Ala veille de la Première Guerre mondiale, Louis Lambert, jeune professeur de lettres, fait la connaissance de son écrivain préféré Rudyard Kipling, dont il rêve de traduire le poème Tu seras un homme, mon fils. Une amitié inattendue débute entre eux rapidement assombrie par le décès de John, le fils de Kipling, qui meurt dans les tranchées. Poèmetu+seras+un+homme+mon+fils - 1 Poèmes sur tu+seras+un+homme+mon+fils. Poésie française. Liens; A Propos ; Poésie; Rechercher un poème; Poèmes; Poètes; Nouveaux poèmes; Poème tu+seras+un+homme+mon+fils - 1 Poèmes sur tu+seras+un+homme+mon+fils 1 poème Page 1/1 Phonétique (Cliquez pour la liste TUSERAS UN HOMME, MON FILS Le célèbre poème "Tu seras un Homme, mon fils" de Rudyard Kipling, est l'écrit d'un père désireux de guider son fils sur les voies de la perfection afin qu'il devienne véritablement un Homme, véritablement Adulte. J’en ai tiré 8 conseils. Conseil n°1 : Sois courageux Si tu peux voir détruit l'ouvrage Dumonument divin qui n’est point achevé, Homme, qui n’es au fond que l’ébauche imparfaite. Du chef-d’oeuvre que j’ai rêvé, A ton tour, à ton heure, if faut que tu périsses. Ah ! ton orgueil a beau s’indigner et souffrir, Tu ne seras jamais dans mes mains créatrices. Que de l’argile à repétrir. Tuseras un homme mon fils. Magnifique poème écrit par Rudyard Kipling duquel je vous propose 2 versions audio (en slam). La première surtout pour ses images et la seconde est un superbe slam à deux voix et en deux langues (français et italien) par Grand Corps Malade et I Muvrini. Par ailleurs, je vous recommande vivement de découvrir la version publiée dans le Entredeux infinis tu nous tiens suspendus, Que ta voix, pénétrant en leurs fibres intimes, Frappe à cris redoublés sur nos coeurs éperdus, Tu crois que tu n'as plus dans ton ardeur fébrile, Tant déjà tu nous crois ébranlés, abêtis, Qu'à dévoiler la Foi, monstrueuse et stérile, Pour nous voir sur son sein tomber anéantis. . Aujourd’hui nous allons à la découverte d’un poème célèbre et très touchant écrit par un poète du XXème siècle. Beaucoup le connaissent déjà, d’autres peut-être pas encore, mais une seule chose de sûre est que chaque vers, chaque strophe de ce magnifique poème que je qualifierai de chef-d’œuvre inspire, ressource, émeut, transperce, renforce, forge, apprend, comprend, cadre parfaitement avec le caractère humain, la définition même de ce qu’est l’homme et de ce qu’il est appelé à être… Si, en anglais If—, est un poème de Rudyard Kipling, écrit en 1895, et publié en 1910 dans Rewards and Fairies. Il lui a été inspiré par le raid Jameson. Évocation de la vertu britannique de l’ère victorienne, comme Invictus de William Ernest Henley vingt ans plus tôt, ce poème est rapidement devenu très célèbre. Deux de ses vers sont notamment reproduits à l’entrée des joueurs du court central de Wimbledon. C’est l’adaptation d’André Maurois dans son livre Les Silences du colonel Bramble publié en 1918 sous le titre Tu seras un homme, mon fils qui est la version la plus connue du poème en France. Soucieux de maintenir la pureté de la langue et de rester fidèle au sens plutôt qu’à la lettre des textes, Maurois a écrit une version se composant de vers parfaitement réguliers et sans rime approximative qui reprend l’idée fondamentale du poème de Kipling tout en ne traduisant directement que quelques vers. Le 14 juin 1940, Paul Rivet placarde le poème sur les portes du musée de l’Homme, en signe de résistance à l’occupant allemand. Le poème a connu d’autres traductions françaises et adaptations également. TU SERAS UN HOMME, MON FILS Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vieEt sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,Ou perdre en un seul coup le gain de cent partiesSans un geste et sans un soupir ; Si tu peux être amant sans être fou d’amour,Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre,Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour,Pourtant lutter et te défendre ; Si tu peux supporter d’entendre tes parolesTravesties par des gueux pour exciter des sots,Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches follesSans mentir toi-même d’un mot ; Si tu peux rester digne en étant populaire,Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,Et si tu peux aimer tous tes amis en frère,Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ; Si tu sais méditer, observer et connaître,Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,Penser sans n’être qu’un penseur ; Si tu peux être dur sans jamais être en rage,Si tu peux être brave et jamais imprudent,Si tu sais être bon, si tu sais être sage,Sans être moral ni pédant ; Si tu peux rencontrer Triomphe après DéfaiteEt recevoir ces deux menteurs d’un même front,Si tu peux conserver ton courage et ta têteQuand tous les autres les perdront, Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la VictoireSeront à tous jamais tes esclaves soumis,Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la GloireTu seras un homme, mon fils. Rudyard Kipling, né à Bombay, en Inde britannique, le 30 décembre 1865 et mort à Londres, le 18 janvier 1936, est un écrivain britannique. En 1907, il est le premier auteur de langue anglaise à recevoir le prix Nobel de littérature, et le plus jeune à l’avoir reçu à 42 ans. J’espère que cette petite immersion vous a plu. N’hésitez pas à donner vos avis et impressions en commentaire dans l’attente d’un nouvel article encore plus édifiant. De tout mon cœur ! TLa laïcité devrait être le terreau de la quand celui-ci ne laisse plus que ruines et nos perspectives, l’état raquette, ou l’état de déliquescence, combines et l’avenir, se restreint à leur télé réalité,Vous réduisant à ces pires jeux de votre rêve Internet, défie les consciences,Et, impose le virtuel au-delà du temps de devenir sans avenir,Celui des lendemains vos certitudes oppriment les votre CAC 40 nous transforme en tout votre argent roi, aux dépens des la terre appauvrie ne nourrit plus son vos usines à bestiaux, dénient au temps son l’eau des mers et des rivières coule,Bayer ; Nitrate, pesticides et la jeunesse crie son que le rêve se shoot, cannabis d’ que caricature, la rébellion se termine, vous prétendez la hauteur, en rabaissant les que vos banques se servent,et viennent vider nos pocheAlors que nous, on trime, sue ; Crève défilent rejet, potion magique Pôle pourtant même les élus filent mauvais plus fort, les écoles distillent l’ ne sèment jeune pousse, qu’incompréhensions,Quand vos médias, neutralisent l’ en plus soumission. Paroles de nos cerveaux sont vidés, nos idées vos dieux pognon, imposeront leurs on bétonne, on bitume les en faisant pousser l’herbe sur les des prêcheurs disposeront de que tu ne seras pas éduqué, conquérant et ne seras pas un homme mon B . Ceci est un pastiche du célèbre poème de Rudyard kipli Tu seras un homme mon fils. »

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