Lextrait que nous étudions est l'incipit de l' Assommoir, un roman naturaliste écrit par Emile Zola en 1877. Ce roman est tout d'abord paru sous forme de feuilletons dans la presse dès 1869. Il est un des volumes, le septième, d'une grande chaîne de romans appelée les Rougon-Macquart, dont le sous titre complet est Histoire Naturelle et
Ondénombre ainsi neuf types d’entre-deux-chapitres dans le roman : l’ouverture initiale (si tant est qu’elle puisse être considérée comme un véritable inter-chapitre étant donné qu’elle n’a naturellement pas de chapitre la précédant), la/les notule(s), la séquence, l’écho, les résonances, l’éphéméride, la litanie, l’intercalaire et le palimpseste.
WishUpon a Star. Harriet Dorothea Potter, communément appelée Harri, se cachait. Elle était enroulée dans les ailes de Buck l'hyppogriffe dans la chambre des maîtres du douze square Grimmaurd. Distraitement, elle lui caressait les plumes en sanglotant doucement. Son parrain, Sirius Black était mort récemment.
Résumédes chapitres Candide Chapitre I : La Vesphalie, le paradis Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes pour le jeune Candide, docile et ingénu. Le baron de Thunder-ten-tronckh, l’« un des plus puissants seigneurs de la Vestphalie », et probablement son oncle, l’a accueilli dans un château protégé et clos, qui fait rempart à toute violence extérieure.
Gênéspar leurs énormes sacs à dos, tous les neuf se regroupèrent tant bien que mal autour de la vieille botte que tenait toujours Amos Diggory. Ils s'étaient mis en cercle, coude à coude, frissonnant dans la brise fraîche qui soufflait sur la colline. Personne ne disait rien.
LePetit Prince Chapitre Dix Chez Le Roi. Le Petit Prince Chapitre Dix: Chez Le Roi Antoine de Saint-Exupery Samantha. Description de l'habitant de la • • planète La planète était habitée par un roi qui s’assieds sur un trône et qui porte beaucoup de pourpre et un manteau d’hermine Le roi ordonne le prince de faire beaucoup de
. Et si l'accident Jovénia n'avait pas eu lieu ?Quelles vies mèneraient nos héros ? Plusieurs mois après On frappa à la courus ma tante Saryn et mon tonton Ikaël !Ils me souhaitèrent un bon anniversaire et entrèrent s’ vaguement mon père leur dire que la pierre de Jovénia avait apparemment été volée,mais cela ne m’intéressait pas,car pour la première fois,je vis mes deux fille qui remuait et touchait à tout,et un garçon au contraire très les saisis par la main et les entraîna courus avec eux rejoindre mes amis,dans notre pas expliqué…Bon alors,il y a nos trois maisons alignées,avec une pelouse super bien tondue par y a une route,et derrière il y a une petite s’est construit une cabane dans les arbres,car c’est trop la classe !Je monta rapidement à l’échelle,et vit tout mes commencèrent à me souhaiter Bon anniversaire’ comme j’ai aujourd’hui dix ans,mais se turent en voyant les deux nouveaux. -Salut,moi c’est Swan !s’écria ma cousine,sans aucune gêne. » Elle a du caractère elle,je sentais que je l’appréciais déjà . -J’ai neuf ans,et mon frère Briaël en a huit,finit-elle. -Je m’appelle Liam,et j’ai dix ans aujourd’hui ! -Je suis Zidae,j’ai onze ans et voici mon frère Jenia de neuf sommes mi-jaguarian,mi-elfe. -Et je suis Alia,j’ai également onze ans,finit la dernière. » Swan et Briaël étaient tout les deux roux,aux yeux avait la coiffure de Danaël,mais ses cheveux étaient noirs,sa peau mate et ses yeux…Difficile à semblaient bleus un instant,puis verts l’instant d’ yeux étaient était,mis à part une longue queue touffue et des oreilles d’elfe, avait la peau et les cheveux clairs,des dents légèrement pointues et des yeux frère,lui,avait un pelage brun,également des oreilles d’elfe,mais avait lui de vrais yeux de jaguarian,de fins et petits traits avait de longs cheveux marrons et des yeux rouges Merci maman !,et à cause de cette couleur étrange,on la prenait pour une psychopathe,ce qu’elle n’était pas du tout. -Alors,aujourd’hui,on va de nouveau s’entraîner pour… » Liam n’acheva pas sa violente explosion retentit,le faisant se retourna et vit par la fenêtre la maison de ses parents en grande partie détruite.
RĂ©sumĂ©s des chapitres Submitted by Anonyme non vĂ©rifiĂ© Chaque chapitre se conclut Ă l'origine par un rĂ©sumĂ©. Les voici. RĂ©sumĂ© du chapitre 1. Le Parti ouvrier social-dĂ©mocrate marxiste de Russie s’est formĂ© dans la lutte d’abord contre le populisme, contre ses conceptions erronĂ©es et nuisibles Ă la cause de la rĂ©volution. C’est seulement quand les populistes eurent Ă©tĂ© battus dans le domaine idĂ©ologique, qu’il fut possible de dĂ©blayer le terrain pour la crĂ©ation d’un parti ouvrier marxiste de Russie. En 1880-1890, PlĂ©khanov et son groupe LibĂ©ration du Travail » avaient portĂ© un coup dĂ©cisif au populisme. En 1890-1900, LĂ©nine achève la mise en dĂ©route idĂ©ologique du populisme ; il lui donne le coup de grâce. Le groupe LibĂ©ration du Travail », fondĂ© en 1883, rĂ©alisa un travail important pour diffuser le marxisme en Russie ; il donna une base thĂ©orique Ă la social-dĂ©mocratie et fit le premier pas au-devant du mouvement ouvrier. Avec le dĂ©veloppement du capitalisme en Russie, les effectifs du prolĂ©tariat industriel sont en progression rapide. Vers 1885, la classe ouvrière s’engage dans la voie d’une lutte organisĂ©e, dans la voie d’une action de masse sous forme de grèves organisĂ©es. Mais les cercles et groupes marxistes ne s’occupaient que de propagande ; ils ne comprenaient pas la nĂ©cessitĂ© de passer Ă l’agitation de masse dans la classe ouvrière. C’est ce qui fait qu’ils n’étaient pas encore pratiquement liĂ©s au mouvement ouvrier, qu’ils ne dirigeaient pas. La fondation par LĂ©nine de l’ Union de lutte pour la libĂ©ration de la classe ouvrière » Ă PĂ©tersbourg 1895, Union qui dĂ©ploya une agitation de masse parmi les ouvriers et dirigea les grèves de masse, marqua une nouvelle Ă©tape, le passage Ă l’agitation de masse parmi les ouvriers et la fusion du marxisme avec le mouvement ouvrier. L’ Union de lutte pour la libĂ©ration de la classe ouvrière » Ă PĂ©tersbourg fut le premier embryon du parti prolĂ©tarien rĂ©volutionnaire de Russie. Ă€ la suite de l’ Union de lutte » de PĂ©tersbourg, des organisations marxistes furent crĂ©es dans tous les principaux centres industriels, de mĂŞme qu’à la pĂ©riphĂ©rie du pays. En 1898, le Ier congrès du POSDR se rĂ©unit, première tentative, du reste infructueuse, pour grouper les organisations social-dĂ©mocrates marxistes au sein d’un parti. Mais ce congrès ne fonda pas encore le parti il n’y avait ni programme, ni statuts du parti, ni direction Ă©manant d’un centre unique ; il n’y avait presque aucune liaison entre les diffĂ©rents cercles et groupes marxistes. C’est pour grouper et lier entre elles, au sein d’un seul parti, les organisations marxistes dissĂ©minĂ©es, que LĂ©nine Ă©tablit et rĂ©alisa le plan de fondation du premier journal des marxistes rĂ©volutionnaires pour toute la Russie, l’Iskra. Dans cette pĂ©riode, les Ă©conomistes » Ă©taient les principaux adversaires de la crĂ©ation d’un parti politique ouvrier unique. Ils niaient la nĂ©cessitĂ© d’un tel parti. Ils entretenaient la dispersion des diffĂ©rents groupes et leurs habitudes de travailler Ă la mode artisanale. C’est contre les Ă©conomistes » que LĂ©nine et l’Iskra fondĂ©e par lui dirigèrent leurs coups. La publication des premiers numĂ©ros de l’Iskra 1900-1901 marqua la transition Ă une pĂ©riode nouvelle, Ă la pĂ©riode de formation effective avec les groupes et cercles dispersĂ©s, du Parti ouvrier social-dĂ©mocrate unique de Russie. RĂ©sumĂ© du chapitre 2. Pendant la pĂ©riode de 1901 Ă 1904, Ă la faveur de l’essor du mouvement ouvrier rĂ©volutionnaire, on voit grandir et se renforcer les organisations social-dĂ©mocrates marxistes de Russie. Dans une opiniâtre lutte de principe contre les Ă©conomistes », la ligne rĂ©volutionnaire de l’Iskra de LĂ©nine triomphe ; la confusion idĂ©ologique et le travail Ă la mode artisanale » sont vaincus. L’Iskra relie entre eux les cercles et groupes social-dĂ©mocrates dispersĂ©s et prĂ©pare le IIe congrès du Parti. Ă€ ce congrès, en 1903, se forme le Parti ouvrier social-dĂ©mocrate de Russie ; on en adopte le programme et les statuts, on forme les organismes centraux dirigeants du Parti. Dans la lutte qui se dĂ©roule au IIe congrès pour la victoire dĂ©finitive de l’orientations iskriste Ă l’intĂ©rieur du POSDR, deux groupes font leur apparition celui des bolchĂ©viks et celui des menchĂ©viks. Les divergences essentielles entre bolchĂ©viks et menchĂ©viks Ă la suite du IIe congrès s’enveniment autour des questions d’organisation. Les menchĂ©viks se rapprochent des Ă©conomistes » et prennent la place de ceux-ci dans le Parti. L’opportunisme des menchĂ©viks se manifeste, pour l’instant, dans les questions d’organisation. Les menchĂ©viks sont contre le Parti rĂ©volutionnaire de combat du type lĂ©niniste. Ils sont pour un Parti aux contours vagues, pour un parti inorganisĂ©, suiviste. Ils appliquent une ligne de scission dans le Parti. SecondĂ©s par PlĂ©khanov, ils s’emparent de l’Iskra et du ComitĂ© central ; ils utilisent ces centres Ă des fins de scission. Devant la menace de scission Ă©manant des menchĂ©viks, les bolchĂ©viks prennent des mesures pour mettre au pas les scissionnistes ; ils mobilisent les organisations locales pour la convocation du IIIe congrès, et Ă©ditent leur journal V pĂ©riod. C’est ainsi qu’à la veille de la première rĂ©volution russe, Ă un moment oĂą a dĂ©jĂ commencĂ© la guerre russo-japonaise, les bolchĂ©viks et les menchĂ©viks s’affirment comme des groupes politiques distincts. RĂ©sumĂ© du chapitre 3. La première rĂ©volution russe marque toute une pĂ©riode historique dans le dĂ©veloppement de notre pays. Cette pĂ©riode historique comporte deux phases la première, quand la rĂ©volution s’élève de la grève politique gĂ©nĂ©rale d’octobre Ă l’insurrection armĂ©e de dĂ©cembre, en mettant Ă profit la faiblesse du tsar qui essuyait des dĂ©faites sur les champs de bataille de Mandchourie, en balayant la Douma de Boulyguine et en arrachant au tsar concession sur concession ; la seconde phase, quand le tsar, ayant rĂ©tabli sa situation après la signature de la paix avec le Japon, exploite la peur de la bourgeoisie libĂ©rale devant la rĂ©volution, exploite les hĂ©sitations de la paysannerie, leur jette comme une aumĂ´ne la Douma de Witle et passe Ă l’offensive contre la classe ouvrière, contre la rĂ©volution. En quelque trois annĂ©es de rĂ©volution 1905-1907, la classe ouvrière et la paysannerie acquièrent une riche Ă©ducation politique que n’auraient pu leur donner trente annĂ©es de dĂ©veloppement pacifique ordinaire. Quelques annĂ©es de rĂ©volution avaient rendu Ă©videntes des choses que n’auraient pas suffi Ă rendre Ă©videntes des dizaines d’annĂ©es de dĂ©veloppement pacifique. La rĂ©volution montra que le tsarisme Ă©tait l’ennemi jurĂ© du peuple, qu’il Ă©tait ce renard dont on dit qu’il mourra dans sa peau. La rĂ©volution montra que la bourgeoisie libĂ©rale recherchait une alliance non pas avec le peuple, mais avec le tsar ; qu’elle Ă©tait une force contre-rĂ©volutionnaire et qu’une entente avec elle Ă©quivalait Ă trahir le peuple. La rĂ©volution montra que seule la classe ouvrière peut ĂŞtre le chef de la rĂ©volution dĂ©mocratique bourgeoise ; qu’elle seule est capable de refouler la bourgeoisie cadette libĂ©rale, de soustraire Ă son influence la paysannerie, d’anĂ©antir les propriĂ©taires fonciers, de mener la rĂ©volution jusqu’au bout et de dĂ©blayer le chemin pour le socialisme. La rĂ©volution, montra enfin que la paysannerie travailleuse, en dĂ©pit de ses hĂ©sitations, n’en est pas moins l’unique force sĂ©rieuse qui soit capable d’accepter une alliance avec la classe ouvrière. Deux lignes se sont affrontĂ©es dans le pendant la rĂ©volution la ligne bolchĂ©vique et la ligne menchĂ©vique. Les bolchĂ©viks visaient Ă dĂ©velopper la rĂ©volution, Ă renverser le tsarisme par l’insurrection armĂ©e, Ă rĂ©aliser l’hĂ©gĂ©monie de la classe ouvrière, Ă isoler la bourgeoisie cadette, Ă Ă©tablir l’alliance avec la paysannerie, Ă crĂ©er un gouvernement rĂ©volutionnaire provisoire composĂ© des reprĂ©sentants des ouvriers et des paysans, Ă mener la rĂ©volution jusqu’à la victoire finale. Les menchĂ©viks, au contraire, visaient Ă contenir la rĂ©volution. Au lieu du renversement du tsarisme par l’insurrection, ils en proposaient la rĂ©forme et l’ amĂ©lioration » ; au lieu de l’hĂ©gĂ©monie du prolĂ©tariat, l’hĂ©gĂ©monie de la bourgeoisie libĂ©rale ; au Heu d’une alliance avec la paysannerie, l’alliance avec la bourgeoisie cadette ; au lieu d’un gouvernement rĂ©volutionnaire provisoire, la Douma d’État comme centre des forces rĂ©volutionnaires » du pays. C’est ainsi que les menchĂ©viks ont roulĂ© dans le marais de la conciliation et sont devenus les porte-parole de l’influence bourgeoise dans la classe ouvrière ; ils sont devenus, en fait, les agents de la bourgeoisie dans la classe ouvrière. Les bolchĂ©viks se trouvèrent constituer l’unique force marxiste rĂ©volutionnaire dans le Parti et dans le pays. On conçoit qu’après d’aussi graves divergences, le se soit trouvĂ© pratiquement scindĂ© en deux partis le Parti bolchĂ©vik et le parti menchĂ©vik. Le IVe congrès du Parti ne changea rien Ă la situation de fait qui rĂ©gnait Ă l’intĂ©rieur du Parti. Il ne put que maintenir et consolider un peu l’unitĂ© formelle du Parti. Le Ve congrès fit un pas en avant vers l’unification effective du Parti, et cette unification se rĂ©alisa sous le drapeau du bolchĂ©visme. En dressant le bilan du mouvement rĂ©volutionnaire, le Ve congrès du Parti condamna la ligne menchĂ©vique comme une ligne de conciliation, et approuva la ligne bolchĂ©vique comme la ligne marxiste rĂ©volutionnaire. Ce faisant, il confirmait une fois de plus ce qui avait Ă©tĂ© dĂ©jĂ confirmĂ© dans le cours de la première rĂ©volution russe. La rĂ©volution a montrĂ© que les bolchĂ©viks savent prendre l’offensive quand la situation le commande ; qu’ils ont appris Ă marcher aux premiers rangs et Ă conduire derrière eux le peuple Ă l’assaut. Mais la rĂ©volution a montrĂ©, en outre, que les bolchĂ©viks savent aussi se replier en bon ordre, quand la situation devient dĂ©favorable, quand la rĂ©volution dĂ©croĂ®t ; que les bolchĂ©viks ont appris Ă reculer dans les règles, sans panique ni prĂ©cipitation, afin de conserver les cadres, de rassembler leurs forces et, après avoir reformĂ© leurs rangs en tenant compte de la nouvelle situation, de reprendre l’offensive. On ne peut vaincre l’ennemi sans savoir bien conduire l’offensive. On ne peut Ă©viter la dĂ©bâcle en cas de dĂ©faite, si l’on ne sait se replier dans les règles, se replier sans panique et en bon ordre. RĂ©sumĂ© du chapitre 4. Les annĂ©es 1908-1912 furent une pĂ©riode très difficile pour l’action rĂ©volutionnaire. Après la dĂ©faite de la rĂ©volution, au moÂment oĂą le mouvement rĂ©volutionnaire dĂ©clinait et oĂą les masses Ă©taient en proie Ă la lassitude, les bolchĂ©viks changèrent de tactique en passant de la lutte directe contre le tsarisme, aux, voies dĂ©tournĂ©es. C’est ainsi que dans les conditions pĂ©nibles de la rĂ©action stolypinienne, ils exploitèrent les moindres possibiliÂtĂ©s lĂ©gales pour maintenir la liaison avec les masses depuis les caisses d’assurance et les syndicats jusqu’à la tribune de la Douma. Inlassablement, les bolchĂ©viks travaillaient Ă rassembler les forces en vue d’un nouvel essor du mouvement rĂ©volutionnaire. Dans les dures conditions créées par la dĂ©faite de la rĂ©voluÂtion, la dĂ©sagrĂ©gation des courants d’opposition, la dĂ©ception Ă l’égard de la rĂ©volution et le renforcement des attaques rĂ©visionÂnistes des intellectuels dĂ©tachĂ©s du Parti Bogdanov, Bazarov et autres contre les fondements thĂ©oriques du Parti, les bolchĂ©viks furent l’unique force, les seuls Ă ne pas baisser le drapeau du Parti, Ă rester fidèles au programme et Ă repousser les attaques des critiques » de la thĂ©orie marxiste ouvrage de LĂ©nine MatĂ©rialisme et empiriocriticisme. La trempe idĂ©ologique marxiste-lĂ©niniste, la comprĂ©hension des perspectives de la rĂ©volution, aidèrent le noyau fondamental des bolchĂ©viks groupĂ©s autour de LĂ©nine Ă sauvegarder le Parti et ses principes rĂ©volutionnaires. Ce n’est pas sans raison qu’on a dit de nous fermes comme le roc », disait LĂ©nine en parlant des bolchĂ©viks. Les menchĂ©viks, Ă cette Ă©poque, abandonnent de plus en plus la rĂ©volution. Ils deviennent des liquidateurs ; ils exigent que le Parti rĂ©volutionnaire illĂ©gal du prolĂ©tariat soit liquidĂ©, supprimĂ© ; ils rĂ©pudient de plus en plus ouvertement le programme du Parti, ses objectifs et ses mots d’ordre rĂ©volutionnaires. Ils tentent d’organiser un parti Ă eux, un parti rĂ©formiste, que les ouvriers baptisent du nom de parti ouvrier de Stolypine ». Trotski soutient les liquidateurs, en se retranchant pharisaĂŻquement derrière le mot d’ordre d’ unitĂ© du parti », qui signifie en rĂ©alitĂ© unitĂ© avec les liquidateurs. D’autre part, certains bolchĂ©viks, qui n’ont pas compris la nĂ©cessitĂ© d’emprunter de nouvelles voies, des voies dĂ©tournĂ©es, pour lutter contre le tsarisme, demandent que l’on renonce Ă utiÂliser les possibilitĂ©s lĂ©gales, que l’on rappelle les dĂ©putes ouvriers de la Douma d’État. Les otzovistes poussent le Parti Ă se dĂ©tacher des masses ; ils gĂŞnent le rassemblement des forces en vue d’un nouvel essor rĂ©volutionnaire. Sous le couvert d’une phrasĂ©ologie gauchiste, les otzovistes, de mĂŞme que les liquidateurs, renoncent en fait Ă la lutte rĂ©volutionnaire. Les liquidateurs et les otzovistes constituent contre LĂ©nine un bloc, dit bloc d’AoĂ»t, organisĂ© par Trotski. Dans la lutte contre les liquidateurs et les otzovistes, dans la lutte contre le bloc d’AoĂ»t, les bolchĂ©viks prennent le dessus et sauvent le Parti prolĂ©tarien illĂ©gal. L’évĂ©nement capital de cette pĂ©riode est la confĂ©rence du tenue Ă Prague en janvier 1912. Cette confĂ©rence chasÂse les menchĂ©viks du Parti ; on en finit pour toujours avec l’unitĂ© officielle des bolchĂ©viks et des menchĂ©viks dans un seul et mĂŞme parti. De groupe politique qu’ils Ă©taient, les bolchĂ©viks se constituent en un parti indĂ©pendant, le Parti ouvrier social-dĂ©mocrate bolchĂ©vik de Russie. La confĂ©rence de Prague marÂque la naissance d’un parti d’un type nouveau, le parti du lĂ©ninisme, le Parti bolchĂ©vik. L’épuration du Parti prolĂ©tarien des Ă©lĂ©ments opportunistes, des menchĂ©viks, rĂ©alisĂ©e par la confĂ©rence de Prague, a jouĂ© un rĂ´le important, un rĂ´le dĂ©cisif pour le dĂ©veloppement ultĂ©rieur du Parti et de la rĂ©volution. Si les bolchĂ©viks n’avaient pas chasÂsĂ© du Parti les menchĂ©viks-conciliateurs, traĂ®tres Ă la cause ouvrière, le parti prolĂ©tarien n’aurait pas pu, en 1917, soulever les masses pour la conquĂŞte de la dictature du prolĂ©tariat. RĂ©sumĂ© du chapitre 5. Dans les annĂ©es du nouvel essor rĂ©volutionnaire 1912 Ă 1911, le Parti bolchĂ©vik s’est mis Ă la tĂŞte du mouvement ouvrier et l’a conduit sous les mots d’ordre bolchĂ©viks vers une nouvelle rĂ©volution Le Parti a su allier le travail illĂ©gal Ă l’action lĂ©gale. Brisant la rĂ©sistance des liquidateurs et de leurs amis, les trotskistes et les otzovistes, il a pris possession de toutes les formes du mouvement lĂ©gal, et fait des organisations lĂ©gales les points d’apÂpui de son activitĂ© rĂ©volutionnaire. Dans sa lutte contre les ennemis de la classe ouvrière et leurs agents au sein du mouvement ouvrier, le Parti a consolidĂ© ses rangs et Ă©largi ses liaisons avec la classe ouvrière. En utilisant Ă fond la tribune de la Douma pour faire l’agitation rĂ©volutionnaire et en crĂ©ant un remarquable journal ouvrier de masse, la Pravda, le Parti a formĂ© une nouvelle gĂ©nĂ©ration d’ouvriers rĂ©volutionnaires les pravdistes ». Dans les annĂ©es de guerre impĂ©rialiste, ce contingent d’ouvriers resta fidèle au drapeau de l’internationalisme et de la rĂ©volution prolĂ©tarienne. C’est lui encore qui forma le noyau du Parti bolchĂ©vik aux jours de la RĂ©volution d’Octobre, en 1917. Ă€ la veille de la guerre impĂ©rialiste, c’était le Parti qui dirigeait l’action rĂ©volutionnaire de la classe ouvrière. Ces combats d’avant-garde interrompus par la guerre, devaient reprendre trois ans plus tard, pour renverser le tsarisme. Le Parti bolchĂ©vik entra dans la dure pĂ©riode de la guerre impĂ©rialiste en tenant bien haut le drapeau de l’internationalisme prolĂ©tarien. RĂ©sumĂ© du chapitre 6. La guerre impĂ©rialiste Ă©clata par suite de l’inĂ©galitĂ© du dĂ©veÂloppement des pays capitalistes, par suite de la rupture de l’équiÂlibre entre les principales puissances, la nĂ©cessitĂ© s’étant affirmĂ©e pour les impĂ©rialistes de procĂ©der par la guerre Ă un nouveau partage du monde et d’établir un nouvel Ă©quilibre des forces. La guerre n’aurait pas eu la mĂŞme force de destruction, peut-ĂŞtre mĂŞme ne se serait-elle pas dĂ©ployĂ©e avec la mĂŞme violence, si les partis de la IIe Internationale n’avaient pas trahi la cause de la classe ouvrière, s’ils n’avaient pas violĂ© les dĂ©ciÂsions des congrès de la IIe Internationale contre la guerre, s’ils s’étaient dĂ©cidĂ©s Ă rĂ©agir Ă©nergiquement et Ă dresser la classe ouvrière contre les gouvernements impĂ©rialistes, contre les fauÂteurs de guerre. Le Parti bolchĂ©vik fut le seul parti prolĂ©tarien qui resta fiÂdèle Ă la cause du socialisme et de l’internationalisme et qui dĂ©Âclencha la guerre civile contre son gouvernement impĂ©rialiste. Tous les autres partis de la IIe Internationale, liĂ©s comme ils l’étaient avec la bourgeoisie par leurs groupes dirigeants, se trouvèrent sous l’emprise de l’impĂ©rialisme et rallièrent le camp impĂ©rialiste. La guerre, qui Ă©tait un effet de la crise gĂ©nĂ©rale du capitaÂlisme, aggrava cette crise et affaiblit le capitalisme mondial. Les ouvriers de Russie et le Parti bolchĂ©vik furent les premiers dans le monde qui surent exploiter la faiblesse du capitalisme, enfonÂcer le front de l’impĂ©rialisme, renverser le tsar et crĂ©er des SoÂviets de dĂ©putĂ©s ouvriers et soldats. GrisĂ©es par les premiers succès de la rĂ©volution et rassurĂ©es par les promesses des menchĂ©viks et des socialistes-rĂ©volutionÂnaires, qui prĂ©tendaient que dĂ©sormais tout irait bien, les granÂdes masses de petits bourgeois, de soldats et aussi d’ouvriers se pĂ©nĂ©trèrent de confiance dans le Gouvernement provisoire et lui donnèrent leur appui. Une tâche s’imposait au Parti bolchĂ©vik expliquer aux masses d’ouvriers et de soldats grisĂ©s par les premiers succès qu’on Ă©tait encore loin de la victoire totale de la rĂ©volution ; qu’aussi longtemps que le pouvoir serait dĂ©tenu par le GouverneÂment provisoire bourgeois et que les conciliateurs menchĂ©viks et socialistes-rĂ©volutionnaires rĂ©gneraient dans les Soviets, le peuple n’aurait ni paix, ni terre, ni pain ; que pour vaincre dĂ©finitiveÂment, il Ă©tait indispensable de faire encore un pas en avant, de reÂmettre le pouvoir aux Soviets. RĂ©sumĂ© du chapitre 7. En huit mois, de fĂ©vrier Ă octobre 1917, le Parti bolchĂ©vik s’acquitte d’une tâche des plus difficiles il conquiert la majoritĂ© dans la classe ouvrière, dans les Soviets ; il fait passer du cĂ´tĂ© de la rĂ©volution socialiste des millions de paysans. Il arrache ces masses Ă l’influence des partis petits-bourgeois socialistes-rĂ©voluÂtionnaires, menchĂ©viks, anarchistes ; il dĂ©masque pas Ă pas la politique de ces partis dirigĂ©e contre les intĂ©rĂŞts des travailleurs. Le Parti bolchĂ©vik dĂ©ploie une activitĂ© politique intense sur le front et Ă l’arrière, prĂ©parant les masses Ă la RĂ©volution socialiste d’Octobre. Facteurs dĂ©cisifs dans l’histoire du Parti pendant cette pĂ©riode retour de LĂ©nine de l’émigration, thèses d’Avril de LĂ©nine, confĂ©Ârence d’Avril et VIe congrès du Parti. La classe ouvrière puise dans les dĂ©cisions du Parti la force et la certitude de la victoire ; elle y trouve une rĂ©ponse aux plus graves problèmes de la rĂ©volution. La confĂ©rence d’Avril oriente le Parti vers la lutte pour le passage de la rĂ©volution dĂ©mocratique bourgeoise Ă la rĂ©volution socialiste. Le VIe congrès aiguille le Parti sur l’insurrection armĂ©e contre la bourgeoisie et son Gouvernement provisoire. Les partis conciliateurs, socialiste-rĂ©volutionnaire et menchĂ©vik, les anarchistes et les autres partis non communistes achèvent leur Ă©volution dès avant la RĂ©volution d’Octobre, ils deviennent tous des partis bourgeois ; ils dĂ©fendent l’intĂ©gritĂ© du rĂ©gime caÂpitaliste. Le Parti bolchĂ©vik dirige Ă lui seul la lutte des masses pour le renversement de la bourgeoisie et l’instauration du pouvoir des Soviets. En mĂŞme temps, les bolchĂ©viks brisent les tentatives des capitulards Ă l’intĂ©rieur du Parti, — Zinoviev, KamĂ©nev, Rykov, BouÂkharine, Trotski, Piatakov, — pour faire dĂ©vier le Parti de la route de la rĂ©volution socialiste. Sous la direction du Parti bolchĂ©vik, la classe ouvrière, alliĂ©e aux paysans pauvres et soutenue par les soldats et les matelots, renverse le pouvoir de la bourgeoisie, instaure le pouvoir des SoÂviets, institue un nouveau type d’État, l’État soviĂ©tique socialiste ; elle abolit la propriĂ©tĂ© seigneuriale sur la terre, remet la terre en jouissance Ă la paysannerie, nationalise toutes les terres du pays, exproprie les capitalistes, rĂ©ussit Ă sortir de la guerre, Ă signer la paix, obtient la trĂŞve nĂ©cessaire et crĂ©e ainsi les conditions requises pour une ample construction socialiste. La RĂ©volution socialiste d’Octobre a battu le capitalisme ; elle a enlevĂ© Ă la bourgeoisie les moyens de production et fait des faÂbriques, des usines, de la terre, des chemins de fer, des banques une propriĂ©tĂ© du peuple entier, une propriĂ©tĂ© sociale. Elle a instaurĂ© la dictature du prolĂ©tariat et remis la direction d’un immense État Ă la classe ouvrière, dont elle a fait la classe dominante. La RĂ©volution socialiste d’Octobre a inaugurĂ© ainsi une ère nouvelle dans l’histoire de l’humanitĂ©, l’ère des rĂ©volutions prolĂ©tariennes. RĂ©sumĂ© du chapitre 8. Battus par la RĂ©volution d’Octobre, les grands propriĂ©taires fonciers et les capitalistes, de concert avec les gĂ©nĂ©raux blancs, s’abouchent, au prĂ©judice de leur patrie, avec les gouvernements des pays de l’Entente, pour dĂ©clencher en commun une agression militaire contre le pays des Soviets et en renverser le pouvoir. C’est sur cette base que s’organise l’intervention militaire de l’Entente et les rĂ©bellions de gardes blancs Ă la pĂ©riphĂ©rie de la Russie, ce qui fait que la Russie se trouve coupĂ©e de ses bases de ravitailleÂment en subsistances et en matières premières. La dĂ©faite militaire de l’Allemagne et la cessation de la guerre des deux coalitions impĂ©rialistes en Europe aboutissent au renforÂcement de l’Entente, au renforcement de l’intervention, et suscitent de nouvelles difficultĂ©s pour le pays des Soviets. La rĂ©volution en Allemagne et le mouvement rĂ©volutionnaire dans les pays d’Europe — au contraire — crĂ©ent une situation inÂternationale favorable au pouvoir soviĂ©tique et allègent la situation du pays des Soviets. Le Parti bolchĂ©vik alerte les ouvriers et les paysans pour la guerre de salut de la patrie contre les envahisseurs Ă©trangers et la contre-rĂ©volution de la bourgeoisie et des grands propriĂ©taires fonÂciers. La RĂ©publique soviĂ©tique et son ArmĂ©e rouge battent, l’une après l’autre, les crĂ©atures de l’Entente Koltchak, IoudĂ©nitch, DĂ©Ânikine, Krasnov, Wrangel ; elles chassent d’Ukraine et de BiĂ©loÂrussie Pilsudski, autre crĂ©ature de l’Entente, et repoussent l’interÂvention militaire Ă©trangère, dont elles rejettent les troupes au delĂ des frontières du pays des Soviets. C’est ainsi que la première agression militaire du capital interÂnational contre le pays du socialisme se termine par un Ă©chec complet. Battus par la rĂ©volution, les partis socialiste-rĂ©volutionnaire, menchĂ©vik, anarchiste, nationalistes soutiennent, dans la pĂ©riode de l’intervention, les gĂ©nĂ©raux blancs et les envahisseurs ; ils ourÂdissent des complots contre la RĂ©publique des Soviets, organisent la terreur contre les militants soviĂ©tiques. Ces partis qui, avant la RĂ©volution d’Octobre, avaient eu quelque influence sur la classe ouvrière, pendant la guerre civile se dĂ©masquent complètement aux yeux des masses populaires comme partis de contre-rĂ©volution. La pĂ©riode de la guerre civile et de l’intervention marque l’efÂfondrement politique de ces partis et le triomphe dĂ©finitif du Parti communiste dans le pays des Soviets. RĂ©sumĂ© du chapitre 9. Les annĂ©es de transition Ă l’œuvre pacifique de rĂ©tablissement de l’économie nationale constituent une des pĂ©riodes les plus dĂ©Âcisives de l’histoire du Parti bolchĂ©vik. Dans une atmosphère tendue, le Parti a su opĂ©rer le difficile tournant de la politique du communisme de guerre Ă la nouvelle politique Ă©conomique. Le Parti a cimentĂ© l’alliance des ouvriers et des paysans sur une nouÂvelle base Ă©conomique. L’Union des RĂ©publiques socialistes soviĂ©Âtiques a Ă©tĂ© créée. Par les mĂ©thodes de la nouvelle politique Ă©conomique, des succès dĂ©cisifs ont Ă©tĂ© obtenus dans le rĂ©tablissement de l’éconoÂmie nationale. Le pays des Soviets a traversĂ© avec succès la pĂ©rioÂde de rĂ©tablissement dans le dĂ©veloppement de l’économie natioÂnale et il a abordĂ© une nouvelle pĂ©riode, celle de l’industrialisaÂtion du pays. Le passage de la guerre civile Ă l’œuvre pacifique de construcÂtion socialiste a comportĂ©, dans les premiers temps surtout, de grandes difficultĂ©s. Les ennemis du bolchĂ©visme, les Ă©lĂ©ments hostiles dans les rangs du Parti communiste bolchĂ©vik de l’ ont menĂ©, durant toute cette pĂ©riode, une lutte acharÂnĂ©e contre le Parti de LĂ©nine. Ă€ la tĂŞte de ces Ă©lĂ©ments hostiles au Parti se trouait Trotski. Ses sous-ordres, dans cette lutte, furent KamĂ©nev, Zinoviev, Boukharine. L’opposition comptait, après la mort de LĂ©nine, dĂ©composer les rangs du Parti bolchĂ©vik, disloquer le Parti, lui inoculer le scepticisme Ă l’égard de la victoire du socialisme en Au fond, les trotskistes tenÂtaient de crĂ©er en une organisation politique de la nouvelÂle bourgeoisie, un autre parti, le parti de la restauration du capiÂtalisme. Le Parti serra les rangs sous le drapeau de LĂ©nine, autour de son ComitĂ© central lĂ©niniste, autour du camarade Staline, et il mit en dĂ©route les trotskistes de mĂŞme que leurs nouveaux amis de Leningrad, la nouvelle opposition Zinoviev-KamĂ©nev. Le Parti bolchĂ©vik, après avoir accumulĂ© forces et ressources, conduisit le pays Ă une nouvelle Ă©tape historique, Ă l’étape de l’industrialisation socialiste. RĂ©sumĂ© du chapitre 10. Dans la lutte pour l’industrialisation socialiste du pays, le Parti vainquit, de 1926 Ă 1929, d’immenses difficultĂ©s intĂ©rieures et inÂternationales. Les efforts du Parti et de la classe ouvrière firent triompher la politique d’industrialisation socialiste du pays. On rĂ©solut dans l’essentiel l’un des problèmes les plus difÂficiles de l’industrialisation, Ă savoir le problème de l’accumuÂlation des ressources pour Ă©difier l’industrie lourde. On jeta les fondements d’une industrie lourde capable de rééquiper l’ensemble de l’économie nationale. On adopta le premier plan quinquennal de construction sociaÂliste. On entreprit en grand l’organisation d’usines neuves, de sovkhoz et de kolkhoz. La marche au socialisme s’accompagnait d’une aggravation de la lutte de classes dans le pays et d’une aggravation de la lutte au sein du Parti. Cette lutte eut pour principaux rĂ©sultats l’écraÂsement de la rĂ©sistance des koulaks ; la dĂ©nonciation du bloc capitulard trotskiste-zinoviĂ©viste en tant que bloc antisoviĂ©tique ; la dĂ©nonciation des capitulards de droite en tant qu’agents des kouÂlaks ; l’expulsion des trotskistes hors du Parti ; la reconnaissance de l’incompatibilitĂ© des vues professĂ©es par les trotskistes et les opportunistes de droite, avec l’appartenance au Parti communiste de l’ Battus par le Parti bolchĂ©vik sur le terrain de l’idĂ©ologie et privĂ©s de toute base dans la classe ouvrière, les trotskistes cessèÂrent d’être un courant politique pour devenir une clique sans principes d’arrivistes et d’escrocs politiques, une bande de poliÂticiens Ă double face. Après avoir jetĂ© les bases de l’industrie lourde, le Parti moÂbilise la classe ouvrière et la paysannerie pour exĂ©cuter le preÂmier plan quinquennal de rĂ©organisation socialiste de l’ Ă€ travers le pays, des millions de travailleurs dĂ©veloppent l’émulaÂtion socialiste ; on voit naĂ®tre un puissant Ă©lan de travail, une nouÂvelle discipline du travail s’élabore. Cette pĂ©riode s’achève par l’annĂ©e du grand tournant, qui marÂque les immenses succès du socialisme dans l’industrie, les preÂmiers succès importants dans l’agriculture, le tournant opĂ©rĂ© par le paysan moyen vers les kolkhoz, le dĂ©but du mouvement kolÂkhozien de masse. RĂ©sumĂ© du chapitre 11. En 1930-1934, le Parti bolchĂ©vik s’est acquittĂ© de la tâche historique la plus difficile de la rĂ©volution prolĂ©tarienne après la conquĂŞte du pouvoir celle qui consiste Ă faire passer lès milÂlions de petits propriĂ©taires paysans sur la voie des kolkhoz, sur la voie du socialisme. La liquidation des koulaks, classe d’exploiteurs la plus nomÂbreuse, et le passage des masses essentielles de la paysannerie sur la voie des kolkhoz ont abouti Ă extirper les dernières raciÂnes du capitalisme dans le pays, Ă achever la victoire du sociaÂlisme dans l’agriculture, Ă consolider dĂ©finitivement le pouvoir des Soviets Ă la campagne. Après avoir surmontĂ© une sĂ©rie de difficultĂ©s d’organisation, les kolkhoz se sont dĂ©finitivement consolidĂ©s et engagĂ©s sur le chemin d’une vie aisĂ©e. L’exĂ©cution du premier plan quinquennal a eu pour rĂ©sultat la construction, dans notre pays, d’inĂ©branlables fondations de l’économie socialiste industrie lourde socialiste de premier ordre et agriculture collective mĂ©canisĂ©e ; le chĂ´mage a Ă©tĂ© supprimĂ© ; supprimĂ©e l’exploitation de l’homme par l’homme ; les conditions requises ont Ă©tĂ© créées pour une amĂ©lioration continue de la siÂtuation matĂ©rielle et culturelle des travailleurs de notre pays. Ces succès grandioses ont Ă©tĂ© remportĂ©s par la classe ouvrièÂre, les kolkhoziens et tous les travailleurs de notre pays, grâce Ă la politique courageuse, rĂ©volutionnaire et lucide du Parti et du gouvernement. Les États capitalistes qui nous encerclent, cherchent Ă affaiÂblir et Ă miner la puissance de l’ ; c’est pourquoi ils accenÂtuent leur travail » en vue d’organiser Ă l’intĂ©rieur du pays des bandes d’assassins, de saboteurs, d’espions. L’hostilitĂ© de ces États capitalistes Ă l’égard de l’ s’intensifie particulièrement avec l’arrivĂ©e des fascistes au pouvoir en Allemagne et au Japon. En la personne des trotskistes, des zinoviĂ©vistes, le fascisme a acquis des serviteurs fidèles ; ils se chargent d’espionner, de pratiquer le sabotage, d’exercer la terreur et de commettre des actes de diverÂsion ; ils veulent la dĂ©faite de l’ pour pouvoir restaurer le capitalisme. Le pouvoir des Soviets châtie d’une main ferme ces rebuts du genre humain ; il les frappe d’une rĂ©pression impitoyable, comme ennemis du peuple et traĂ®tres Ă la patrie. RĂ©sumĂ© du chapitre 12. Pas de rĂ©sumĂ©, mais il est suivi d'une conclusion qui Ă©value l'ensemble et la situation alors.
Présentation du roman de Georges Orwell La ferme des animaux, publié en 1945, est une double critique d’une part celle du régime stalinien, et d’autre part, celle plus générale des régimes dictatoriaux. La volonté de l’auteur témoignait clairement du souhait d’écrire un récit dénonçant le régime soviétique, à travers une histoire qui est la transposition des événements qui se sont produits en Russie dans la première moitié du XXème siècle. En effet, l’intention de Georges Orwell, comme il l’écrit dans la préface à l’édition ukrainienne, était d’analyser le mythe soviétique ». Dans une lettre à un de ses amis, il expliquait je suis en train d’écrire une petite bombe qui devrait vous divertir à sa sortie, mais elle est tellement peu OK politiquement que je ne suis pas sûr que quelqu’un la publiera » ; en effet, il devra attendre plus d’un an avant d’être publié. Dans la préface précitée, il explique que Animal farm est le premier livre dans lequel [il avait] essayé, en ayant pleinement conscience de ce [qu’il faisait], de fusionner en un tout le but artistique et le but politique ». Le thème du récit est celui de la révolte des animaux d’une ferme contre leur maître, leur tyran, suivie d’une évolution qui les conduira à un retour à la situation initiale. Mais au-delà , il faut y voir une représentation métaphorique du mythe soviétique, comportant de nombreuses références politiques. Résumé chapitre par chapitres de La ferme des animaux Chapitre 1 L’histoire se passe dans une vieille ferme située en Angleterre. Les propriétaires de cette dernière se nomment Monsieur et Madame Jones. Un soir, le fermier décide d’aller se coucher. Une fois au lit, les animaux de la ferme organisent une réunion dans la grande. C’est le cochon nommé Sage l’Ancien qui est à l’origine de cette idée. Les animaux présents pendant la scène sont les suivants Filou, le chien de la ferme Douce et Malabar, un couple de chevaux réservés pour la traite Edmée, une chèvre de couleur blanche Fleur et Constance, deux chiennes de la ferme L’âne Benjamin Lubie, une jument La chatte de la ferme Cette réunion n’est pas le fruit du hasard. Le cochon a fait un cauchemar la nuit dernière. Pour lui, cela a été une véritable révélation. En fait, l’homme n’est pas leur allié mais bel et bien leur ennemi. Par conséquent, il faut l’éliminer avant que ce soit lui qui tue les animaux. Le cochon Sage l’Ancien prône également le fait que tous les animaux sont égaux. En ce sens, leur union pour parvenir à leurs fins est indispensable. Les animaux de la fermes sont convaincus par le discours du cochon. Pour signifier leur accord, il se mettent tous à chanter un chant aux couleurs partisanes. Le vieux fermier est réveillé par tout ce bruit et sort sa carabine. Il tire un coup en direction de la grange. Effrayés, les animaux retournent dans leur habitat respectif et s’endorment. Chapitre 2 Deux jours se succèdent sans que rien ne se passe. La troisième nuit, le cochon Sage l’Ancien meurt. Trois cochons nommés Brille-Babil, Napoléon et Boule de Neige prennent la relève. Il fonde un nouveau mode de pensée philosophique. Il s’appelle l’animalisme. L’animalisme reprend les fondements évoqués par le cochon Sage l’Ancien. Les trois cochon tentent de convertir les autres animaux de la ferme à leur mode de pensée. Mais cela n’est pas facile. A titre d’exemple, Moïse. C’est un corbeau qui ne cesse d’avoir un discours religieux. Il ne veut pas se rallier à la cause des cochons car il croit au Paradis. Moïse est une parodie du discours religieux. Monsieur Jones, le fermier, boit de plus en plus. Ce sont donc les ouvriers qui doivent s’occuper de la ferme mais ils sont peu attentifs. Les animaux n’ont rien à manger ou à boire. Lorsqu’ils s’échappent pour se nourrir, ils sont battus. Un jour, les animaux se retournent contre les ouvriers. Ils se jettent sur eux. Effrayés, les ouvriers et Monsieur Jones qui a tout vu partent en courant. Les animaux sont désormais seuls. Ils ruinent tout ce que les fait penser à l’homme. Cependant, ils décident de garder la maison des fermiers pour en faire un musée. Les cochons, qui savent lire, donnent un nouveau nom à la ferme. Cette dernière se nomme désormais la “Ferme des animaux”. Plus encore, ils écrivent sur le mur les sept commandements que chaque animal devra respecter. Certains animaux se plaignent. Ainsi, les vaches sont souffrantes car personne ne peut les soulager grâce à la traite. Ce sont les cochons qui s’y collent. Ils conservent précieusement le lait et ne veulent pas dire ce qu’ils compte en faire. Le soir même, le lait est dérobé. Résumé du chapitre 3 du livre Les cochons dirigent toutes les opérations. Les récoltes sont bien plus abondantes que lorsque le ferme s’en occupait. Tout le monde semble apaisé et heureux. De plus, tout le monde mange à sa faim. La chatte et l’âne semblent un peu moins travailleurs que le reste du groupe. Napoléon et Boule de Neige se disputent sans cesse. Boule de Neige dispense des cours de lecteur à tout les animaux. Il a résumé les sept commandants en une maxime qui est la suivante “Quatre pattes, oui ! Deux pattes, non !” Napoléon, quant à lui, veut former les neufs chiots de la ferme. Les autres animaux résolvent le mystère du lait. Ce sont les cochons qui le mangent un peu chaque jours. Il en est de même pour les pommes. Chapitre 4 L’histoire de la ferme se répand dans toute la région. Les hommes ont peur. Monsieur Jones veut récupérer sa ferme. Ils demandent de l’aide à Monsieur Pilkington et Monsieur Frederick, deux autres fermiers. Les animaux s’étaient préparés et font fasse à l’assaut. Un mouton est néanmoins tué et le cochon Boule de Neige est grièvement blessé. La bataille est surnommé la “bataille de l’étable”. Les fermiers se sauvent. Chapitre 5 de la ferme des animaux Lubie disparaît. Elle avait été vue, peu de temps avant, avec un homme. Douce avait même vu du sucre et un ruban dissimulés sous la paille de l’habitat de la jument. Boule de Neige veut construire un moulin mais Napoléon s’y oppose fermement. Alors que les deux cochons veulent chacun convaincre les autres de leurs opinions, neuf chiens attaquent la ferme. Les animaux comprennent alors qu’il s’agit, en fait, des neufs chiots que Napoléon a formé. Napoléon fait alors un coup d’éclat. Il déclare qu’il est désormais le seul président de la ferme. Les autres animaux sont contraints d’accepter sous-prétexte que tout est mieux que le retour du fermier. La ferme devient une véritable dictature. Finalement, Napoléon ordonne la construction du moulin. Chapitre 6 Un jour, le dictateur déclare aux autres animaux qu’il doit faire du commerce avec les hommes et que cela est dans l’intérêt de tous. Les animaux de la ferme sont très inquiets mais sont obligés d’accepter. C’est Monsieur Whymper qui fait affaire avec eux. Dans ce passage du résumé de la ferme des animaux, il émerge une certaine fierté. En effet, les animaux sont fiers de voir qu’un cochon commande un homme. Les cochons se permettent de plus en plus de choses. Désormais, ils dorment dans les lits de la maison des fermiers alors que les autres s’acharnent au travail. Au mois de novembre, une tempête dévaste le moulin que les animaux avaient construits. Napoléon accuse Boule de Neige et il donne l’ordre de le tuer. Il ordonne également aux autres animaux de reconstruire le moulin. Chapitre 7 du roman d’Orwell L’hiver est particulièrement dur. Par fierté, ils font mine que tout va bien devant les hommes alors que beaucoup ont faim. Finalement, Napoléon prend la décision de livrer des oeufs aux hommes. En échange, ces derniers doivent leur fournir des provisions. Napoléon perd la raison. Il accuse plusieurs animaux de la ferme de trahison et ordonne leur exécution. Les animaux restants commencent à se poser des questions. Chapitre 8 Napoléon s’est peu à peu constitué une garde. Il est de plus en plus difficile de s’adresser à lui. On apprend que le fermier Frederick avec qui Napoléon à fait affaire a arnaqué la ferme. Napoléon est furieux et veut sa mort. Le lendemain matin, Frederick et ses hommes envahissent et attaquent la ferme. Le moulin est détruit. Les animaux sont en grandes difficultés. Ils parviennent à gagner mais non sans peine. Beaucoup sont blessés. Une grande fête est organisée pour célébrer cette victoire. Les animaux découvrent une caisse d’alcool et s’empressent de la boire. Napoléon modifie alors un commandement l’alcool est désormais toléré mais avec modération. Chapitre 9 L’hiver se poursuit. La faim se fait de plus en plus ressentir. Les cochons et les chiens sont les seuls à bien manger. Les cochons ont de plus en plus d’avantages. Leur mode de vie ne ressemble plus du tout à celui des autres animaux de la ferme. Pour continuer le résumé de la ferme des animaux, Malabar, un vieil animal, s’acharne au travail. Il finit par faire un malaise. Pour ne pas qu’il meurt, Napoléon l’envoie à l’hôpital. Mais, Benjamin s’aperçoit que l’homme qui est venu le chercher veut le conduire à l’abattoir. Le cochon Brille-Babil annonce la mort de Malabar aux autres animaux. Il dément aussi la rumeur de l’abattoir. Les autres finissent par le croire. Un banquet est organisé le soir même. Chapitre 10 et fin du résumé de la ferme des animaux Les années passent et la ferme est de plus en plus riche. Les cochons sont devenus énormes alors que les autres animaux se noient sous la masse de travail. Les cochons font une apparition sur deux pattes. Un nouveau slogan est décrété “Quatre pattes, bon ! Deux pattes, mieux !”. Il y a également une nouvelle inscription au mur “Tous les animaux sont égaux mais certains sont plus égaux que d’autres”. Les cochons fouettent les autres animaux lorsque le travail ne va pas assez vite. Soudain, les animaux de la ferme se rendent compte que les cochons sont devenus des hommes.
Deprecated Function create_function is deprecated in /home/etiopatha/www/wp-includes/pomo/ on line 208 Deprecated Function create_function is deprecated in /home/etiopatha/www/wp-includes/pomo/ on line 208 Deprecated Function create_function is deprecated in /home/etiopatha/www/wp-includes/pomo/ on line 208 Deprecated Function create_function is deprecated in /home/etiopatha/www/wp-includes/pomo/ on line 208 Deprecated Function create_function is deprecated in /home/etiopatha/www/wp-includes/pomo/ on line 208 résumé de livre par chapitre 06 82 75 43 59 36 rue du Chesnoy 45200 Amilly Menu
Chapitre 11 Toute la terre avait une seule langue et les mêmes mots. 2 Comme ils étaient partis de l'orient, ils trouvèrent une plaine au pays de Schinear, et ils y habitèrent. 3 Ils se dirent l'un à l'autre Allons! faisons des briques, et cuisons-les au feu. Et la brique leur servit de pierre, et le bitume leur servit de ciment. 4 Ils dirent encore Allons! bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet touche au ciel, et faisons-nous un nom, afin que nous ne soyons pas dispersés sur la face de toute la terre. 5 L'Éternel descendit pour voir la ville et la tour que bâtissaient les fils des hommes. 6 Et l'Éternel dit Voici, ils forment un seul peuple et ont tous une même langue, et c'est là ce qu'ils ont entrepris; maintenant rien ne les empêcherait de faire tout ce qu'ils auraient projeté. 7 Allons! descendons, et là confondons leur langage, afin qu'ils n'entendent plus la langue, les uns des autres. 8 Et l'Éternel les dispersa loin de là sur la face de toute la terre; et ils cessèrent de bâtir la ville. 9 C'est pourquoi on l'appela du nom de Babel, car c'est là que l'Éternel confondit le langage de toute la terre, et c'est de là que l'Éternel les dispersa sur la face de toute la terre. 10 Voici la postérité de Sem. Sem, âgé de cent ans, engendra Arpacschad, deux ans après le déluge. 11 Sem vécut, après la naissance d'Arpacschad, cinq cents ans; et il engendra des fils et des filles. 12 Arpacschad, âgé de trente-cinq ans, engendra Schélach. 13 Arpacschad vécut, après la naissance de Schélach, quatre cent trois ans; et il engendra des fils et des filles. 14 Schélach, âgé de trente ans, engendra Héber. 15 Schélach vécut, après la naissance d'Héber, quatre cent trois ans; et il engendra des fils et des filles. 16 Héber, âgé de trente-quatre ans, engendra Péleg. 17 Héber vécut, après la naissance de Péleg, quatre cent trente ans; et il engendra des fils et des filles. 18 Péleg, âgé de trente ans, engendra Rehu. 19 Péleg vécut, après la naissance de Rehu, deux cent neuf ans; et il engendra des fils et des filles. 20 Rehu, âgé de trente-deux ans, engendra Serug. 21 Rehu vécut, après la naissance de Serug, deux cent sept ans; et il engendra des fils et des filles. 22 Serug, âgé de trente ans, engendra Nachor. 23 Serug vécut, après la naissance de Nachor, deux cents ans; et il engendra des fils et des filles. 24 Nachor, âgé de vingt-neuf ans, engendra Térach. 25 Nachor vécut, après la naissance de Térach, cent dix-neuf ans; et il engendra des fils et des filles. 26 Térach, âgé de soixante-dix ans, engendra Abram, Nachor et Haran. 27 Voici la postérité de Térach. Térach engendra Abram, Nachor et Haran. -Haran engendra Lot. 28 Et Haran mourut en présence de Térach, son père, au pays de sa naissance, à Ur en Chaldée. - 29 Abram et Nachor prirent des femmes le nom de la femme d'Abram était Saraï, et le nom de la femme de Nachor était Milca, fille d'Haran, père de Milca et père de Jisca. 30 Saraï était stérile elle n'avait point d'enfants. 31 Térach prit Abram, son fils, et Lot, fils d'Haran, fils de son fils, et Saraï, sa belle-fille, femme d'Abram, son fils. Ils sortirent ensemble d'Ur en Chaldée, pour aller au pays de Canaan. Ils vinrent jusqu'à Charan, et ils y habitèrent. 32 Les jours de Térach furent de deux cent cinq ans; et Térach mourut à Charan.
ils étaient dix résumé chapitre par chapitre