Tusais si je pars J'me souviendrais de tout Dans la nuit les phares que tu posais sur mes joues À l'amour comme Ă  la vie À la vie comme Ă  la guerre Je sais, j'avais promis mais moi tout ça j'sais pas faire C'est quoi le problĂšme? CrĂ©ezgratuitement votre compte sur Deezer pour Ă©couter Comme je t’aime mon amour par Sacha Distel, et accĂ©dez Ă  plus de 90 millions de titres. Sacha Distel. Comme je t’aime mon amour. Sacha Distel | DurĂ©e : 02:25 Paroles. J'ai fait trois ans J'ai fait mon temps Pendant trente-six mois Je n'ai pensĂ© qu'Ă  toit Si tu as reçu mon mot Comme quoi j'arrivais bientĂŽt Tu sais ce que tu Commeci, comme ça, plah plah comme de vulgaires lope-sa. Quand Bugsy dĂ©gomme, on ne retrouve plus l'homme. Quand Bugsy dĂ©gomme, on ne retrouve plus l'homme. Pour moi c'est un pensea moi comme je t'aime Promets moi si tu me survis D'ĂȘtre plus forte que jamais Je serais toujours dans ta vie PrĂšs de toi, je te promets Et si la mort me programme Sur son grand ordinateur De ne pas en faire un drame De ne pas en avoir peur Pense Ă  moi comme je t'aime Et tu me dĂ©livrevras Tu briseras l'anathĂšme Qui me tiens loin de tes bras Pense Ă  moi comme je Parolesde Je t'aime trop (Kizomba) par Layanah. Je pense au passĂ©, pense aux projet, pense Ă  nos vie, Je remonte le temps, je regrette et maintenant, Je prie pour qu'un jour on se revoit, Et qu'on se pardonne tout, C'est quand je t'ai perdu que j'ai vu combien tu comptais On Ă©tait jeune, fous inconscient de ce que l'on voulait, On C Am Em A F D G E Dm C#] Chords for Francis Lalanne - Pense A Moi Comme Je T'aime with song key, BPM, capo transposer, play along with guitar, piano, ukulele & mandolin. . Par Qingping, Chine J’ai servi en tant que dirigeante dans une Église pendant un certain temps. SƓur Zhang, la diaconesse d’évangĂ©lisation, portait un fardeau dans son devoir et se montrait vraiment proactive. Mais elle Ă©tait assez directe, et avait tendance Ă  employer un ton sĂ©vĂšre. Parfois, elle soulignait les problĂšmes qu’elle remarquait en moi de façon trĂšs abrupte. Elle disait que je rĂ©primandais les gens avec autoritarisme, et qu’ils se sentaient contraints. Au dĂ©but, j’ai pris ça de façon positive. Je pensais qu’elle ne disait pas les choses gentiment, mais qu’elle avait raison, donc j’acceptais ses remarques et j’essayais de rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. Mais au bout d’un moment, Ă  force de la voir souligner les problĂšmes dans mon devoir devant tout le monde, sans aucune considĂ©ration pour mon image, j’ai fini par ne plus supporter la situation, et commencĂ© Ă  avoir des prĂ©jugĂ©s contre elle. Un jour, dans une rĂ©union avec des diacres, j’ai vu que personne ne parlait, donc je les ai invitĂ©s Ă  soulever n’importe quel problĂšme. Alors SƓur Zhang a dit sĂšchement Je me sens contrainte parce que ça te dĂ©plaĂźt quand j’échange longuement. » Et elle ajoutĂ© que d’autres frĂšres et sƓurs se sentaient entravĂ©s par moi, eux aussi. J’ai vu que quelques participants acquiesçaient, et j’ai commencĂ© Ă  rougir. Pour sauver la face, je me suis justifiĂ©e, en disant que c’était dans ma nature de parler durement. Elle a rĂ©pondu que le problĂšme ne venait pas de mon ton, mais de ma nature arrogante. SƓur Zhang ne tenait aucun compte de ma dignitĂ©, ce qui m’a bouleversĂ©e. Je me suis dit que c’était vrai qu’elle Ă©changeait interminablement, alors pourquoi ne rĂ©flĂ©chissait-elle pas sur elle-mĂȘme au lieu de me crĂ©er des problĂšmes ? Elle devait avoir une dent contre moi et voulait donner une mauvaise image de moi. Les autres allaient-ils m’en vouloir, et dire que je les rĂ©primandais et que j’étais arrogante ? Ces pensĂ©es ont vraiment renforcĂ© mes prĂ©jugĂ©s contre SƓur Zhang. Lors d’une autre rĂ©union avec des diacres, elle a dit devant tout le monde que je n’échangeais que sur des choses positives, et pas sur ma corruption, et que je n’avais guĂšre changĂ© mon arrogance et la façon dont je contraignais les gens. J’ai pensĂ© qu’elle n’avait pas Ă©voquĂ© mes qualitĂ©s, mais seulement mes dĂ©fauts. Étais-je vraiment aussi nuisible ? Les autres allaient forcĂ©ment avoir une mauvaise image de moi, et si la dirigeante s’en apercevait, elle allait peut-ĂȘtre dire que je n’avais pas changĂ© aprĂšs tout ce temps, et que je ne m’entendais pas avec les frĂšres et sƓurs. Je risquais donc d’ĂȘtre renvoyĂ©e. Plus j’y rĂ©flĂ©chissais et plus j’en voulais Ă  SƓur Zhang. Elle me critiquait sans cesse en public, et je lui cĂ©dais toujours sans me dĂ©fendre. Elle se montrait ingrate et allait trop loin. Elle Ă©voquait mes problĂšmes en nombre, sans tenir compte de l’image que cela donnait de moi. Je me suis dit qu’il fallait que je trouve l’occasion d’exposer ses problĂšmes, moi aussi, et de la mettre sur la sellette. J’ai donc tenu ma langue et je n’ai pas rĂ©pondu. Plus tard, lors d’une autre rĂ©union, j’ai appris que le travail d’évangĂ©lisation dont SƓur Zhang s’occupait ne donnait pas de bons rĂ©sultats, et qu’il y avait des problĂšmes dans son devoir. J’ai voulu le souligner publiquement, et la ridiculiser, mais avant que je puisse le faire, elle m’a posĂ© des questions sur mes rĂ©cents efforts concernant la propagation de l’Évangile. Je n’ai pas su quoi rĂ©pondre, c’était vraiment embarrassant. J’ai pensĂ© qu’elle aurait mieux fait de rĂ©flĂ©chir sur elle-mĂȘme, si son travail d’évangĂ©lisation marchait mal, au lieu de me le reprocher. Elle savait que j’avais Ă©tĂ© accaparĂ©e par le travail de l’Église et que je n’avais pas pu prĂȘcher, donc, en me posant cette question, n’essayait-elle pas de me discrĂ©diter ? Elle essayait sans cesse de m’embarrasser, je ne pouvais pas accepter ça sans me battre. Je devais parler publiquement de ses problĂšmes, moi aussi, pour qu’elle ne puisse pas garder la tĂȘte haute. Plus tard, j’ai dit Ă  un diacre, avec une arriĂšre-pensĂ©e Le travail d’évangĂ©lisation de SƓur Zhang pose des problĂšmes, et elle n’écoute pas les critiques. Elle ne rĂ©flĂ©chit pas sur elle-mĂȘme et se jette sans cesse sur les problĂšmes des autres. » Je me suis sentie un peu coupable, mais ensuite, j’ai pensĂ© que c’était elle qui m’avait critiquĂ©e et embarrassĂ©e en premier, et qu’elle mĂ©ritait donc que je la traite ainsi. Ensuite, quand j’ai partagĂ© mon Ă©tat dans les rĂ©unions, j’en ai profitĂ© pour propager les prĂ©jugĂ©s que j’avais contre elle. Je disais Quand j’ai posĂ© des questions sur le travail d’évangĂ©lisation, lors de la derniĂšre rĂ©union, SƓur Zhang ne s’est pas demandĂ© pourquoi elle ne faisait pas de travail pratique, et elle m’a demandĂ© comment je partageais l’Évangile. J’ai eu des prĂ©jugĂ©s contre elle, parce qu’elle ne tirait pas de leçons des problĂšmes qu’elle rencontrait. » En entendant ça, certains des participants ont Ă©galement pensĂ© que SƓur Zhang manquait de conscience d’elle-mĂȘme. J’étais trĂšs contente, parce que je me suis dit que, dĂ©sormais, les frĂšres et sƓurs allaient savoir qu’elle n’acceptait pas la vĂ©ritĂ©, et qu’avec un peu de chance, ils allaient la prendre en grippe et l’ostraciser. Ils n’allaient donc plus se fier Ă  ce qu’elle disait, et allaient penser qu’elle n’était pas objective quand elle avait exposĂ© mes problĂšmes. Alors je pourrais conserver une bonne image aux yeux des frĂšres et sƓurs. Quand la dirigeante allait Ă©tudier la situation, les autres diraient que SƓur Zhang Ă©tait nuisible, et que le problĂšme ne venait pas de moi. Durant cette pĂ©riode, quand SƓur Zhang a eu des problĂšmes, je ne l’ai pas aidĂ©e comme avant, et je n’ai pas assurĂ© le suivi ou la supervision de son travail. Je me suis dit que, lorsque notre dirigeante viendrait voir comment les choses se passaient, et qu’elle verrait que SƓur Zhang ne faisait pas de vrai travail, elle la traiterait peut-ĂȘtre, ou mĂȘme, elle la renverrait. BientĂŽt, la dirigeante est venue voir pourquoi notre travail d’évangĂ©lisation ne se portait pas bien. J’ai voulu saisir cette occasion pour parler des problĂšmes de SƓur Zhang. Ainsi, la dirigeante allait voir que SƓur Zhang ne faisait pas de travail pratique et qu’elle refusait d’ĂȘtre supervisĂ©e, puis elle la renverrait. AprĂšs ça, je n’aurais plus Ă  me soucier d’elle. Donc, j’ai juste parlĂ© Ă  la dirigeante des problĂšmes que SƓur Zhang rencontrait dans son devoir, sans lui dire qu’elle avait appris, qu’elle s’était repentie et qu’elle avait changĂ©. La dirigeante m’a Ă©coutĂ©e et s’est dit que SƓur Zhang avait des problĂšmes graves, puis elle m’a demandĂ© de recueillir des Ă©valuations sur SƓur Zhang, et de gĂ©rer la situation aprĂšs les avoir Ă©tudiĂ©es. Ensuite, lors d’une rĂ©union, j’ai traitĂ© SƓur Zhang trĂšs durement. J’ai dit qu’elle n’obtenait aucun rĂ©sultat, qu’elle refusait qu’on pose des questions sur son travail, qu’elle refusait la supervision des dirigeants et qu’elle perturbait le travail de la maison de Dieu. J’ai dit aussi qu’elle ignorait les sentiments des autres et qu’elle avait une humanitĂ© mĂ©diocre. SƓur Zhang a Ă©tĂ© vraiment contrariĂ©e en m’entendant. Elle a pensĂ© que, puisqu’elle n’acceptait pas la vĂ©ritĂ©, qu’elle blessait les autres, qu’elle avait une humanitĂ© mĂ©diocre, et qu’elle ne faisait pas de travail pratique, elle devait ĂȘtre renvoyĂ©e. Ensuite, elle s’est enfermĂ©e dans un Ă©tat nĂ©gatif, dont elle n’est pas arrivĂ©e Ă  s’extraire, et notre travail d’évangĂ©lisation en a souffert. En fait, j’ai eu du mal Ă  la voir souffrir autant. Je me suis demandĂ© si j’avais dĂ©passĂ© les limites. Mais en repensant Ă  la façon dont elle m’avait embarrassĂ©e, blessĂ©e et humiliĂ©e, j’ai voulu qu’elle ressente ce que cela faisait de perdre la face. Et si elle Ă©tait renvoyĂ©e, les autres sauraient qu’elle avait une humanitĂ© mĂ©diocre, ce n’était donc pas mon problĂšme. Ensuite, j’ai demandĂ© aux autres de rĂ©diger des Ă©valuations sur elle. Redoutant qu’ils n’en disent pas suffisamment sur ses problĂšmes pour qu’elle soit renvoyĂ©e, je n’ai cessĂ© d’évoquer ses dĂ©fauts devant eux. J’ai aussi demandĂ© dĂ©libĂ©rĂ©ment si elle rĂ©solvait des vrais problĂšmes, dans le but de prouver qu’elle ne faisait pas de vrai travail. Quand SƓur Liu, la dirigeante supĂ©rieure, a compris la situation, elle m’a traitĂ©e sĂ©vĂšrement, en disant SƓur Zhang a soulignĂ© tes problĂšmes et tu as refusĂ© de l’accepter, tu l’as jugĂ©e devant une dirigeante, et tu as dramatisĂ© la situation. Tu l’accables et tu lui en fais baver. Tu veux qu’elle soit renvoyĂ©e, n’est-ce pas ? SƓur Zhang est directe, mais elle n’a pas de mauvaises intentions. Elle dit les choses clairement. Les autres disent que tu es arrogante et que tu aimes rĂ©primander les gens, les entraver. Pourquoi n’acceptes-tu pas les suggestions et l’aide, et pourquoi vas-tu jusqu’à oppresser les autres ? » J’ai manifestĂ© une certaine rĂ©sistance. Je me suis dit Ce ne peut ĂȘtre entiĂšrement ma faute, SƓur Zhang a forcĂ©ment des dĂ©fauts, elle aussi. Tu prends juste son parti, sans avoir examinĂ© la situation. » J’ai Ă©voquĂ© d’autres problĂšmes de SƓur Zhang, mais craignant que la dirigeante pense que je ne voyais pas mes propres problĂšmes, j’ai aussi briĂšvement parlĂ© de ma corruption. SƓur Liu a bien vu que je ne me comprenais pas du tout, alors elle m’a dit de lire les paroles de Dieu qui exposent la façon dont les antĂ©christs rejettent les critiques, excluent les contestataires et oppriment les autres. Elle a aussi dissĂ©quĂ© la façon dont je faisais tout ça pour protĂ©ger mon image et mon statut, et dit que je suivais le chemin d’un antĂ©christ, et que cela nuisait Ă  SƓur Zhang et au travail de la maison de Dieu. Elle a ajoutĂ© que je serais renvoyĂ©e si je ne changeais pas et si je ne me repentais pas. Ça m’a vraiment fait peur. J’ai eu l’impression d’ĂȘtre exposĂ©e et Ă©liminĂ©e, alors j’ai sombrĂ© dans un Ă©tat nĂ©gatif. Pendant un moment, je me suis contentĂ©e de faire mon devoir machinalement. Je refusais d’échanger et d’aider les frĂšres et sƓurs qui Ă©taient dans un mauvais Ă©tat, et les projets de notre Église ne donnaient aucun rĂ©sultat. Plus tard, je me suis retrouvĂ©e dans de nombreuses impasses, et j’ai enfin compris que j’avais eu tort de ne pas tirer de leçons des critiques, et de me montrer nĂ©gative et rĂ©sistante. J’ai enfin commencĂ© Ă  examiner la façon dont j’avais interagi avec SƓur Zhang, alors j’ai priĂ© et rĂ©flĂ©chi. Puis j’ai lu ceci dans les paroles de Dieu Quand un antĂ©christ est Ă©mondĂ© et traitĂ©, peu importe qui le fait, Ă  quoi cela se rapporte, dans quelle mesure il est Ă  blĂąmer dans cette histoire, Ă  quel point l’erreur est flagrante, quelles iniquitĂ©s il commet et quelles consĂ©quences sa mĂ©chancetĂ© entraĂźne pour l’Église l’antĂ©christ ne considĂšre rien de tout cela. Il considĂšre que celui qui l’émonde et le traite le singularise ou lui trouve dĂ©libĂ©rĂ©ment des dĂ©fauts pour pouvoir le punir. L’antĂ©christ peut mĂȘme aller jusqu’à affirmer qu’on l’intimide, qu’on l’humilie, qu’on ne le traite pas avec humanitĂ©, qu’on le rabaisse et qu’on le mĂ©prise. Une fois qu’un antĂ©christ a Ă©tĂ© Ă©mondĂ© et traitĂ©, il ne se demande jamais ce qu’il a rĂ©ellement fait de mal, quel tempĂ©rament corrompu il a rĂ©vĂ©lĂ©, s’il a recherchĂ© les principes en la matiĂšre, ni s’il a agi conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ© et rempli ses responsabilitĂ©s. Il ne s’examine pas et ne rĂ©flĂ©chit Ă  rien de tout cela, et il ne mĂ©dite pas ces questions. Au lieu de cela, il aborde le traitement et l’émondage selon un point de vue humain et son approche est impĂ©tueuse. Chaque fois qu’un antĂ©christ est Ă©mondĂ© et traitĂ©, il est plein de colĂšre, de ressentiment et de mĂ©contentement et disposĂ© Ă  n’écouter les conseils de personne. Il refuse d’accepter d’ĂȘtre Ă©mondĂ© et traitĂ© et est incapable de revenir devant Dieu pour apprendre et rĂ©flĂ©chir sur lui-mĂȘme, pour corriger ses actions qui violent les principes, lorsqu’il est superficiel ou nĂ©gligent ou qu’il fait n’importe quoi dans son devoir, et il ne profite pas de cette chance pour rĂ©soudre son propre tempĂ©rament corrompu. Au lieu de cela, il trouve des excuses pour se dĂ©fendre, pour se justifier, et il dira mĂȘme des choses pour crĂ©er la discorde et provoquer les autres. [
] De façon gĂ©nĂ©rale, dans ce qu’ils disent comme dans ce qu’ils font, les antĂ©christs n’acceptent jamais la vĂ©ritĂ©. Qu’est-ce qu’un tempĂ©rament de refus de la vĂ©ritĂ© ? N’est-ce pas ĂȘtre Ă©cƓurĂ© de la vĂ©ritĂ© ? C’est prĂ©cisĂ©ment ce dont il s’agit » Ils veulent se retirer lorsqu’il n’y a plus de statut ou d’espoir d’obtenir des bĂ©nĂ©dictions », dans Exposer les antĂ©christs. GrĂące Ă  ces paroles de Dieu, j’ai vu que les antĂ©christs Ă©taient malade de la vĂ©ritĂ© et la dĂ©testaient. Quand ils sont traitĂ©s, ils ne l’acceptent pas de Dieu, et ils ne cherchent jamais la vĂ©ritĂ© et ne rĂ©flĂ©chissent pas Ă  leurs problĂšmes, mais ils sont pleins de griefs et d’insatisfactions, et font tout pour se justifier et se dĂ©fendre. Ils pensent que les autres leur rendent la vie difficile et ils se jettent sur leurs dĂ©fauts, ils les humilient et les regardent de haut, et ils refusent d’accepter la vĂ©ritĂ©. J’étais comme ça, moi aussi. Quand SƓur Zhang avait soulignĂ© mon arrogance et les problĂšmes que j’avais dans mon travail, je n’avais pas rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme. J’avais cru qu’elle me cherchait des dĂ©fauts, qu’elle essayait de me discrĂ©diter. Alors je lui avais rendu la monnaie de sa piĂšce, je l’avais punie par colĂšre. Quand la dirigeante supĂ©rieure m’avait exposĂ©e parce que j’oppressais SƓur Zhang et que j’avais une humanitĂ© mĂ©diocre, parce que je suivais le chemin d’un antĂ©christ, j’avais Ă©tĂ© encore plus mĂ©contente et j’avais continuĂ© Ă  me dĂ©fendre. J’avais pensĂ© qu’elle favorisait SƓur Zhang, alors j’étais devenu nĂ©gative et je m’étais opposĂ©e, tĂȘte baissĂ©e. J’ai compris que je voyais les critiques exactement comme un antĂ©christ, et que je rĂ©vĂ©lais un tempĂ©rament satanique qui consiste Ă  en avoir assez de la vĂ©ritĂ©. À ce stade, je me suis dit que j’étais dans un Ă©tat dangereux. J’ai voulu rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme et me repentir immĂ©diatement, me dĂ©tourner de ce mauvais chemin. Plus tard, au cours de mes dĂ©votions, j’ai lu ce passage. Êtes-vous capables de trouver plusieurs façons de punir les gens parce qu’ils ne sont pas Ă  votre goĂ»t ou parce qu’ils ne s’entendent pas avec vous ? Avez-vous dĂ©jĂ  fait ce genre de chose ? L’avez-vous beaucoup fait ? N’avez-vous pas rabaissĂ© des gens indirectement, fait des remarques dĂ©sobligeantes, Ă©tĂ© sarcastiques vis-Ă -vis d’eux ? Dans quels Ă©tats Ă©tiez-vous quand vous faisiez de telles choses ? À ce moment-lĂ , vous vous lĂąchiez et vous Ă©tiez contents vous aviez eu le dessus. Cependant, aprĂšs coup, vous vous ĂȘtes dit “J’ai fait quelque chose de vraiment ignoble. Je n’ai pas la crainte de Dieu et j’ai traitĂ© injustement cette personne.” Au fond de vous, vous ĂȘtes-vous sentis coupables ? Oui. Si vous n’avez pas la crainte de Dieu, au moins vous avez une certaine conscience. Alors, ĂȘtes-vous encore capables de faire ce genre de chose Ă  l’avenir ? Peux-tu envisager de t’attaquer Ă  des gens et de chercher Ă  te venger contre eux dĂšs l’instant oĂč tu les mĂ©prises et ne t’entends pas avec eux, ou dĂšs l’instant oĂč ils ne t’obĂ©issent pas ou ne t’écoutent pas ? Avez-vous dĂ©jĂ  fait une telle chose ? Quelle sorte d’humanitĂ© possĂšde une personne qui fait une chose pareille ? Concernant son humanitĂ©, elle est malveillante. À l’aune de la vĂ©ritĂ©, elle ne rĂ©vĂšre pas Dieu. Dans son discours et ses actions, cette personne n’a pas de principes ; elle agit sans raison et fait ce qui lui plaĂźt. Pour ce qui est de la crainte de Dieu, de telles personnes ont-elles rĂ©ussi une quelconque entrĂ©e ? Bien sĂ»r que non ; la rĂ©ponse est “non”, Ă  cent pour cent » Les cinq Ă©tats nĂ©cessaires pour ĂȘtre dans le droit chemin de la foi », dans Sermons de Christ des derniers jours. Ces paroles de Dieu ont rĂ©vĂ©lĂ© mon Ă©tat exact. Je manquais totalement de rĂ©vĂ©rence pour Dieu et j’avais une humanitĂ© malveillante. J’attaquais tous ceux qui m’offensaient et je me vengeais d’eux. Quand SƓur Zhang s’était montrĂ©e aussi directe au sujet de mes problĂšmes, j’avais eu l’impression qu’elle me faisait perdre la face devant les diacres. Au dĂ©but, j’avais pu me retenir et m’obliger Ă  accepter la situation, mais c’était arrivĂ© plusieurs fois, et j’avais alors eu de la rancƓur contre elle. J’avais cherchĂ© des failles chez elle et voulu me venger d’elle, lui donner un aperçu de ce que cela faisait de perdre la face. Quand j’avais dĂ©celĂ© des problĂšmes dans son travail, je ne l’avais pas aidĂ©e, et j’avais mĂȘme saisi cette occasion pour la rĂ©primander et la discrĂ©diter. Quand je n’étais pas parvenue Ă  mes fins, cela m’avait irritĂ©e encore plus, et je l’avais jugĂ©e dans son dos, pour que les frĂšres et sƓurs la prennent en grippe et l’excluent. J’avais dĂ©libĂ©rĂ©ment parlĂ© de ses problĂšmes Ă  la dirigeante, en espĂ©rant que celle-ci la critiquerait et la renverrait. Je m’étais dit qu’elle ne pourrait plus me faire d’ennuis, ensuite, et que je pourrais redorer ma rĂ©putation auprĂšs des frĂšres et sƓurs. Mes actes n’avaient pas seulement Ă©tĂ© extrĂȘmement douloureux et offensants pour SƓur Zhang, ils avaient aussi vraiment perturbĂ© le travail d’évangĂ©lisation. J’ai vu que j’avais une nature rĂ©ellement sinistre et malveillante. Je ne supportais pas la moindre offense, je manquais totalement d’humanitĂ©. J’ai songĂ© que Dieu m’avait Ă©levĂ©e pour que je serve en tant que dirigeante. Le but Ă©tait que je travaille bien avec les autres dans nos devoirs, pour que nous puissions nous aider les uns les autres et changer nos tempĂ©raments de vie. Mais j’avais attaquĂ© SƓur Zhang et je m’étais vengĂ©e d’elle pour prĂ©server mon image et mon statut, j’avais semĂ© la zizanie et j’avais excitĂ© les autres. J’avais nui aux frĂšres et sƓurs, et gravement entravĂ© le travail de la maison de Dieu. J’ai vu que j’avais vraiment fait le mal. Plus tard, en lisant les paroles de Dieu, j’ai gagnĂ© une certaine comprĂ©hension de ma nature malveillante. La parole de Dieu dit L’attaque et la vengeance sont un type d’action et de rĂ©vĂ©lation qui vient d’une nature satanique malveillante. C’est aussi une sorte de tempĂ©rament corrompu. Les hommes raisonnent ainsi “Si tu n’es pas gentil avec moi, alors je ne serai pas juste avec toi ! Si tu ne me traites pas avec dignitĂ©, pourquoi te traiterais-je avec dignitĂ© ?” Quel est ce genre de raisonnement ? N’est-ce pas une façon de penser vengeresse ? Dans l’opinion d’une personne ordinaire, ce type de perspective n’est-il pas viable ? Cela ne tient-il pas la route ? “Je n’attaquerai que si je suis attaquĂ© ; si je suis attaquĂ©, je contre-attaquerai certainement” et “Voici la monnaie de ta piĂšce” les incroyants disent souvent de telles choses. Chez eux, ce sont autant de raisonnements qui tiennent la route et sont totalement conformes aux notions humaines. Cependant, comment ceux qui croient en Dieu et recherchent la vĂ©ritĂ© doivent-ils considĂ©rer ces paroles ? Ces idĂ©es sont-elles correctes ? Non. Pourquoi ne sont-elles pas correctes ? Comment les caractĂ©riser ? D’oĂč viennent ces choses ? De Satan. Elles proviennent de Satan, cela ne fait aucun doute. De quel tempĂ©rament de Satan viennent-elles ? Elles viennent de la nature malicieuse de Satan ; elles contiennent du venin et elles contiennent le vrai visage de Satan dans toute sa malice et sa laideur. Elles contiennent l’essence mĂȘme de cette nature. Quelle est la nature des perspectives, des pensĂ©es, des expressions, du discours et mĂȘme des actions qui contiennent l’essence de cette nature ? Ces aspects n’appartiennent-ils pas Ă  Satan ? Ces aspects de Satan sont-ils conformes aux paroles de Dieu ? Sont-ils conformes Ă  la vĂ©ritĂ© ? Sont-ils basĂ©s sur les paroles de Dieu ? Non. Est-ce que ce sont les actions que les croyants devraient faire et les pensĂ©es et les points de vue qu’ils devraient avoir ? Non » Seule la rĂ©solution de ton tempĂ©rament corrompu peut te libĂ©rer d’un Ă©tat nĂ©gatif », dans Sermons de Christ des derniers jours. Les antĂ©christs ont une nature fĂ©roce. Chez quel genre de personnes est-ce lĂ  le tempĂ©rament principal ? Chez les mĂ©chants. C’est exact. L’aspect principal du tempĂ©rament d’une personne perverse est la fĂ©rocitĂ©. Lorsqu’une personne fĂ©roce est confrontĂ©e Ă  une quelconque exhortation, accusation, instruction ou aide bien intentionnĂ©e, son attitude n’est pas de remercier ni d’accepter cela humblement, mais plutĂŽt de s’emporter et de ressentir une haine extrĂȘme, de l’inimitiĂ© et mĂȘme un dĂ©sir de vengeance. [
] Bien sĂ»r, quand elle exerce sa vengeance contre une personne pour cause de haine, ce n’est pas parce qu’elle garde une vieille rancune, mais parce que la personne en question a exposĂ© ses erreurs. Cela montre que quelle que soit la personne qui le fait et quelle que soit sa relation avec l’antĂ©christ, le simple fait de l’exposer peut provoquer sa haine et susciter sa vengeance. Peu importe de qui il s’agit, si la personne qui le fait comprend la vĂ©ritĂ©, peu importe qu’elle soit un dirigeant, un ouvrier ou un membre ordinaire des Ă©lus de Dieu. Si quelqu’un expose, Ă©monde et traite l’antĂ©christ, celui-ci le traitera comme un ennemi et dĂ©clarera mĂȘme ouvertement “Quiconque me traite, je serai dur avec lui. Quiconque me traite, m’émonde, me vole ma part de bĂ©nĂ©dictions et me fait renvoyer par la maison de Dieu, je ne le laisserai jamais s’en tirer comme ça. C’est comme ça que je suis dans le monde profane personne n’ose me causer des ennuis, celui qui ose m’importuner n’est pas encore nĂ© !” VoilĂ  le genre de propos insolents que tiennent les antĂ©christs lorsqu’ils sont susceptibles d’ĂȘtre Ă©mondĂ©s et traitĂ©s. Quand ils prononcent ces paroles de colĂšre, ce n’est pas pour intimider les autres ni pour se protĂ©ger. Ce sont de vĂ©ritables promesses de mĂ©chancetĂ©, et ils peuvent s’abaisser Ă  tous les moyens Ă  leur disposition. C’est lĂ  le tempĂ©rament fĂ©roce des antĂ©christs » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie VIII », dans Exposer les antĂ©christs. GrĂące Ă  ces paroles de Dieu, j’ai vu que les antĂ©christs Ă©taient malveillants, et que si quelqu’un les provoquait ou compromettait leur image ou leur statut, ils considĂ©raient cette personne comme un ennemi et s’en vengeaient. Ce sont de vrais dĂ©mons. Si je me comparais aux antĂ©christs, du point de vue du tempĂ©rament et du comportement, n’étais-je pas comme eux ? Si on m’attaque, je riposterai certainement », ƒil pour Ɠil, dent pour dent » et Qui tend le dos, portera le fardeau » je prenais tous ces poisons sataniques pour de bonnes idĂ©es. SƓur Zhang avait soulignĂ© mes problĂšmes bien des fois, elle m’avait discrĂ©ditĂ©e, et j’avais trouvĂ© normal de me venger d’elle. Si je n’avais pas ripostĂ©, les gens auraient cru qu’ils pouvaient me tyranniser et m’exploiter. J’avais eu peur que, si elle m’exposait sans cesse devant tout le monde, la dirigeante pense que j’avais une humanitĂ© mĂ©diocre et qu’elle me renvoie, alors mon avenir et ma situation auraient Ă©tĂ© menacĂ©s. J’avais vu que SƓur Zhang avait rĂ©vĂ©lĂ© un problĂšme que j’avais effectivement, mais je n’avais pas du tout rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme. À la place, je l’avais attaquĂ©e, je l’avais traitĂ©e comme une ennemie, et j’avais voulu l’exclure. J’avais vu que SƓur Zhang souffrait de son Ă©tat nĂ©gatif, et que son devoir Ă©tait affectĂ©, mais mĂȘme ça m’avait laissĂ©e indiffĂ©rente. Je m’en Ă©tais pris Ă  elle pour protĂ©ger mes intĂ©rĂȘts personnels, sans tenir compte du travail de l’Église, ni me soucier des souffrances que je lui infligeais. J’avais vraiment Ă©tĂ© malveillante ! J’avais vĂ©cu selon ces poisons sataniques, j’avais manifestĂ© un tempĂ©rament satanique malfaisant et cruel, dĂ©pourvu de la moindre humanitĂ©. Je me suis souvenue d’un antĂ©christ que j’avais rencontrĂ©. Lui aussi aimait qu’on le porte aux nues et qu’on lui parle gentiment, mais quand les frĂšres et sƓurs l’exposaient, ce qui affectait son image et son statut, il les attaquait, se vengeait d’eux, leur en faisait baver, et il rendait les autres nĂ©gatifs et faibles. Il n’acceptait pas que les dirigeants l’exposent, trouvait des raisons de les critiquer, rĂ©pandait des notions et portait des jugements. Il se montrait si perturbateur que le travail de l’Église ne pouvait pas se poursuivre normalement. Les dirigeants avaient Ă©changĂ© avec lui, et l’avaient aidĂ© de nombreuses fois, mais il n’avait pas voulu se repentir. Il avait fini par ĂȘtre renvoyĂ© de l’Église pour tout le mal qu’il avait fait. N’avais-je pas Ă©tĂ© aussi malveillante que lui en me vengeant de SƓur Zhang ? J’ai ressenti du dĂ©goĂ»t et de la haine Ă  cause de mon propre comportement. J’ai dĂ©cidĂ© de me repentir et de changer vĂ©ritablement, de devenir un genre de personne diffĂ©rente. J’ai cherchĂ© les principes concernant la façon de traiter autrui, et de gĂ©rer les choses quand j’avais un parti pris contre un frĂšre ou une sƓur. J’ai trouvĂ© ces paroles de Dieu. Dans la maison de Dieu, quels sont les principes qui rĂ©gissent la façon dont les gens sont traitĂ©s ? Vous devez traiter tout le monde selon les principes de la vĂ©ritĂ©, et vous devez traiter chacun de vos frĂšres et sƓurs Ă©quitablement. Comment les traiter Ă©quitablement ? Cela doit ĂȘtre basĂ© sur les paroles de Dieu, sur qui Dieu sauve et qui Il rejette, sur qui Il aime et qui Il hait ce sont lĂ  les principes de la vĂ©ritĂ©. Les frĂšres et sƓurs doivent ĂȘtre traitĂ©s avec amour, acceptation mutuelle et patience. Les malfaiteurs et les non-croyants doivent ĂȘtre identifiĂ©s, sĂ©parĂ©s et tenus Ă  l’écart. Ce n’est qu’en faisant cela que vous traitez les gens avec des principes. Chaque frĂšre, chaque sƓur a des points forts et des points faibles et tous ont des tempĂ©raments corrompus, si bien que lorsque les gens sont ensemble, ils doivent s’entraider avec amour, ĂȘtre tolĂ©rants et patients et ne doivent pas pinailler ni ĂȘtre trop durs. [
] Tu dois regarder comment Dieu traite les ignorants et les imbĂ©ciles, comment Il traite ceux qui ont une stature immature, comment Il traite les manifestations normales du tempĂ©rament corrompu de l’humanitĂ© et comment Il traite les mĂ©chants. Dieu traite les diffĂ©rentes personnes de diffĂ©rentes maniĂšres et gĂšre la myriade de conditions de diffĂ©rentes personnes de façon variĂ©e. Tu dois comprendre la vĂ©ritĂ© en ces choses. Une fois que tu as compris ces vĂ©ritĂ©s, tu pourras alors savoir comment faire l’expĂ©rience des questions et traiter les gens selon des principes » Pour obtenir la vĂ©ritĂ©, tu dois apprendre des gens, des situations et des choses autour de toi », dans Sermons de Christ des derniers jours. Apprenez Ă  travailler en harmonie avec tout le monde et Ă  interagir avec les autres par la vĂ©ritĂ©, la parole de Dieu et les principes, et non par Ă©motion ou impĂ©tuositĂ©. Ainsi, la vĂ©ritĂ© ne rĂ©gnera-t-elle pas dans l’Église ? Tant que la vĂ©ritĂ© rĂšgnera, les choses ne seront-elles pas justes et raisonnables ? Ne pensez-vous pas qu’une coordination harmonieuse est bĂ©nĂ©fique pour tout le monde ? Faire les choses de cette façon est trĂšs bĂ©nĂ©fique pour vous. Tout d’abord, c’est positivement Ă©difiant et chargĂ© de sens pour vous dans le cadre de l’accomplissement de vos devoirs. En outre, cela vous empĂȘche de faire des erreurs, de provoquer des perturbations et des dĂ©rangements et de prendre le chemin des antĂ©christs » Le bon accomplissement de son devoir requiert une coopĂ©ration harmonieuse », dans Sermons de Christ des derniers jours. GrĂące Ă  ces paroles, j’ai vu que Dieu nous disait de traiter tous les types de gens conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ©. Quand les vrais croyants, ceux qui sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, rĂ©vĂšlent un peu de corruption seulement, en Ă©tant arrogants, trop directs, ou blessants, par exemple, nous devons nous montrer tolĂ©rants et patients, les aider et Ă©changer par amour, et non nous focaliser sur leurs dĂ©fauts. Mais quant aux scĂ©lĂ©rats ou aux antĂ©christs, qui portent des jugements et se dĂ©chaĂźnent, ou qui attaquent dirigeants et collaborateurs, en luttant pour leur statut, ils doivent ĂȘtre exposĂ©s, dissĂ©quĂ©s et renvoyĂ©s. Je savais que SƓur Zhang Ă©tait une croyante authentique, avec un sens de la justice, qu’elle dĂ©fendait le travail de l’Église. Elle Ă©tait juste directe et avait un ton sĂ©vĂšre, mais elle Ă©tait dĂ©pourvue d’intentions malfaisantes. Elle avait soulignĂ© mes problĂšmes pour m’aider Ă  comprendre mon tempĂ©rament corrompu, afin que je ne m’écarte pas du bon chemin et que je ne perturbe pas le travail de l’Église. Elle avait Ă©voquĂ© mes failles dans les rĂ©unions pour que je puisse voir les dĂ©fauts dans mon travail et suivre les principes de la vĂ©ritĂ© dans mon devoir. Elle protĂ©geait les intĂ©rĂȘts de l’Église. Elle avait montrĂ© une certaine corruption en faisant tout ça, mais je devais me montrer comprĂ©hensive, tolĂ©rante et juste avec elle. En fait, accepter la supervision et les suggestions d’autrui me profite vraiment. J’ai une nature arrogante. J’ai toujours pris les autres de haut et utilisĂ© mon poste pour les rĂ©primander. C’était blessant et contraignant pour eux et je ne le voyais pas. SƓur Zhang m’avait exposĂ©e et elle avait soulignĂ© ces problĂšmes, ce qui m’avait aidĂ©e et avait profitĂ© au travail de la maison de Dieu. Mais je m’étais dĂ©chaĂźnĂ©e et vengĂ©e, j’avais voulu l’ostraciser. J’avais Ă©tĂ© si malveillantes, je n’avais pas eu la moindre humanitĂ©. Voir tout cela m’a contrariĂ©e, je me suis dit que j’étais vraiment redevable Ă  SƓur Zhang. Alors, je lui ai ouvert mon cƓur. Je lui ai dit que j’avais refusĂ© ses conseils et son aide, que je m’étais dĂ©chaĂźnĂ©e contre elle et que je m’étais vengĂ©e d’elle pour prĂ©server mon image et mon statut, en la blessant, et que j’étais arrogante et malveillante. SƓur Zhang ne m’en a pas voulu, mais elle a vu sa propre arrogance, et compris qu’elle parlait sans tenir compte des sentiments des autres, de sorte qu’elle ne les aidait et ne les Ă©difiait pas. Cet Ă©change ouvert a fait disparaĂźtre la barriĂšre qui nous sĂ©parait, et nous nous sommes rapprochĂ©es. J’ai vraiment pu goĂ»ter Ă  la paix que donne la pratique des paroles de Dieu, et su que c’était bien pour moi comme pour les autres. Plus tard, je me suis interrogĂ©e Ă  l’avenir, quand d’autres m’exposeraient et souligneraient mes problĂšmes, quand ma fiertĂ© serait froissĂ©e et que j’aurais des pensĂ©es malveillantes, qu’allais-je devoir faire ? Puis j’ai lu des paroles de Dieu. Lorsque la plupart des gens sont Ă©mondĂ©s et traitĂ©s, ce peut ĂȘtre parce qu’ils ont rĂ©vĂ©lĂ© des tempĂ©raments corrompus. Ce peut ĂȘtre aussi parce qu’ils ont fait quelque chose de mal par ignorance et ont trahi les intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu. Ce peut ĂȘtre aussi parce que leurs tentatives de se dĂ©brouiller dans leur devoir en faisant de l’à-peu-prĂšs ont nui au travail de la maison de Dieu. La raison la plus flagrante, c’est lorsque les gens font ouvertement ce qu’ils veulent sans retenue, violent les principes et perturbent et dĂ©rangent le travail de la maison de Dieu. Ce sont les principales raisons pour lesquelles les gens sont Ă©mondĂ©s et traitĂ©s. IndĂ©pendamment des circonstances qui font qu’une personne est traitĂ©e ou Ă©mondĂ©e, quelle est l’attitude la plus cruciale Ă  avoir Ă  son Ă©gard ? Tout d’abord, il faut que vous l’acceptiez. Quelle que soit la personne Ă  qui vous avez affaire, quelle qu’en soit la raison, que cela paraisse dur ou non et quels que soient le ton et la formulation, vous devez l’accepter. Ensuite, vous devez reconnaĂźtre ce que vous avez fait de mal, quel tempĂ©rament corrompu vous avez exposĂ© et si vous avez agi conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ©. C’est d’abord et avant tout l’attitude que vous devez avoir lorsque vous ĂȘtes Ă©mondĂ©s et traitĂ©s » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie VIII », dans Exposer les antĂ©christs. Si tu nourris de la haine envers tes frĂšres et sƓurs, alors tu seras enclin Ă  les rĂ©primer et Ă  te venger sur eux ce serait trĂšs effrayant, et c’est lĂ  le tempĂ©rament d’une personne mauvaise. Certains ont simplement des pensĂ©es et des idĂ©es haineuses des idĂ©es mauvaises, mais ils ne feraient jamais rien de mal. S’ils peuvent s’entendre avec quelqu’un, ils le feront, et sinon ils se distanceront de lui, et cela n’aura pas d’effet sur leur devoir et n’influencera pas leurs relations interpersonnelles normales, parce qu’elles ont Dieu dans leur cƓur et elles Le rĂ©vĂšrent. Elles ne veulent pas offenser Dieu et ont peur de le faire. Ces personnes peuvent avoir certaines pensĂ©es et idĂ©es incorrectes, mais elles sont capables de les rejeter et de les abandonner. Elles font preuve de retenue dans leurs actions, elles ne prononcent mĂȘme pas une seule parole dĂ©placĂ©e et elles ne veulent pas offenser Dieu Ă  ce sujet. Quelqu’un qui parle et agit de cette maniĂšre est quelqu’un qui a des principes et qui pratique la vĂ©ritĂ©. Tu es peut-ĂȘtre incompatible avec la personnalitĂ© de quelqu’un et tu peux ne pas l’aimer, mais quand tu travailles avec lui, tu restes impartial et tu ne vas pas faire Ă©tat de tes frustrations dans l’accomplissement de ton devoir, sacrifier ton devoir ni reporter tes frustrations sur les intĂ©rĂȘts de la famille de Dieu tu peux agir conformĂ©ment aux principes. De quoi est-ce la manifestation ? C’est la manifestation d’une rĂ©vĂ©rence Ă©lĂ©mentaire envers Dieu. Si tu as un peu plus que cela, alors, quand tu repĂšres chez quelqu’un des lacunes ou des faiblesses, mĂȘme s’il t’a offensĂ© ou s’il a un parti pris contre toi, tu es tout de mĂȘme en mesure de le traiter correctement et de l’aider affectueusement. Cela signifie qu’il y a de l’amour en toi, que tu es une personne qui possĂšde de l’humanitĂ©, que tu es quelqu’un qui est gentil et qui peut pratiquer la vĂ©ritĂ©, que tu es une personne honnĂȘte qui possĂšde les rĂ©alitĂ©s de la vĂ©ritĂ© et que tu es quelqu’un qui a de la rĂ©vĂ©rence pour Dieu. Si tu es encore de petite stature mais que tu as de la volontĂ©, que tu es disposĂ© Ă  lutter pour la vĂ©ritĂ© et pour faire des choses selon les principes, et que tu es capable de gĂ©rer les choses et d’agir vis-Ă -vis des autres selon des principes, alors tu peux ĂȘtre considĂ©rĂ© ayant un peu de rĂ©vĂ©rence pour Dieu c’est la chose la plus fondamentale. Si tu n’en es mĂȘme pas capable et que tu ne peux pas te retenir, alors tu es en grand danger et tu fais vraiment peur. Si on te donnait un poste hiĂ©rarchique, tu punirais les gens et tu leur mĂšnerais la vie dure tu serais alors susceptible de devenir un antĂ©christ Ă  tout moment » Les cinq Ă©tats nĂ©cessaires pour ĂȘtre dans le droit chemin de la foi », dans Sermons de Christ des derniers jours. Ces paroles de Dieu m’ont donnĂ© un chemin de pratique. Si j’étais Ă©mondĂ©e et traitĂ©e, c’est que je devais avoir un problĂšme, ou que j’avais rĂ©vĂ©lĂ© un tempĂ©rament corrompu, ou perturbĂ© le travail de l’Église. Quel que soit le ton employĂ©, et mĂȘme si les mots Ă©taient dĂ©sagrĂ©ables Ă  entendre, je devais d’abord accepter et rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. MĂȘme si ma fiertĂ© s’en trouvait froissĂ©e, mĂȘme si cela me discrĂ©ditait, mĂȘme si j’avais envie de rĂ©sister, je devais avoir de la rĂ©vĂ©rence pour Dieu, et de la patience et de la tolĂ©rance pour les autres. Je ne pouvais pas me dĂ©chaĂźner ni me venger par corruption. Quand j’ai compris tout ça, je me suis efforcĂ©e de pratiquer la vĂ©ritĂ© et d’entrer dans la vĂ©ritĂ©. Ensuite, dans mon devoir, quand les autres soulignaient mes problĂšmes et froissaient ma fiertĂ©, je m’assurais de commencer par l’accepter, et mĂȘme si des pensĂ©es mĂ©chantes me venaient, je pouvais prier, renoncer Ă  moi-mĂȘme, ne pas ĂȘtre entravĂ©e par mes pensĂ©es et faire passer en premier le travail de l’Église. Je pouvais aussi discuter et chercher avec les frĂšres et sƓurs pour obtenir de meilleurs rĂ©sultats. AprĂšs avoir agi ainsi pendant un certain temps, j’ai vraiment vu Ă  quel point la supervision et les critiques m’étaient profitables ! Cela m’a rendue davantage capable de mettre en Ɠuvre les principes de la vĂ©ritĂ©, et d’éviter de faire le mal et de m’opposer Ă  Dieu. Dieu soit louĂ© ! Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Russia is waging a disgraceful war on Ukraine. Stand With Ukraine! Artiste Johnny Hallyday Traductions anglais français français Pense Ă  moi ✕ Je donnerai mon Ăąme À l'enfant que tu voulais Je donnerai mes larmes Au regard que tu avais Je donnerai la flamme Au souffle que tu portais Je donnerai les larmes Aux batailles qui nous perdaient Je donnerai mon Ăąme Comme l'amie de ton Ăąme Comme un homme Que son amour condamne Et qui sait qu'il n'y a plus rien Ă  croire AprĂšs l'espoir... Pense Ă  moi Quand ses yeux te caressent Pense Ă  moi Quand ses gestes te blessent Pense Ă  moi Quand son ombre te laisse Pense Ă  moi Pour autant de ce temps qui me reste Pense Ă  moi Quand le rideau se baisse Pense Ă  moi À force de faiblesse Pense Ă  moi Que mon corps se redresse Pense Ă  moi Pense Ă  moi Loin de toi... Pense Ă  moi Je laisserai les heures Faire le tour de tes poignets Je laisserais plusieurs De mes nuits Ă  ton chevet Je laisserai l'odeur De ta peau encore plus prĂšs Je laisserai la peur Avoir peur d'ĂȘtre trop prĂšs Je laisserai mon cƓur Au cƓur de ce que tu es Et si j'en meurs C'est que mourir le voulait Et tant pis s'il n'y a plus rien Ă  croire AprĂšs l'espoir... Pense Ă  moi Quand ses yeux te caressent... ✕ Droits d’auteur Writers Rick Allison, Didier GolemanasLyrics powered by by Ajouter une nouvelle traduction Ajouter une nouvelle demande Traductions de Pense Ă  moi » Collections avec Pense Ă  moi » Music Tales Read about music throughout history Lettre Ă  mon frĂšre, je t’aime grand frĂšre Bonjour grand frĂšre ! Je te fais une lettre parce que t’es le meilleur grand frĂšre. T’es tout le temps super gentil avec moi. J’aimerais bien que cette lettre te fasse penser Ă  moi et te fasse plaisir. Je veux aussi te parler de toutes les choses rigolotes qu’on fait ensemble. C’est gĂ©nial de t’avoir comme grand frĂšre ! Tu es tout le temps trop sympa avec moi et j’adore quand tu essaies de me faire rigoler ! MĂȘme si ça ne marche pas toujours ! Plus grand j’ai envie de devenir comme toi ! Je veux que tu m’apprennes les rĂšgles de tous les sports auxquels tu joues et que tu me montre comment devenir grand et fort ! C’est chouette de parler avec toi car tu sais m’expliquer les choses. Maintenant je sais comment m’entraĂźner au ballon ! Ou comment gagner Ă  la course ! C’est gĂ©nial parce que tu trouves tout le temps de nouvelles choses Ă  me montrer ! Mais pour l’instant, je m’entraĂźne dĂ©jĂ  pour devenir meilleur que toi ! Tu vas voir, tu as intĂ©rĂȘt Ă  te prĂ©parer parce que je fais beaucoup d’efforts ! Quand on Ă©tait tout petits ce que j’aimais le plus c’était jouer au foot avec toi ! Je ne comprenais pas bien comment ça marchait mais c’était tellement rigolo de courir aprĂšs la balle et d’essayer de te la voler ! Tu te donnais toujours Ă  fond et c’était vraiment drĂŽle ! Surtout quand tu tombais par terre ! J’adorais aussi quand tu essayais de m’attraper ! J’essayais de courir au plus vite pour Ă©chapper Ă  la sĂ©ance de chatouilles ! GrĂące Ă  toi je n’ai jamais peur. Je sais que de toute façon c’est toi le plus fort et que je peux toujours compter sur toi. Je veux devenir aussi fort et aussi courageux que toi, je veux suivre ton exemple ! Je n’ai peur de rien car il me suffit de penser Ă  toi pour me sentir mieux immĂ©diatement ! Mais j’aime quand mĂȘme quand tu viens me rassurer, parce que c’est chouette de parler Ă  son grand frĂšre. Au dĂ©but j’avais un peu peur d’aller Ă  l’école, je ne savais pas si j’allais me faire des amis et j’avais peur d’avoir des problĂšmes sans papa et maman. Mais tu m’as tout expliquĂ© ! Tu m’as montrĂ© comment me faire des copains et tu m’as appris plein de jeux ! Ça m’a permis de beaucoup m’amuser pendant les rĂ©crĂ©ations ! GrĂące Ă  toi je savais comment m’éclater ! Et c’était trĂšs motivant pour mieux travailler ! Il y a des choses que je ne comprends, mais tu trouves toujours les mots pour me les expliquer simplement. Tu es toujours lĂ  pour veiller sur moi et tu es tout le temps super patient ! Il y a plein de choses que je ne comprendrais pas si tu n’étais pas lĂ  ! Merci pour toute cette aide ! Je n’aime pas trop ça quand on se chamaille, mais Ă  la fin tu finis toujours par rendre ça rigolo ! On ne se dispute jamais trĂšs longtemps et quand on le fait tu trouves un moyen de rendre ça drĂŽle ! Tu es vraiment trop fort ! La prochaine fois qu’on se dispute, on rĂšglera ça avec une partie de foot ! Et je vais gagner ! Merci d’ĂȘtre toujours gentil avec toi et de toujours prendre du temps pour moi. J’espĂšre que ça te fait plaisir de recevoir une lettre ! C’est pour te remercier d’ĂȘtre un grand frĂšre gentil et attentionnĂ© ! Je t’adore vraiment ! J’ai de la chance de t’avoir comme grand frĂšre car je sais que tu es toujours prĂȘt Ă  m’aider et Ă  me rendre heureux. Merci de faire attention Ă  moi ! Merci de faire des efforts pour m’aider et me comprendre ! Je suis sĂ»r que grĂące Ă  toi je vais devenir plus intelligent et plus fort ! Je suis trop content ! Je t’aime bien parce que tu n’oublies jamais rien pour moi ! J’ai beaucoup de mal Ă  me souvenir de certaines choses, alors heureusement que tu es lĂ  pour m’aider ! Mais si un jour tu as besoin, n’hĂ©site pas demander aussi un coup de main Ă  ton petit frĂšre ! Moi aussi j’ai envie de t’aider de temps en temps ! J’ai super hĂąte qu’on se refasse une partie de foot ! Le gagnant devra offrir quelque chose au perdant ! Crois-moi tu vas avoir beaucoup de mal Ă  battre ! J’ai aussi hĂąte qu’on aille manger quelque chose ensemble ! Comme ça on pourra faire un concours du plus gros mangeur ! Je sais que tu adores manger, j’adore manger aussi et on pourra enfin savoir qui a le plus gros appĂ©tit ! C’est super important ! Je te parie que je suis capable de faire bien mieux que toi ! MĂȘme si je sais que tu es trĂšs gourmand et que toi aussi tu profiteras de l’occasion pour t’empiffrer au maximum ! Je suis trop content que tu sois de ma famille ! Avec toi, papa et maman on forme vraiment une famille gĂ©niale ! DĂšs qu’il y a quelque chose Ă  faire ou quelque chose Ă  fĂȘter, on est sĂ»r de ne pas s’ennuyer ! Tu trouves toujours de bonnes idĂ©es pour rendre les fĂȘtes, les anniversaires ou NoĂ«l encore mieux ! Je suis content que tu sois lĂ  ! J’ai fait cette lettre pour te redire que tu es vraiment un grand frĂšre gĂ©nial ! Un grand frĂšre trop cool, celui que tous les petits frĂšres rĂȘveraient d’avoir ! Je suis vraiment chanceux ! On va pouvoir continuer Ă  bien s’amuser ensemble, Ă  toujours se donner Ă  fond ! On va continuer Ă  se soutenir et Ă  s’entraĂźner ! Ne rĂȘve pas trop ! Entre nous deux, ça reste moi le plus beau et le plus fort ! Mais c’est quand mĂȘme toi le meilleur grand frĂšre, alors je te fais un gros bisou ! Ton petit frĂšre qui t’adore Copyright *Utilisation personnel avec mention de la source et lien obligatoire. Par Rena, Philippines En juin 2019, j’ai acceptĂ© la nouvelle Ɠuvre de Dieu et j’ai alors commencĂ© Ă  arroser les nouveaux venus. Certains nouveaux venus Ă©taient trĂšs reconnaissants aprĂšs avoir reçu mon aide, j’étais donc trĂšs fiĂšre, et je sentais que j’étais trĂšs appropriĂ©e pour ce devoir. Plus tard, j’ai pris une nouvelle venue, et au dĂ©but, j’ai l’ai arrosĂ©e assidument, mais plus tard, j’ai dĂ©couvert qu’elle comprenait bien les choses et progressait trĂšs rapidement, et chaque fois dans les rĂ©unions, je sentais que la comprĂ©hension qu’elle partageait Ă©tait bonne. J’ai senti qu’elle me surpasserait vite, et quand cela arriverait, le dirigeant lui demanderait d’arroser tout le monde, et on n’aurait plus besoin de moi. Avec ça Ă  l’esprit, je ne voulais plus l’arroser correctement, donc j’ai seulement parlĂ© de certaines choses extĂ©rieures avec elle. Un jour, le dirigeant m’a interrogĂ©e sur cette nouvelle venue, me disant, Nous avons besoin d’arroser le personnel maintenant. Est-ce qu’elle convient pour l’éducation ? » Je ne voulais pas du tout l’éduquer, parce qu’elle comprenait les choses tellement bien, et je craignais qu’elle devienne dirigeante dans le futur et soit au-dessus de moi. J’ai donc dit au dirigeant, Je manque de discernement, tu peux peut-ĂȘtre te renseigner autrement. » Quand j’ai entendi que le dirigeant Ă©tait allĂ© discuter avec elle, j’étais trĂšs jalouse et effrayĂ©e, et j’ai Ă©galement souvent pensĂ©, Elle sera peut-ĂȘtre Ă©duquĂ©e et promue, ou mĂȘme me remplacera. » Plus tard, l’Église a Ă©tĂ© divisĂ©e, et elle est allĂ©e dans une autre Ă©glise. Quelques mois plus tard, j’ai appris qu’elle Ă©tait devenue dirigeante d’une Ă©glise. J’étais choquĂ©e par la vitesse de sa progression ! Je l’ai fĂ©licitĂ©e et lui ai dit que j’étais contente pour elle, mais au fond de moi, j’étais jalouse d’elle. Pourquoi Ă©tait-elle devenue dirigeante si vite, tandis que j’arrosais encore le personnel ? J’étais trĂšs mĂ©contente, et j’ai commencĂ© Ă  travailler dur pour suivre les nouveaux venus que j’arrosais, parce que je voulais prouver au dirigeant que je convenais pour ĂȘtre une dirigeante d’église aussi. Plus tard, j’ai Ă©galement Ă©tĂ© Ă©lue comme dirigeante d’église, mais j’étais toujours jalouse quand je voyais quelqu’un qui Ă©tait meilleur que moi. Une fois, j’ai discutĂ© avec les dirigeants et les diacres sur comment soutenir et aider les nouveaux venus, et la diacre Ă©vangĂ©lisatrice partagea ses pensĂ©es. Le dirigeant supĂ©rieur a dit que ses suggestions Ă©taient bonnes, et les dirigeants de groupe en ont fait autant. Nous avons essayĂ© de soutenir et arroser les nouveaux venus en accord avec les suggestions de la diacre Ă©vangĂ©lisatrice. Elles ont Ă©tĂ© vraiment efficaces. Les nouveaux venus sont venus aux rassemblements et ont acceptĂ© leurs devoirs. La diacre Ă©vangĂ©lisatrice a Ă©galement prĂȘchĂ© l’évangile efficacement. Cela m’a rendue un peu jalouse. J’ai pensĂ©, La diacre Ă©vangĂ©lisatrice prĂȘche mieux que moi. Je dois m’amĂ©liorer et apprendre plus. » Plus tard, j’ai demandĂ© Ă  la diacre Ă©vangĂ©lisatrice combien d’annĂ©es elle avait faire son devoir, et elle m’a dit, Six mois. » J’étais trĂšs surprise Seulement six moi ? J’avais honte, parce qu’il y avait deux ans que j’avais acceptĂ© l’Ɠuvre de Dieu Tout-Puissant, plus longtemps que n’importe qui dans le groupe, mais j’étais comme une dĂ©butante qui manquait d’idĂ©es. AprĂšs cela, je me suis toujours comparĂ©e Ă  elle. Quand j’ai vu qu’elle Ă©tait une travailleuse compĂ©tente et avait toujours de bonnes mĂ©thodes et façons de suivre l’Ɠuvre, je l’ai encore plus enviĂ©e. Je me suis dit Si elle a constamment des bonnes idĂ©es quand on discute du travail, la dirigeante supĂ©rieure va voir qu’elle est de bon calibre, et la former pour qu’elle devienne dirigeante. Ça veut dire qu’elle va prendre ma place. » Un jour, la diaconesse d’évangĂ©lisation n’est pas venue Ă  une rĂ©union, parce qu’elle s’occupait d’une autre tĂąche. Ensuite, elle m’a demandĂ© ce que nous avions appris lors de la rĂ©union. N’ayant pas envie de le lui dire, j’ai rĂ©pondu que j’avais oubliĂ©. Plus tard, j’ai vu que la dirigeante supĂ©rieur Ă©changeait souvent avec la diaconesse, alors qu’elle le faisait rarement avec moi, ce qui m’a mise vraiment en colĂšre. J’ai pensĂ© Si tu refuses de parler avec moi, je refuse de faire mon devoir. » À l’époque, tout ce que je voulais, c’était passer Ă  un autre devoir, qui me permettrait d’ĂȘtre admirĂ©e par les autres. Je me disais que si je parvenais Ă  prĂȘcher l’Évangile efficacement, mes frĂšres et sƓurs auraient peut-ĂȘtre de l’estime pour moi, alors je me suis mise Ă  prĂȘcher l’Évangile et j’ai mis de cĂŽtĂ© le travail d’abreuvement des nouveaux venus. La dirigeante supĂ©rieure m’a rappelĂ©e Ă  l’ordre en me demandant de comprendre et de rĂ©soudre rapidement les difficultĂ©s des nouveaux venus, et j’ai rĂ©pondu Bien sĂ»r, j’irai les voir bientĂŽt. » mais je ne me suis souciĂ©e que de prĂȘcher l’Évangile et je n’ai pas Ă©tĂ© les voir. Durant cette pĂ©riode, les problĂšmes des nouveaux venus n’ont pas Ă©tĂ© rĂ©solus Ă  temps, et les rĂ©unions sont devenues irrĂ©guliĂšres. Peu aprĂšs, la dirigeante supĂ©rieure m’a envoyĂ© un message demandant pourquoi les nouveaux venus n’allaient pas aux rĂ©unions, et si j’avais moi-mĂȘme des difficultĂ©s, alors je lui ai parlĂ© de mon Ă©tat, et elle a Ă©changĂ© avec moi Tu es dirigeante, tu es responsable de tout le travail de l’Église, et en particulier de l’abreuvement des nouveaux venus, c’est trĂšs important. Tu ne peux pas nĂ©gliger les tĂąches ou faire dans l’à-peu-prĂšs. » J’ai pleurĂ© aprĂšs avoir Ă©coutĂ© ce qu’elle disait. J’ai trouvĂ© ses paroles trĂšs dures. Elle n’avait pas remarquĂ© les efforts que j’avais faits pour prĂȘcher l’Évangile. Plus tard, j’ai rĂ©flĂ©chi Ă  l’attitude que j’adoptais vis-Ă -vis de mon devoir. Je redoutais depuis si longtemps que les nouveaux venus soient meilleurs que moi, et je ne voulais pas les laisser me surpasser. Pour prĂ©server ma situation et gagner le respect de mes frĂšres et sƓurs, je ne les abreuvais pas correctement, surtout ceux qui avaient un bon calibre, et je ne les poussais pas non plus Ă  faire leur devoir. Je n’assumais absolument pas mes responsabilitĂ©s. J’ai pensĂ© Ă  ces paroles de Dieu Il y en a qui ont toujours peur que les autres soient meilleurs qu’eux et leurs soient supĂ©rieurs, qu’ils soient estimĂ©s alors qu’eux-mĂȘmes sont nĂ©gligĂ©s. Cela les conduit Ă  s’en prendre aux autres et Ă  les exclure. N’est-ce pas lĂ  de la jalousie envers les autres, plus compĂ©tents ? Un tel comportement n’est-il pas Ă©goĂŻste et mĂ©prisable ? De quelle sorte de tempĂ©rament s’agit-il ? De la malice ! Les gens qui ne pensent qu’à leurs intĂ©rĂȘts, ne satisfont que leurs propres dĂ©sirs, n’ont aucune considĂ©ration pour les autres ni pour les intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu ont un tempĂ©rament mauvais, et Dieu ne les aime pas » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Maintenant, vous tous ĂȘtes les interprĂštes Ă  plein-temps de vos devoirs. Vous n’ĂȘtes pas contraints ou coincĂ©s par la famille, le mariage ou la richesse. Vous vous en ĂȘtes dĂ©jĂ  extraits. Cependant, les notions, les imaginations, les connaissances et les intentions et les dĂ©sirs personnels qui remplissent vos tĂȘtes restent inchangĂ©s par rapport Ă  leur forme originale. Donc, dĂšs qu’il s’agit de rĂ©putation, de statut, ou de ce qui vous donne de la visibilitĂ©, si, par exemple, vous entendez dire que la maison de Dieu prĂ©voit de cultiver une variĂ©tĂ© de talents, le cƓur de chacun d’entre vous bondit d’anticipation et chacun de vous a toujours envie de se faire un nom et d’ĂȘtre reconnu. Tout le monde veut se battre pour le statut et la rĂ©putation, et tout le monde en a honte, mais les gens se sentent coupables s’ils ne le font pas. Ils ressentent de la jalousie et de la haine quand ils voient quelqu’un sortir du lot, ils Ă©prouvent du ressentiment et ont l’impression que c’est injuste, et ils pensent “Pourquoi ne puis-je pas me dĂ©marquer ? Pourquoi est-ce que ce sont toujours d’autres qui rĂ©coltent la gloire ? Pourquoi n’est-ce jamais mon tour ?” Et quand ils Ă©prouvent du ressentiment, ils essaient de le rĂ©primer, mais en vain. Ils prient Dieu et se sentent mieux pendant un moment, mais quand ils se retrouvent Ă  nouveau dans ce genre de situation, ils n’arrivent encore pas Ă  surmonter cela. N’est-ce pas le signe d’une stature immature ? Quand les gens sont plongĂ©s dans ces Ă©tats, ne sont-ils pas tombĂ©s dans le piĂšge de Satan ? Ce sont les chaĂźnes de la nature corrompue de Satan qui lient les humains » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu a rĂ©vĂ©lĂ© mon Ă©tat avec prĂ©cision. Je dĂ©testais quand les autres Ă©taient meilleurs que moi ou me surpassaient. Quand je rencontrais des nouveaux venus de bon calibre, qui comprenaient facilement les choses, j’avais peur qu’ils me surpassent et prennent ma place, donc je refusais de bien les abreuver, et je ne voulais pas que la dirigeante les cultive. Quand j’avais travaillĂ© avec la diaconesse d’évangĂ©lisation, en particulier, j’avais vu qu’elle prĂȘchait efficacement, qu’elle faisait sans cesse de bonnes suggestions, que la dirigeante supĂ©rieure discutait souvent du travail avec elle, et je l’avais enviĂ©e, je m’étais comparĂ©e Ă  elle, et j’avais prĂȘchĂ© l’Évangile pour que la dirigeante supĂ©rieure me remarque. Je n’avais pensĂ© qu’à mon statut et Ă  l’opinion qu’on se faisait de moi. Je n’avais pas du tout assumĂ© mes responsabilitĂ©s de dirigeante. J’ai alors vraiment eu honte. L’intention de Dieu avait Ă©tĂ© que j’abreuve ces nouveaux venus, pour qu’ils puissent avoir de bonnes bases sur la vraie voie, mais je n’avais pas tenu compte de la volontĂ© de Dieu, je n’avais songĂ© qu’à ma rĂ©putation et Ă  mon salut, et je n’avais pas abreuvĂ© assidĂ»ment ni soutenu les nouveaux venus, qui avaient cessĂ© d’assister rĂ©guliĂšrement aux rĂ©unions. J’avais fait le mal ! J’ai alors commencĂ© Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  mes objectifs dans mon devoir. Faisais-je mon devoir pour Dieu ou dans mon propre intĂ©rĂȘt ? Si j’avais essayĂ© de satisfaire Dieu, de tenir compte des intĂ©rĂȘts de Sa maison, j’aurais voulu former davantage de gens Ă  faire leurs devoirs dans la maison de Dieu. Mais je ne l’avais pas fait. À la place, j’avais enviĂ© et rĂ©primĂ© les gens talentueux, en espĂ©rant que la dirigeante ne les remarquerait pas. J’ai vu que j’avais fait mon devoir uniquement pour prĂ©server ma situation et mes intĂ©rĂȘts. J’avais Ă©tĂ© si Ă©goĂŻste ! Plus tard, quand une sƓur a appris dans quel Ă©tat j’étais, elle m’a envoyĂ© ce passage de la parole de Dieu Certaines personnes croient en Dieu, mais ne poursuivent pas la vĂ©ritĂ©. Elles vivent toujours selon la chair, s’attachant toujours aux plaisirs charnels, assouvissant toujours leurs propres dĂ©sirs Ă©goĂŻstes. Peu importe le nombre d’annĂ©es que de telles personnes ont cru en Dieu, jamais elles n’entreront dans la rĂ©alitĂ© de la vĂ©ritĂ©. C’est le signe d’une personne qui a apportĂ© le dĂ©shonneur Ă  Dieu. Tu dis “Je n’ai rien fait pour rĂ©sister Ă  Dieu ; en quoi ai-je dĂ©shonorĂ© Dieu ?” Tes idĂ©es et tes pensĂ©es sont toutes mauvaises. Dans les intentions, objectifs et motivations derriĂšre tes actions, et dans les consĂ©quences de ce que tu fais – tu satisfais Satan, Ă©tant la risĂ©e de Satan et le laissant obtenir quelque chose de toi. Vous n’avez rien portĂ© du tĂ©moignage qu’un chrĂ©tien devrait porter. Tu es quelqu’un qui appartient Ă  Satan. Tu dĂ©shonores le nom de Dieu en toute chose et ne possĂšdes pas de vĂ©ritable tĂ©moignage. Dieu Se souviendra-t-Il des choses que tu as faites ? Finalement, quelle conclusion Dieu tirera-t-Il au sujet de tes actes et du devoir que tu as accompli ? Quelque chose ne doit-il pas ressortir de cela, une certaine affirmation ? Dans la Bible, le Seigneur JĂ©sus dit “Plusieurs me diront en ce jour-lĂ  Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophĂ©tisĂ© par ton nom ? n’avons-nous pas chassĂ© des dĂ©mons par ton nom ? et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquitĂ©â€ Matthieu 722-23. Pourquoi le Seigneur JĂ©sus a-t-Il dit cela ? Pourquoi tant de ceux qui prĂȘchaient, chassaient les dĂ©mons et accomplissaient de nombreux miracles au nom du Seigneur sont-ils devenus des malfaiteurs ? Parce qu’ils n’acceptaient pas la vĂ©ritĂ© exprimĂ©e par le Seigneur JĂ©sus, parce qu’ils n’observaient pas les commandements du Seigneur JĂ©sus et qu’ils n’avaient aucun amour pour la vĂ©ritĂ© dans leur cƓur. Ils voulaient seulement Ă©changer leur travail, leurs souffrances et leurs sacrifices destinĂ©s au Seigneur contre les bĂ©nĂ©dictions du royaume des cieux. C’est lĂ  faire des transactions avec Dieu, c’est utiliser Dieu et tromper Dieu, et c’est pourquoi le Seigneur JĂ©sus les as exĂ©crĂ©s, haĂŻs et condamnĂ©s en tant que malfaiteurs. Aujourd’hui, les gens acceptent le jugement et le chĂątiment des paroles de Dieu, mais certains poursuivent encore la rĂ©putation et le statut. Ils veulent toujours se distinguer, ĂȘtre des dirigeants ou des ouvriers, et gagner rĂ©putation et statut. MĂȘme s’ils disent tous qu’ils croient en Dieu et qu’ils suivent Dieu, mĂȘme s’ils renoncent et se dĂ©pensent pour Dieu, ils accomplissent en fait leurs devoirs pour gagner gloire, avantages et statut, et ils ont toujours des projets personnels. Ils ne sont ni obĂ©issants ni loyaux envers Dieu, ils agissent arbitrairement, sans rĂ©flĂ©chir du tout sur eux-mĂȘmes, et ils deviennent donc des malfaiteurs. Dieu dĂ©teste ces malfaiteurs et Dieu ne les sauve pas » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Ce passage de la parole de Dieu a vraiment Ă©mu mon cƓur. Ceux dont Dieu parle, qui font le mal, ne sont pas des incroyants, mais des gens qui croient en Dieu. Ils suivent Dieu, se dĂ©pensent pour Lui, ils vont prĂȘcher l’Évangile et travailler en diffĂ©rents lieux, ils endurent des Ă©preuves, mais ils font leur devoir pour promouvoir leur prestige et leur statut, pour ĂȘtre admirĂ©s par autrui, ou pour gagner rĂ©compenses et couronnes. Ils ne peuvent pas se montrer loyaux envers Dieu, ni pratiquer la vĂ©ritĂ© ou obĂ©ir Ă  Dieu, alors le Seigneur JĂ©sus a dit Retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquitĂ© » Matthieu 723. J’étais exactement comme ceux qui prĂȘchaient et travaillaient pour le Seigneur. Je croyais en Dieu depuis deux ans, j’avais abandonnĂ© mes Ă©tudes pour faire mon devoir dans la maison de Dieu, j’avais souffert et payĂ© un prix, mais mon intention n’avait pas Ă©tĂ© de satisfaire Dieu. J’avais voulu ĂȘtre la meilleure au sein de l’Église, pour que mes frĂšres, mes sƓurs et la dirigeante aient une bonne opinion de moi, et c’était pour cela que j’avais autant essayĂ© de me faire remarquer. Je n’avais fait que satisfaire Satan. Mes actions n’avaient pas Ă©tĂ© de bonnes actions, mais de mauvaises actions. J’avais fait mon devoir animĂ©e par cette intention erronĂ©e, ce que Dieu ne pouvait que mĂ©priser, et si je continuais ainsi, je ne pouvais qu’ĂȘtre punie, parce que Dieu n’approuve pas ce genre de foi. Dieu allait dire Quitte-Moi, Je ne te connais pas ! » Quand j’ai compris ça, j’ai pris peur. J’ai voulu me repentir, et ne plus ĂȘtre jalouse de mes frĂšres et sƓurs, alors j’ai priĂ© Dieu pour Lui demander Sa direction. Plus tard, j’ai trouvĂ© le courage de m’ouvrir au sujet de ma corruption Ă  la dirigeante supĂ©rieure. Et au lieu de m’accuser, la dirigeante a partagĂ© son expĂ©rience avec moi pour m’aider. À l’époque, elle m’a aussi envoyĂ© ce passage des paroles de Dieu. Être un dirigeant d’Église, ce n’est pas seulement apprendre Ă  utiliser la vĂ©ritĂ© pour rĂ©soudre les problĂšmes, mais c’est aussi dĂ©couvrir et cultiver des personnes de talent, que vous ne devez absolument pas envier ou rĂ©primer. Pratiquer de cette façon est bĂ©nĂ©fique au travail de l’Église. Si tu peux cultiver quelques personnes qui poursuivent la vĂ©ritĂ© pour qu’elles coopĂšrent bien avec toi dans tout le travail que tu fais, et qu’à la fin, vous avez tous des tĂ©moignages basĂ©s sur l’expĂ©rience, alors tu seras un dirigeant qualifiĂ©. Si vous devenez capables d’agir en toutes choses selon les principes, vous serez alors Ă  la hauteur de votre loyautĂ©. [
] Si tu es vraiment capable d’ĂȘtre attentif Ă  la volontĂ© de Dieu, tu seras capable d’ĂȘtre juste envers autrui. Si tu recommandes une bonne personne et que tu permets Ă  cette personne de suivre une formation et d’accomplir un devoir, ajoutant ainsi une personne de talent Ă  la maison de Dieu, ton travail ne sera-t-il pas alors plus facile Ă  faire ? N’auras-tu pas alors Ă©tĂ© Ă  la hauteur de ta loyautĂ© dans ce devoir ? C’est une bonne action devant Dieu ; c’est le minimum de conscience et de sens que doit possĂ©der celui qui est dirigeant. Ceux qui sont capables de mettre la vĂ©ritĂ© en pratique sont en mesure d’accepter l’examen de Dieu quand ils font des choses. Quand tu acceptes l’examen de Dieu, ton cƓur est sur le droit chemin. Si tu ne fais des choses que pour que les autres les voient, que tu dĂ©sires toujours ĂȘtre louĂ© et admirĂ© et que tu n’acceptes pas l’examen de Dieu, alors Dieu est-Il toujours dans ton cƓur ? De telles personnes n’ont aucune rĂ©vĂ©rence pour Dieu. Ne fais pas toujours les choses pour toi-mĂȘme, ne considĂšre pas constamment tes propres intĂ©rĂȘts ; ne prĂȘte aucune considĂ©ration aux intĂ©rĂȘts de l’homme et ne pense pas Ă  ta propre fiertĂ©, Ă  ta propre rĂ©putation ni Ă  ton propre statut. Tu dois d’abord penser aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu et en faire ta premiĂšre prioritĂ©. Tu dois ĂȘtre attentif Ă  la volontĂ© de Dieu et commencer par rĂ©flĂ©chir si, oui ou non, tu as Ă©tĂ© impur dans l’accomplissement de ton devoir, si tu as Ă©tĂ© loyal, assumĂ© tes responsabilitĂ©s et fait tout ton possible et si, oui ou non, tu as songĂ© Ă  ton devoir et au travail de l’Église. Tu dois prendre en considĂ©ration ces choses-lĂ . Penses-y frĂ©quemment et essaie de les comprendre et il sera plus facile pour toi de bien accomplir ton devoir. Si tu es de faible calibre, que ton expĂ©rience est limitĂ©e, ou que tu n’es pas compĂ©tent dans ton travail professionnel, alors il se peut qu’il y ait des erreurs ou des insuffisances dans ton travail, et il se peut que les rĂ©sultats ne soient pas trĂšs bons, mais tu y auras consacrĂ© tous tes efforts. Dans tout ce que tu fais, tu ne satisfais pas tes propres dĂ©sirs ou prĂ©fĂ©rences Ă©goĂŻstes. Au contraire, tu accordes constamment de la considĂ©ration au travail de l’Église et aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu. MĂȘme si tu n’accomplis pas bien ton devoir, ton cƓur a Ă©tĂ© rectifiĂ© si, en plus, tu peux chercher la vĂ©ritĂ© pour rĂ©soudre les problĂšmes dans ton devoir, alors ton devoir sera Ă  la hauteur et tu pourras entrer dans la rĂ©alitĂ© de la vĂ©ritĂ©. C’est lĂ  porter tĂ©moignage » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu prĂ©sente clairement les principes de la pratique. Le plus important, c’est d’envisager les intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, de faire passer l’Ɠuvre de Dieu en premier. Quand vous avez la bonne attitude, il est plus facile de bien faire votre devoir. J’ai Ă©galement compris que nous croyons en Dieu et suivons Dieu, et non une personne, quelle qu’elle soit. Nous devons donc tenir compte de la volontĂ© de Dieu en toutes choses, et non de ce que pensent les autres. Si je voulais satisfaire Dieu et ĂȘtre une dirigeante qualifiĂ©e, je devais renoncer au statut et Ă  mes intĂ©rĂȘts, et trouver des nouveaux venus talentueux dignes d’ĂȘtre cultivĂ©s, pour qu’ils puissent commencer leurs devoirs et accumuler les bonnes actions. C’était la seule façon d’assumer mon devoir. Dieu est juste avec chacun d’entre nous. Dieu n’examine pas notre calibre ou notre statut, Il examine si nous sommes capables de pratiquer la vĂ©ritĂ©. Si je faisais mon devoir conformĂ©ment aux exigences de Dieu et aux principes de la vĂ©ritĂ©, si j’essayais toujours de faire mon travail afin qu’il bĂ©nĂ©ficie Ă  celui de l’Église, mĂȘme si mon calibre Ă©tait mĂ©diocre, Dieu m’éclairerait et me guiderait pour que j’accomplisse bien mon devoir. AprĂšs avoir compris Sa volontĂ©, j’ai priĂ© Dieu pour me repentir, et j’ai dit que j’étais prĂȘte Ă  renoncer Ă  la chair et Ă  faire mon devoir pour Le satisfaire. Plus tard, nous avons acceptĂ© de plus en plus de nouveaux venus, et la dirigeante m’a demandĂ© de former davantage de membres du personnel d’abreuvement. J’ai alors recommencĂ© Ă  avoir peur que les nouveaux venus que je cultivais prennent ma place, et que la dirigeante cesse alors de me cultiver. Quand j’ai eu ces pensĂ©es, j’ai compris que je ne devais plus penser Ă  mon image et Ă  mon statut, et que je devais tenir compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu. J’ai priĂ© Dieu, et je me suis souvenue de Ses paroles Être un dirigeant d’Église, ce n’est pas seulement apprendre Ă  utiliser la vĂ©ritĂ© pour rĂ©soudre les problĂšmes, mais c’est aussi dĂ©couvrir et cultiver des personnes de talent, que vous ne devez absolument pas envier ou rĂ©primer. Pratiquer de cette façon est bĂ©nĂ©fique au travail de l’Église. Si tu peux cultiver quelques personnes qui poursuivent la vĂ©ritĂ© pour qu’elles coopĂšrent bien avec toi dans tout le travail que tu fais, et qu’à la fin, vous avez tous des tĂ©moignages basĂ©s sur l’expĂ©rience, alors tu seras un dirigeant qualifiĂ©. Si vous devenez capables d’agir en toutes choses selon les principes, vous serez alors Ă  la hauteur de votre loyautĂ© » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. En tant que dirigeante d’Église, ma responsabilitĂ© est d’apprendre aux nouveaux venus Ă  accomplir leurs devoirs. En outre, accomplir son devoir est la responsabilitĂ© de tous ceux qui croient en Dieu. Si trop peu de gens coopĂšrent, c’est comme conduire une voiture sans pneus, et le travail de l’Église s’en trouve retardĂ©. Si je ne formais pas les gens, Ă©tant donnĂ© que beaucoup de personnes acceptaient l’Ɠuvre de Dieu, dĂ©sormais, celles-ci ne pourraient pas ĂȘtre abreuvĂ©es Ă  temps, leur entrĂ©e dans la vie en pĂątirait, et le travail de la maison de Dieu s’en trouverait Ă©galement affectĂ©. Ensuite, j’ai choisi quatre nouveaux venus qui comprenaient facilement les choses, je les ai formĂ©s pour qu’ils deviennent dirigeants de groupe, et je les ai laissĂ©s animer des rĂ©unions Ă  tour de rĂŽle. Je leur ai Ă©galement fait des rappels et je les ai aidĂ©s Ă  abreuver d’autres nouveaux venus. En coopĂ©rant avec eux, j’ai eu plus de temps Ă  consacrer Ă  l’ensemble des tĂąches, et l’efficacitĂ© de notre travail s’est progressivement amĂ©liorĂ©e. J’ai Ă©tĂ© ravie de voir les nouveaux venus faires des progrĂšs et accomplir leurs devoirs. Je me suis sentie Ă  l’aise et j’ai gagnĂ© une meilleure comprĂ©hension des paroles de Dieu. La parole de Dieu dit Si tu recommandes une bonne personne et que tu permets Ă  cette personne de suivre une formation et d’accomplir un devoir, ajoutant ainsi une personne de talent Ă  la maison de Dieu, ton travail ne sera-t-il pas alors plus facile Ă  faire ? N’auras-tu pas alors Ă©tĂ© Ă  la hauteur de ta loyautĂ© dans ce devoir ? C’est une bonne action devant Dieu ; c’est le minimum de conscience et de sens que doit possĂ©der celui qui est dirigeant » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Si j’ai cette comprĂ©hension et si j’ai une entrĂ©e dans mon devoir, c’est entiĂšrement dĂ» Ă  l’effet produit par la parole de Dieu. ModĂšles de poĂšmes d’amour pour dire je t’aime et exemples de messages pour dĂ©clarer son amour. 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Tu es mon Prince, mon Roi, mon Dieu Tu es le plus beaux de mes voeuxDire Je t’aime Ă  un homme comme toi C’est ouvrir mon coeur Ă  l’amour et la joie Dire je t’aime Ă  un garçon comme toi C’est en l’existence retrouver la foiTu es mon homme, mon mec Ă  moi Tu es mon futur, mon chemin de soi Avec toi j’ai envie de douceur A toi seul mon chĂ©ri, j’offre mon coeurMon chĂ©ri Je t’aime d’un amour fou Tu es mon tout, mon mari, mon avenir Mon homme Je t’aime, tu es si doux Tu es ma vie, mon chemin de t’embrasse tendrement Ta copine qui t’aime Ă  la folie Ta femme qui n’aime que toi Ton Ă©pouse qui ne rĂȘve que de toi. Je t’aime 
⇒ Les plus belles lettres d’amour Ă  envoyer Ă  la personne que l’on aimeTendre poĂšme d’amour pour elle – Je t’aime Ă  une fille ou une femme Un poĂšme d’amour pour celle que je t’aimeMa chĂ©rie merveilleuseJe t’offre ces poĂ©sie affectueuse De tendres mots d’amour pour te rendre heureuse Mon bonheur n’existe que dans des Je t’aime » Mon existence n’est belle que si nous la partageons de tous les 2Cette poĂ©sie d’amour est offerte Ă  fille merveilleuse Une femme que j’aime, une fille qui m’est si prĂ©cieuse Tu es mon Princesse, mon Reine, ma dĂ©esse Tu es la plus belle des Je t’aime Ă  une femme comme toi C’est ouvrir mon cƓur Ă  l’amour et la joie Dire je t’aime Ă  une fille comme toi C’est en l’existence retrouver la foiTu es ma femme, ma nana Ă  moi Tu es ma future, mon chemin de soi Avec toi j’ai envie de douceur A toi seule ma chĂ©rie, j’offre mon coeurMa chĂ©rie Je t’aime d’un amour fou Tu es mon tout, mon Ă©pouse, mon avenir Ma femme Je t’aime, tu es si douce Tu es ma vie, mon chemin du t’embrasse affectueusement Ton copain qui t’aime comme un fou Ton homme chĂ©ri qui n’aime que toi Ton Ă©poux qui ne rĂȘve que de toi. Je t’aime Ă  la folie et puis c’est toutBeaux poĂšmes d’amour courts Ă  envoyer en sms d’amourModĂšles de pour dire je t’aime simplement avec un magnifique poĂšme d’amour poeme d’amour sms mignon Un sms d’amour envoyĂ© Ă  ton coeurTes yeux sont des poĂšmes qui se lisent en silence Tes yeux sont ma chance quand ils disent je t’aime ».Belle phrase d’amour de Salvatore Adamo⇒ Les plus belles phrases d’amour de la Saint ValentinMagnifique poĂšme d’amour facile a apprendre Mon amour que j’aimeJe t’aime comme jamais je n’ai aimĂ© Je t’aime de sentiments d’éternitĂ© Tu es l’amour vrai que j’attendais Avec toi, je vis dans un Ă©ternel Ă©tĂ©Quand je pense Ă  toi Mon coeur amoureux se remplit de joie Quand je pense Ă  toi Mon coeur se fait aussi doux que la soieJe t’offre les mots de ce tendre poĂšme d’amour Vers romantiques qui disent je t’aime pour toujours Tu es mon plus beau prĂ©sent Mon futur, mon bonheur de chaque t’aime Ă©ternellement
⇒ Lui dire Je t’aime avec un beau message Je pense Ă  toiPoĂšme d’amour court pour une fille De tendres mots d’amour envoyĂ© Ă  ton coeurTu es l’homme que j’aime En ma vie le plus beau des poĂšmes Tu es l’élu de mon coeur Celui qui me couvre de es l’homme de vie Celui que mon coeur a choisi Tu es mes jours et mes nuits Le mec que j’aime d’un amour inouĂŻNos coeurs amoureux vont si bien ensemble C’est pour toi seul que mon coeur tremble Nous deux c’est une histoire d’amour Ă©ternel Toi et moi forme un couple fait de t’aime plus que tout
PoĂšme d’amour court pour une fille De tendres mots d’amour Ă  une fille si jolieTu es la femme que j’aime En ma vie le plus beau des poĂšmes Tu es l’élue de mon coeur Celle qui me couvre de es la femme de vie Celle que mon coeur a choisie Tu es mes jours et mes nuits Le fille que j’aime d’un amour inouĂŻNos coeurs amoureux vont si bien ensemble C’est pour toi seule que mon cƓur tremble Nous 2 c’est une histoire d’amour Ă©ternel Toi et moi formons un couple fait de t’aime Ă  la folie ma chĂ©rie⇒ Les plus beaux sms Je t’aime Ă  envoyer Ă  une fille ou garçon dont ont est amoureux ou poĂšmes d’amour du 19Ăšme siĂšcleLes poĂšmes d’amour du XIXĂšme sont certainement les poĂ©sies romantiques les plus belles. Trouver un beau poĂšme d’amour du 19 Ăšme siĂšcle Ă  envoyer Ă  une femme ou un homme que l’on d’amour 19iĂšme siĂšcle Ă  un homme LES ROSES DE SAADI PoĂ©sie romantique 19ieme siĂ©cleJ’ai voulu ce matin te rapporter des roses ; Mais j’en avais tant pris dans mes ceintures closes Que les nƓuds trop serrĂ©s n’ont pu les nƓuds ont Ă©clatĂ©. Les roses envolĂ©es Dans le vent, Ă  la mer s’en sont toutes allĂ©es. Elles ont suivi l’eau pour ne plus vague en a paru rouge et comme enflammĂ©e. Ce soir, ma robe encore en est toute embaumĂ©e. Respires-en sur moi l’odorant romantique de Marceline Desbordes-Valmore 1786-1859 Femme de lettres, actrice et cantatrice française.⇒ Envoyer un tendre message d’amour anniversaire Ă  son Ă©pouse ou son mariPoĂšme d’amour 19iĂšme siĂšcle Ă  un homme Es-tu brune ou blonde ? PoĂšme romantique de VerlaineEs-tu brune ou blonde ? Sont-ils noirs ou bleus, Tes yeux ? Je n’en sais rien mais j’aime leur clartĂ© profonde, Mais j’adore le dĂ©sordre de tes douce ou dure ? Est-il sensible ou mo

paroles pense Ă  moi comme je t aime