĂ©alisatrice pugnace et rebelle incarnĂ©e par Carice Van Houten, et toutes les ficelles un peu voyantes n’entravent pas la bonne marche du rĂ©cit. Ils n’empĂȘchent pas le film d’ĂȘtre passionnant et rendent justice Ă  Jesse Owens. C’est le principal. Gilles Rolland CrĂ©dits photos La Belle Company DĂ©poser un commentaire A Berlin en 1936, malgrĂ© la pression nazie, un athlĂšte noir est sĂ©lectionnĂ© et rafle quatre mĂ©dailles. Un film spectaculaire qui rĂ©vĂšle les dessous des JO. On en apprend de belles dans ce joli film romanesque consacrĂ© Ă  Jesse Owens, l'athlĂšte noir star des jeux Olympiques de Berlin, en 1936. La vĂ©ritĂ©, d'abord, sur sa quatriĂšme mĂ©daille d'or, obtenue pour un 4 × 100 mĂštres auquel il n'aurait pas dĂ» participer. Il semble que l'Ă©quipe amĂ©ricaine ait cĂ©dĂ© Ă  la pression des nazis en retirant de la course les deux coureurs juifs initialement prĂ©vus... On dĂ©couvre Ă©galement le rĂŽle pour le moins Ă©quivoque tenu par le chef de la dĂ©lĂ©gation, ­Avery Brundage, incarnĂ© avec sa suavitĂ© coutumiĂšre par Jeremy Irons. DrĂŽle de zigue, ce type ! Un pro-allemand convaincu, qui dĂ©plorera plus tard que le film de Leni Riefenstahl Les Dieux du stade soit boycottĂ© par Hollywood, aux mains des Juifs, comme chacun sait. Cet individu, qui prĂ©fĂ©rait les objets d'art au sport, poursuivra sans encombre sa carriĂšre en tant que directeur du ComitĂ© international olympique jusqu'en 1972, peu avant sa mort — ce qui en dit beaucoup sur les magouilles d'une institution aux secrets longtemps dissimulĂ©s. Sa silhouette ­malĂ©fique renvoie presque au second plan le jeune et beau Jesse, d'autant qu'un autre protagoniste — positif, celui-lĂ  — lui vole aussi la vedette son coach, qu'interprĂšte un comĂ©dien peu connu, mais remarquable, Jason Sudeikis. Hollywood a toujours dĂ©peint ce type de personnage et on l'a toujours aimĂ©, chez Raoul Walsh, jadis, ou chez Clint Eastwood, plus rĂ©cemment le mec solitaire, cabossĂ©, mais indestructible... Le rĂ©alisateur, bon faiseur pro, se tire Ă  peu prĂšs de la miĂšvrerie qu'imposent les scĂšnes sentimentales Jesse et sa femme. Et il rĂ©ussit parfaitement, en revanche, les moments spectaculaires l'arrivĂ©e du champion noir dans un stade hostile donne vraiment le frisson... — Pierre Murat Paiement sĂ©curisĂ© Sans engagement DĂ©sabonnement simple DĂ©jĂ  abonnĂ© ? Je me connecte DĂ©couvrir toutes nos offres PremiĂšre europĂ©enne – Analyses et interviews autour du film Race Dans le cadre d’un travail pĂ©dagogique rĂ©alisĂ© autour du film La Couleur de la Victoire Race en anglais, visionnĂ© en VOST au cinĂ©ma de SegrĂ©, les Ă©lĂšves de premiĂšre europĂ©enne ont pu rĂ©aliser diffĂ©rents enregistrements rendant compte de leur analyse du film, et de la portĂ©e politique du sport. En voici quelques extraits Lecture Lecture Pause Lecture 0% lu », 0% en cache », 0000 Temps Ă©coulĂ© 0000 DurĂ©e 0000 Couper le son Volume Sous-titres Lecture Lecture Pause Lecture 0% lu », 0% en cache », 0000 Temps Ă©coulĂ© 0000 DurĂ©e 0000 Couper le son Volume Sous-titres Au terme de la sĂ©quence, le travail assignĂ© a consistĂ© en la rĂ©alisation d’une interview entre un journaliste amĂ©ricain et le sportif Jesse Owens, interview rĂ©alisĂ©e aprĂšs les Jeux et son retour au Etats-Unis. Voici quelques rĂ©alisations d’élĂšves de la classe Lecture Lecture Pause Lecture 0% lu », 0% en cache », 0000 Temps Ă©coulĂ© 0000 DurĂ©e 0000 Couper le son Volume Sous-titres Lecture Lecture Pause Lecture 0% lu », 0% en cache », 0000 Temps Ă©coulĂ© 0000 DurĂ©e 0000 Couper le son Volume Sous-titres Lecture Lecture Pause Lecture 0% lu », 0% en cache », 0000 Temps Ă©coulĂ© 0000 DurĂ©e 0000 Couper le son Volume Sous-titres AccĂšs NorvĂšge La Couleur de la victoire SĂ©ances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Bande-annonce SĂ©ances 1 VOD Spectateurs 4,0 1960 notes dont 162 critiques noter de voirRĂ©diger ma critique Synopsis Dans les annĂ©es 30, Jesse Owens, jeune afro-amĂ©ricain issu du milieu populaire, se prĂ©pare Ă  concourir aux Jeux d’étĂ© de 1936 Ă  Berlin. Cependant, alors qu’Owens lutte dans sa vie personnelle contre le racisme ambiant, les Etats-Unis ne sont pas encore certains de participer Ă  ces Jeux, organisĂ©s en Allemagne nazie. Le dĂ©bat est vif entre le prĂ©sident du ComitĂ© Olympique Jeremiah Mahoney et le grand industriel Avery Brundage. Pourtant, la dĂ©termination de Jesse Ă  se lancer dans la compĂ©tition est intacte
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Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 27 articles de presse Critiques Spectateurs "La Couleur de la Victoire" ne s'arrĂȘte pas seulement Ă  un biopic acadĂ©mique, car il va bien au-delĂ ... Et mĂȘme beaucoup plus loin en mettant en Ă©vidence et avec beaucoup de tact tout le non sens, toute l'absurditĂ© due au racisme, en insistant de plus avec pertinence sur le parallĂšle entre ce qui se passe aux USA et en Allemagne Ă  la mĂȘme Ă©poque ! Tout un paradoxe extrĂȘmement utile et intelligent, toute une contradiction mise en ... Lire plus C'est un film absolument remarquable, je ne vois pas d'autres mots... Tout est parfait la rĂ©alisation, l'interprĂ©tation, le rendu de l'Ă©poque, bref tout est un histoire Ă©mouvante et nous avons droit lĂ  Ă  un vrai chef-d'oeuvre tout simplement ! Évidemment, tout le monde a entendu parler de Jesse Owens, cet athlĂšte Afro-AmĂ©ricain qui remporta 4 mĂ©dailles d'or aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Pour autant, un petit rafraĂźchissement de mĂ©moire n'est pas inopportun, d'autant que ce biopic » est parfaitement rĂ©alisĂ© par Stephen Hopkins L'ombre et la proie », PrĂ©dator 2 » visiblement inspirĂ© par son sujet. On suit donc la vie de ce jeune sprinter surdouĂ©, ... Lire plus Excellent film Ă  propos de Jesse Owens qui est l'un des athlĂštes les plus respectĂ© et admirĂ© de l'histoire pour ce qu'il a accompli en 1936 durant les JO de Berlin. Une rĂ©alisation bien travaillĂ©e qui retranscrit une histoire passionnante. Le thĂšme est d'actualitĂ©. Recommande vivement .... 162 Critiques Spectateurs Photos 34 Photos Secrets de tournage Lieux de tournage La plupart des scĂšnes se dĂ©roulant aux Etats-Unis ont Ă©tĂ© tournĂ©es Ă  MontrĂ©al et ses environs. Les sĂ©quences olympiques ont quant Ă  elles Ă©tĂ© filmĂ©es au Stade olympique de Berlin oĂč Jesse Owens a dĂ©crochĂ© ses mĂ©dailles créé pour les Jeux de 1936. L'Ă©quipe de tournage n'a cependant pas pu poser ses camĂ©ras dans la rĂ©sidence berlinoise oĂč Owens a sĂ©journĂ© pendant les Jeux car elle a Ă©tĂ© reconvertie en un musĂ©e consacrĂ© aux exploits de l Lire plus John Boyega pressenti A l'origine, un certain John Boyega Ă©tait pressenti pour jouer Jesse Owens mais laissa tomber le projet pour se consacrer Ă  son rĂŽle dans Star Wars - Le RĂ©veil de la Force. Trouver la perle rare Pour trouver l'interprĂšte de Jesse Owens, la production a Ă©tendu ses recherches au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, au Canada et dans des pays non anglophones jusqu'Ă  tomber sur Stephan James. L'acteur est d'origine canadienne et avait rĂ©cemment jouĂ© le militant des droits civiques et dĂ©putĂ© John Lewis dans Selma portĂ© par David Oyelowo. 14 Secrets de tournage Infos techniques NationalitĂ©s Canada, Allemagne Distributeur LFR Films AnnĂ©e de production 2016 Date de sortie DVD 12/02/2018 Date de sortie Blu-ray 18/01/2017 Date de sortie VOD 26/11/2016 Type de film Long-mĂ©trage Secrets de tournage 14 anecdotes Box Office France 154 634 entrĂ©es Budget US$ Langues Anglais Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 144910 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires Sortie 27 juil. 2016 Le 5 aoĂ»t 1936, Jesse Owens, un jeune athlĂšte noir, est sacrĂ© champion olympique du 200 mĂštres Ă  Berlin, devant un parterre de nazis et leur chef suprĂȘme, Adolf Hitler. Lors de ces Jeux, il obtient quatre mĂ©dailles d'or celle du 100 mĂštres, du saut en longueur, du 200 mĂštres, et du 4x100 mĂštres et devient un mythe et un exemple pour le monde entier. Infos, vidĂ©os & dĂ©tails La Couleur de la victoireLe 5 aoĂ»t 1936, Jesse Owens, un jeune athlĂšte noir, est sacrĂ© champion olympique du 200 mĂštres Ă  Berlin, devant un parterre de nazis et leur chef suprĂȘme, Adolf Hitler. Lors de ces Jeux, il obtient quatre mĂ©dailles d'or celle du 100 mĂštres, du saut en longueur, du 200 mĂštres, et du 4x100 mĂštres et devient un mythe et un exemple pour le monde Canada - AllemagneAvis des utilisateurs0veulent le voir3avis au totalNoter le filmLa Couleur de la victoireTrouvez des sĂ©ances Quels sont les nouveaux films Ă  l'affiche au cinĂ©ma ? Retrouver toutes es nouveautĂ© de la semaine depuis la rubrique "Tous les films Ă  l'affiche", un bandeau "Nouveau" s'affiche sur les affiches des sorties de la semaine. En savoir plus Comment savoir si un film est disponible IMAX, 4DX et Dolby dans mon cinĂ©ma PathĂ© ou Gaumont ? Pour connaitre la liste des films disponible dns votre cinĂ©ma pour chacune des technologie disponible, rendez vous sur la page dĂ©diĂ©e Ă  l'IMAX, 4DX et Dolby Cinema En savoir plus Pourquoi rĂ©server en ligne ? En rĂ©servant gratuitement un billet sur notre site ou application mobile, vous avez la garantie - de rĂ©server votre fauteuil prĂ©fĂ©rĂ© pour la sĂ©ance de votre choix - d'accĂ©der rapidement Ă  votre sĂ©ance en vous rendant directement au point de contrĂŽle muni de votre e-billet et Ă©vitez ainsi les files d'attente. - de pouvoir annuler gratuitement jusqu'Ă  15 minutes avant le dĂ©but de la sĂ©ance En savoir plus

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